516 résultats pour "attendez"
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Puis-je ne pas vivre ma vie dans l'attente ?
peut parasiter la réflexion de l'homme et ainsi l'influencer dans sa manière d'entreprendre sa vie. Ainsi, l'attenteabusive de quelqu'un ou quelque chose peut occulter de l'esprit la réelle nature de l'attente. La perfidie de l'attentetient du fait que l'attente puisse en achée une autre (EX : Si on peut vouloir gagner une compétition mais dans lefond c'est la fierté de ses parents que l'on veut gagner.)D'autre part, l'attente vise à remettre à plus tard ou à autrui la réalisation de son proj...
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Définition:
ATTENDRE, verbe transitif.
qu'on ne compte pas sur ce qu'il promet " (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise). Attendre quelqu'un comme les Moines font l'Abb?. (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise) " Ne l'attendre point et se mettre ? table sans lui " (Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise). b) [L'objet d?signe une chose concr?te] Attendre quelque chose. Attendre le train, un paquet?: ? 3. Elle trouva Mme. Raquin et Camille anxieux et empress?s; elle r?pondit s?chement ? leurs questions, en disant qu'elle avait fait une...
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Définition:
ATTENDU, -UE, participe passé, préposition, locution adverbiale, adjectif et substantif.
Remarque?: Attest? dans Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise 1835, 1878, DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Grand dictionnaire universel du XIXe. si?cle (Pierre Larousse), DICTIONNAIRE DE LA LANGUE FRAN?AISE (?MILE LITTR?), DICTIONNAIRE ENCYCLOP?DIQUE QUILLET 1965, NOUVEAU LAROUSSE GASTRONOMIQUE (PROSPER MONTAGN?) 1967. B.? Emploi comme substantif. 1. Ce qui est attendu?: ? 4. Je ne pensais pas ? lui quand je formais le projet de rejeter Anne d...
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Je n'ai jamais rencontré de semblable
JE N'AI JAMAIS RENCONTRÉ DE SEMBLABLE 95 sant. C'est ça. gémis. Je n'ai pas su jouer. Je tournais, battais des mains, courais, criais. me voyais perdre, me voyais gagner. exultant, souffrant. Puis soudain je me jetais sur les instruments du jeu. s'il y en avait. pour les détruire. ou sur un enfant, pour changer son bonheur en hurlement, ou je fuyais, je courais vite me cacher. Ils me poursuivaient les grands, les justes, me rattrapaient, me b...
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Fin de partie
Cela veut dire que les personnages restent toujours dans les rôles que leur sont attribu és. Cette impossibilit é d’une fin est donc m étaphorique, car la fin bien s ûr arrive avec la terminaison da la pi èce. Et c’est avec le verbe finir que la pi èce commence: Clov (regard fixe, voix blanche): Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut- être finir. Ainsi pendant tout la pi èce le spectateur attend la fin qui lui a été annonc é d ès le...
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Ecole, éducation
Les élèves
The pupils, students
Le corps enseignant
The staff
Un instituteur, un
Fréquenter l’école To attend school L’école maternelle Nurser y school, kindergarten L’école primaire Primar y school, grade school Le cours préparatoire Infant school Le cours moyen (appr.) Junior school Un lyc ée Secondar y school, high school Un lyc ée poly valent A comprehensive schoolUn lyc ée classique (appr.) A gramma r school La six ième (équivale nt) First f orm La ter minale (équivalent) Si xth for m, g rade Une classe, une division A for m Un examen An exami...
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Nathanaël, je te parlerai des attentes. André Gide, Les Nourritures terrestres.
Ainsi la nature devient-elle symbolique de toute une émotion de vie, de tout un art de vivre. b) Eau/feu L'eau, objet du désir terrestre, devient le symbole du désir humain. Le « soleil », « l'éclat du jour », « la sécheresse » : caractéristiques de la volonté de Gide de vivre « en pleinelumière » dans une totale affirmation de soi. Mais aussi exprime la passion (active), l'exacerbation de la nature qui correspond à la souffrance de l'homme. D'où «l'appréhension », « intolérables », « tout se pâ...
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Andromaque
Devait mieux vous connaître et mieux s'examiner.
SCENE VI\24PYRRHUS, PHOENIX. PHOENIX. Seigneur, vous entendez. Gardez de négliger Une amante en fureur qui cherche à se venger. Elle n'est en ces lieux que trop bien appuyée : La querelle des Grecs à la sienne est liée ; Oreste l'aime encore ; et peut-être à ce prix... PYRRHUS. Andromaque m'attend. Phoenix, garde son fils. ACTE V SCENE PREMIERE\24HERMIONE, seule. HERMIONE. Où suis-je ? Qu'ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ? Er...
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Le Surhomme ou l'appel à la création
Textes commentés 45 a) Situation du texte. Sous une forme poétique, Nietzsche présente l'homme futur, celui qui vient : le « Surhomme ». Influence ici d'une théorie de l'évolution. Dès lors, l'homme n'est plus un but, mais un « pont », c'est-à-dire quelque chose vers un devenir. Il n'est plus un constat mais de la nouveauté (nouveaux couchants, nouvelles étoiles, nouvelles nuits). En conséquence, il n'y a plus le sérieux des certitudes mais le « ri...
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N° 408
L'Ami du peuple ou Le publiciste parisien
Journal politique et impartial,
Par M.
aucune misère, qu'elle est montée tranquillement dans les voitures qui l'attendaient dans la cour des princes, accompagnée de trois cents chevaliers à poignard bien montés, et de deux cent scélérats choisis dans la garde à cheval, auxquels se sont joints sur la place de Louis XV, un escadron des chasseurs de Lorraine, cantonnés dans les environs et quelques compagnies de la maréchaussée de l'Isle-de-France : cortège à la tête duquel étaient plusieurs aides-de-camp, et avec lequel la sacrée famil...
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Education in Great Britain
? Education is compulsory from the age of 5 (4 in Northern Ireland) to the
age of 16.
Child ren study English, M athe matics, Science , Inf orm ation technolo gy, hist ory, Geog raphy , Mo dern foreign languag es, Art, Music, Phy sical Education a nd religio us Education. In Great Britain pa rents ha ve a choice b et ween State schools an d In depend ent schools. State schools ar e scho ols run by th e g ov ern ment. The y a re financed b y p ublic funds: t he money com es fro m the n ational a nd local taxes .In depend ent schools , als o ca...
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SENEQUE, Les bienfaits
Sujet 3 Explication du texte de Sénèque Le problème du texte est le suivant: certains soutiennent que le don purement gratuit est impossible, que l'on attend toujours quelque chose en échange de ce que l'on donne, que c'est« toujours un vif calcul» qui me rend généreux. Sénèque interroge cette doctrine et la contredit. Son texte se présente comme un raisonnement par l'absurde elle-même constituée par une série d'exemples assez...
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Faut-il croire pour savoir ?
-Pour Descartes, la seule certitude première et indubitable est « cogito ergo sum » (en latin : « je pense donc je suis »). Ce n'est donc que sur cette certitude que l'homme peut se prononcer en toute légitimité. Il faut faire tablerase et refuser toutes les opinions ou certitudes passées qui ne sont que descroyances infondées car il se pourrait que tout ce que l'on pense être vrai nesoit que l'œuvre d'un malin génie qui nous ferait passer pour vrai ce qui n'estqu'illusion (ex : je peux croire...
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Définition: AGACEMENT, substantif masculin.
11. Je pensai avec agacement : voilà ce qu'ils ont trouvé : la synchronisation! comme si ça prouvait quelque chose; comme si ça pouvait tenir lieu d'entente. Même si nous jouissions ensemble, en serions-nous moins séparés? Je sais bien que mon plaisir n'a pas d'écho dans son coeur, et sij'attends le sien avec impatience, c'est seulement pour être délivrée. SIMONE DE BEAUVOIR, Les Mandarins, 1954, page 75. — [Complément d'un substantif indiquant s'il s'agit d'un état durable ou d'une réaction...
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Campagne de Russie (1812) - Histoire
le début de la retraite de Russie. En ce jour Napoléon évacue Moscou brûlée, où il est resté plus d’un mois. Les armées de Koutouzov le contraignent à reprendre la même route qu’à l’aller. Mais celle-ci n’est plus que ruines et terres brûlées. Qui plus est, un autre ennemi attend la Grande Armée, l’hiver russe. 29 novembre 1812 Passage de la Berezina. Constat de Napoléon : “ L’armée est nombreuse, mais débandée d’une manière affreuse. ” Trois jours plus tôt la Grande Armée est arrivée devant l...
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Hernani (I) - Hugo - Commentaire: première scène de l'acte I
LE DRAME ROMANTIQUE Oui. Oui. Oui. DONA JOSEFA. DON CAR.Los. Sans doute elle attend son jeune? DONA JOSEFA. Oui. DON CARLOS. DONA JOSEFA. DON CARLOS. Duègne, c'est ici qu'aura lieu l'entretien? Cache-moi céans. Vous! DONA JOSEFA. DON CARLOS. DONA JOSEFA. DON CARLOS. Moi. DONA JOSEFA. Que je meure ! Pourquoi? DON CARLOS. Pour rien. DONA JOSEFA. Moi vous cacher! DON CARLOS Ici. DONA JOSEFA. Jamais! DoN CAR.L...
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Lecture méthodique de l’acte II, scène 7, p. 105-106 d'Electre de Jean Giraudoux
de leur bouillie, pas une goutte de leur sang n'est à moi. Et je suis aussi heureux des dons qu'on ne m'a pas faits que 35 du don d' Argos. Dans un accès de largesse, Dieu ne m'a donné ni Athènes, ni Olympie, ni Mycènes. Quelle joie! On m'a donné la place aux bestiaux d' Argos et non les tré sors de Corinthe, le nez court des filles d' Argos et non le nez de leur Pallas, le pruneau ridé d' Argos et non la figue 40 d'or...
- Aurélie Colonel Réel
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Acte I, scène 3 - Don Juan de Molière
— Dans un troisième temps qui correspond à la fin de sa tirade, à partir de: «Mais enfin cet abord...», Elvire confirme sa conviction qu'elle a été bel et bien abandonnée par Don Juan. Mais c'est sur un ton à la fois impérieuxet implorant qu'elle exige de son époux qu'il lui dise lui-même les raisons de son départ. Tout en prononçant cesparoles comme un défi, Done Elvire espère secrètement que Don Juan consentira à lui donner le change. Mais il n'en est rien: Don Juan trouve une habile e...
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Quatre-vingt-treize
J'ai été au marquis de la Rouarie.
\24 Oui. Un paysan amena un cheval blanc militairement harnaché. Le marquis, sans user de l'aide que lui offrait Gavard, monta à cheval. \24 Hurrah! crièrent les paysans. Car les cris anglais sont fort usités sur la côte bretonne-normande, en commerce perpétuel avec les îles de la Manche. Gavard fit le salut militaire et demanda: \24 Quel sera votre quartier général, monseigneur? \24 D'abord la forêt de Fougères. \24 C'est une de vos sept forêts, monsieur le marquis. \24 Il faut un prê...
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Pierre CORNEILLE (1606-1684), Rodogune , princesse des Parthes (1644) : Acte V, scène 1 : monologue de Cléopâtre
BEAUMARCHAIS) ou préparés à une issue fatale (comme dans presque toutes les tragédies raciniennes), nousnous attendons à tout. Rodogune se déroule dans une atmosphère de mélodrame : un criminel hors série invente des crimes inouïs. De là les coups de théâtre, les effets de surprise (chers à CORNEILLE) dont la pièceest si riche. On pressent tout de suite, ici — et le jeu de l'actrice peut à lui seul l'annoncer — la catastropheexceptionnelle. Révélations. Après un vers sibyllin, la reine a...
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Campagne de Russie (1812)
9 mai 1812 Départ de Napoléon pour la campagne de Russie.
le début de la retraite de Russie. En ce jour Napoléon évacue Moscou brûlée, où il est resté plus d’un mois. Les armées de Koutouzov le contraignent à reprendre la même route qu’à l’aller. Mais celle-ci n’est plus que ruines et terres brûlées. Qui plus est, un autre ennemi attend la Grande Armée, l’hiver russe. 29 novembre 1812 Passage de la Berezina. Constat de Napoléon : “ L’armée est nombreuse, mais débandée d’une manière affreuse. ” Trois jours plus tôt la Grande Armée est arrivée devant l...
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La Condition humaine,VIe partie, Folio (Gallimard), pp. 309-310.
qu'il le touchait lourdement du pied; toutes les têtes, battant de haut en bas, suivaient le rythme de sa marche, avec amour, avec effroi, avec résignation, 40 comme si, malgrê les mouvements semblables, chacun se fut dévoilé en sui vant ce départ cahotant. Tous restèrent la tête levée: la porte se refermait. Un bruit de respirations profondes, le même que celui du sommeil, com mença à monter du sol: respirant par le nez, les mâchoires c...
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Pouchkine, Eugène Onéguine (extrait).
Tu sais, je ne suis pas fûtée… Mais quoi ? De nouveau tu pâlis ? — Ce n’est rien, nourrice, vraiment. Mais dépêche ton garnement ». 36 Tout le jour réponse ne vint. Le lendemain fut non moins vide. Tania, prête dès le matin, Attend en vain, ombre livide. Survient d’Olga l’adorateur. « Que devient notre visiteur ? » Lui demanda la ménagère. « Nous ne l’intéressons plus guère ». Tatiana brûla, frémit toute. « Il s’annonçait pour aujourd’hui » Fut la réponse de Lenski. « Un retard de courrier sans...
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Grand oral du bac : le secourisme
une intervention d'urgence. En effet, une perte de sang significative peut mettre en péril le système circulatoire, chargé notamment du transport de l'oxygène dans l'organisme. Il faut d'abord mettre la victime en position allongée. Cette manœuvre permet de préserver l'irrigation du cerveau. Le sauveteur doit alors stopper l'hémorragie. Trois options s'offrent à lui, dans un ordre préférentiel : • la compression manuelle locale : après l'avoir loc...
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La dame de Monsoreau v.
Gorenflot fendit sa bouche jusqu'aux oreilles avec ce beat et gracieux sourire de l'homme ivre. Sufficit, balbutia-t-il. Et il s'appretait a remettre la piece d'argent dans sa poche. Attendez donc, attendez donc, dit Chicot. Tiens! la drole de monnaie! A l'effigie de l'heretique, dit Gorenflot. Aussi, trouee a l'endroit du coeur. En effet, dit Chicot, c'est un teston frappe par le roi de Bearn, et voila effectivement un trou. Un coup de poignard, dit Gorenflot; mort a l'heretique! Celui qui...
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La Main Gauche
Mais le brigadier ne s'émut pas:
--Minute, dit-il.
Mé, rien de rien, j'vous jure. Un p'tieu d'beurre su l'pain. Mazette, la bourgeoise, un p'tieu d'beurre su l'pain... vous faites erreur. C'est un p'tieu d'beurre sur le lapin qu'il faut dire. Bougre! il sent bon vot'beurre, nom de Dieu! c'est du beurre de choix, du beurre d'extra, du beurre de noce, du beurre à poil, pour sûr, c'est pas du beurre de ménage, çu beurre-là! Le gendarme se tordait et répétait: Pour sûr, c'est pas du beurre de ménage. Le brigadier Sénateur étant farceur, toute la...
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LES YEUX NE SERVENT PAS QU'À VOIR
(EYES DO MORE THAN SEE)
Après des centaines de milliards d'années, il se considérait subitement comme Ames.
Ames n’avait pasressenti untelfrémissement dansseslignes deforce depuis... combien detemps ? S’il essayait maintenant pourBrock, etsiça marchait, iloserait manipuler laMatière devantl’assemblée desêtres d’Energie quiattendaient sitristement dunouveau depuisdesères. La Matière étaitrare, là,entre lesgalaxies, maisAmes larassembla, lagratta etlamalaxa durantdes années-lumière-cubes, enchoisissant lesatomes, ilobtint uneconsistance deglaise etfaçonna lamatière enune forme ovoïde quis’étala au-desso...
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La reine blanche tourna vers lui sa tête sans visage.
un immense troll encore plus grand que celui auquel ils s'étaient att\ aqués. Il était évanoui, avec une grosse bosse sanglante sur le front. —Heureusement qu'on n'a pas eu à se battre avec celui-ci, murmura \ Harry. Ils enjambèrent avec précaution l'une de ses chevilles qui leur ba\ rrait le chemin et se hâtèrent de gagner la porte suivante. Lorsque Harry l'ouvrit, ils s'attendaient a\ u pire, mais ils ne virent rien d'effrayant, Il y avait simplement une table sur laquelle é\ taient align...
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Duras, Un barrage contre le Pacifique (extrait).
— Faut que je parte, dit-il. Voilà l’argent du diam. Elle se redressa d’un seul coup et rougit violemment. Jean Agosti prit dans sa poche une liasse épinglée de billets de mille et la lui tendit. Elle les prit machinalement et les garda dans sa main entrouverte, sans les regarder, sans le remercier. — Il faut m’excuser, dit-elle alors avec douceur. Mais tout ce qu’on me dit je le sais. J’avais pensé aux ananas, je sais que l’usine de Kam les achète très cher pour faire des jus de fruits. Tout...
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La rotisserie de la Reine Pedauque
me jurai, devant ces Égyptiens aux longs yeux noirs qui m'entouraient, de mieux fermer à l'avenir mon âme
aux mensonges des cabbalistes.
griffaient, et ces vaines défenses irritaient mes désirs. Je la pressais, je l'enveloppais, renversée et défaite. Son corps amolli céda, elle ferma les yeux; je sentis bientôt, dans mon triomphe, ses beaux bras réconciliés me serrer contre elle. Puis déliés, hélas! de cette étreinte délicieuse, nous nous regardâmes tous deux avec surprise. Occupée à renaître avec décence, elle arrangeait ses jupes et se taisait. Je vous aime, lui dis-je. Comment vous appelez-vous? Je ne pensais pas qu'elle fût...
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Gabriel
Tu le vois, je m'enivre afin de me persuader que je t'aime.
de Bramante, la possession immédiate, légale et incontestable de tous ses biens et de tous ses titres à son héritier légitime Octave-Astolphe de Bramante, fils d'Octave de Bramante et cousin germain de Gabriel de Bramante, à qui nous avons accordé cette licence et cette promesse, afin de lui donner le repos d'esprit et la liberté de conscience nécessaires pour contracter, en secret ou publiquement, un voeu d'où il nous a déclaré faire dépendre le salut de son âme. «En foi de quoi nous lui avons...
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Hernani: Acte I, scène 1 (Hugo)
DONA JOSEFA : — Vous ! DON CARLOS : — Moi. DONA JOSEFA : — Pourquoi ? DON CARLOS : — Pour rien. DOR A JOSEFA : - Moi vous cacher ! DON CARLOS : - Ici. DONA JOSEFA : - Jamais. DON CARLOS, tirant de sa ceinture un poignard et une bourse : — Daignez, madame, Choisir de cette bourse ou bien de cette lame. DO5TA JOSEFA, prenant la bourse : — Vous êtes donc le diable ? DON CARLOS : - Oui, duègne. DO -NA JOSEFA, ouvrant une armoire étroite dans le mur : — Entrez ici. DON CARLOS, examinant l'...
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Un bon petit diable
Charles:--Parce qu'une promesse, et à toi surtout, c'est autre chose, et je ne pourrais y manquer sans rougir,
et.
Madame Mac'Miche:Et tu crois, mauvais garnement, que je supporterai tes scélératesses, toi, mendiant, que je nourris par charité!» Charles devint rouge comme une pivoine; il sentait la colère s'emparer de lui, mais il se contint et répondit froidement: «Ma nourriture ne vous coûte pas cher; ce n'est pas cela qui vous ruinera. Madame Mac'Miche:Insolent! Et tes habits, ton logement, ton coucher? Charles:Mes habits! ils sont râpés, usés comme ceux d'un pauvre! Trop courts, trop étroits avec cela...
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La Main Gauche
Cela a duré deux mois environ.
Allons, et vite, tu sais que je ne plaisante pas. Eh bien!... mon colonel..., c'est le capitaine Saint-Albert. A peine avait-il prononcé ce nom, qu'une flamme lui brûla les yeux, et il s'abattit sur la face, une balle au milieu du front. LE LAPIN Maître Lecacheur apparut sur la porte de sa maison, à l'heure ordinaire, entre cinq heures et cinq heures un quart du matin, pour surveiller ses gens qui se mettaient au travail. Rouge, mal éveillé, l'oeil droit ouvert, l'oeil gauche presque fermé, il...
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Han d'Islande
--Cela est vrai, repartit le guichetier.
cachot; son coeur battit d'espérance. L'énorme serrure cria, les cadenas s'agitèrent, les chaînes tombèrent; et, quand la porte s'ouvrit, son front rayonna de joie. C'était le personnage en habits d'écarlate que nous venons de voir dans le cachot de Han. Il portait sous son bras un rouleau de corde de chanvre, et était accompagné de quatre hallebardiers vêtus de noir et armés d'épées et de pertuisanes. Musdoemon était encore en robe et en perruque de magistrat. Ce costume parut faire effet sur l...
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Lecture analytique n°7 : Candide, chapitre 1 « Le château de TTT ».
Tous les autres personnages, se définissent par rapport à Candide : Pangloss occuperait la placed'adjuvant (guide, savoir, oracle). Les opposant seraient le baron et la baronne avec leur prétentionnobulaire et d'emblée l'intrigue se dégage : Candide doit retrouver Cunégonde.Nous sommes donc avec tout les éléments caractéristiques du conte, si celui-ci a pour 1 er objectif de nous distraire, de nombreux événements relève de la satire. II- La satire du conte philosophique. 1-...
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essayer.
renaissent ensuite de leurs cendres. Regarde... Harry vit alors un minuscule oisillon tout fripé sortir sa tête au milieu du tas de cendres. Il était tout aussi laid que le vieil oiseau. —C'est dommage que tu l'aies vu le jour de sa combustion, dit Dumbledore en s'asseyant derrière son bureau. La plupart du temps, il est très joli, avec un magnifique plumage rouge et or. Les phénix sont des créatures fascinantes. Ils peuvent transporter des charges très lourdes, leurs larmes ont de...
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officieuses étaient bonnes, et nous mourûmes de peur lorsque les communiqués étaient
mauvais.
C hapitre XLVII Dans lapetite maison prèsdelaboulangerie Reynaud,LeeetAdam fixèrent aumur une carte dufront Ouest etyplantèrent desrangées d’épingles àtête colorée. Celaleur donnait l’impression departiciper àla guerre. Lorsque Mr.Kelly mourut, ondemanda à Adam Traskdeleremplacer auBureau deRecrutement. C’étaitl’homme qu’ilfallait pour cetravail. Safabrique deglace nel’occupait pasbeaucoup etilavait d’honorables états deservice. Adam Traskavaitfaitlaguerre –une petite guerre demanœuvres etde b...
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WAO SHOW 1
match, il est le challenger numéro un au titre de la WAO, The Great Mexas ! » Générique de The Great Mexas. L'ancien otage de la Darkness Band fait son entrée dans la arène. Il salue tout ses fans et semble prêt à parler. Mexas : Ca fait vachement plaisir d'être de retour ici devant vous les fans de la WAO après une semaine de souffrance. Maintenant que je suis là on va reprendre le sérieux et parler du championnat du monde. Hell in a Cell est désormais à une semaine. Quand j'aurai...
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Première Guerre Mondiale
destiné à être enseignant avant que la guerre éclate, i l est blessé sur le front et passe la f in du conflit à l ’arrière, réformé car i l a été blessé. I l se met à écrire Sous Verdun , Nuit de Guerre , La Boue et l ’œuvre que nous étudions, Les Eparges . Ces textes seront censurés car l ’auteur y décrit les horreurs de la guerre et toute sa dimension humaine. II) Les tranchées A) Le froid et le manque de feu Les soldats avaient une hygiène de vie plutôt mauvaise, i ls av...
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Définition:
CARACOLE, substantif féminin.
revenues caracolaient dans l'air, avec de petits cris (THEURIET, La Maison des deux barbeaux, 1879, page 34); ma plume caracole, mon âme entre en jubilation légère (ALEXANDRE ARNOUX, Algorithme, 1948, page 50 ). — Par métaphore. Pendant que (...) chacun caracolait sur son dada favori, le médecin attendait la duchesse dans une gondole (HONORÉ DE BALZAC, Massimilla Doni, 1839, page 467 ). Remarque : On rencontre dans la documentation le participe présent adjectivé caracolant Qui caracole (confer P...
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Mille et un jours en prison a Berlin
--Je vous demande si, cette fois, ma libération est bien certaine?
J'attendis pendant une longue semaine, suivie d'une autre longue semaine, lorsque le même officier se présenta de nouveau, mais avec une figure sombre me laissant assez prévoir qu'une nouvelle tuile allait m'être lancée sur la tête... Une mauvaise nouvelle, lui dis-je?... Oui, une mauvaise nouvelle, vraiment. Je sais ce dont il s'agit: on refuse maintenant de me laisser passer par la Belgique... Vous l'avez dit. Alors, je ne pus réprimer un léger mouvement d'impatience et de contrariété: Co...
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Mille et un jours en prison a Berlin
en pleine lumière.
protestait, disant que l'Allemagne n'avait ni voulu ni commencé la guerre. Alors Dumont, anti-boche enragé, et violent dans la manière de s'exprimer, se mit à crier:Vous avez raison, vous avez mille fois raison, ce n'est pas l'Allemagne qui a commencé, c'est la Belgique!!! Éclat de rire général! Le sous-officier, confus et confondu, tourne les talons et quitte la cellule. Chapitre XXVI. QUESTION D'ÉCHANGE Le 19 avril 1918 restera pour moi une date mémorable. Je venais d'être prié de me rendre à...
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Vocabulaire:
CONFRÈRE, substantif masculin.
religieux. Confr?re de Saint Vincent de Paul (confer confr?rie A et conf?rence B 2 b). Attest? dans Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise 1798-1878, DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA LANGUE FRAN?AISE (LOUIS-NICOLAS BESCHERELLE) 1845, Dictionnaire g?n?ral de la langue fran?aise (Adolphe Hatzfeld, ARS?NE DARMESTETER), DICTIONNAIRE DES DICTIONNAIRES (SOUS LA DIRECTION DE PAUL GU?RIN) 1892, DICTIONNAIRE ENCYCLOP?DIQUE QUILLET 1965. 2. Membre d'une compagnie, d'une soci?t? artistique, litt?raire ou sava...
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La Bete Humaine
éclaboussure.
\24Madame, si vous ne pouviez supporter ce spectacle... Nous comprenons très bien votre douleur. \24Oh! simplement deux mots, interrompit le commissaire. Nous ferons ensuite reconduire madame chez elle. Roubaud se hâta de continuer: \24C'est alors, après avoir causé de différentes choses, que monsieur Grandmorin nous annonça qu'il devait partir le lendemain, pour aller à Doinville, chez sa soeur... Je le vois encore assis à son bureau. Moi, j'étais ici; ma femme était là... N'est-ce pas, ma chèr...
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Commentaire de ce texte : Fin de Partie de Samuel Beckett
Pour les gestes et la mise en scène, nous avons deux personnages qui sont opposés sur de nombreux points, l'un est actif alorsque l'autre reste passif. On peut voir une touche d'ironie qui se mêle à l'angoisse. On est face à un décalage notamment dans lecomique de geste. Et nous y décelons aussi des sentiments partagés, ils sont tiraillés entre la jeunesse et la vieillesse, la fuite du temps et la langueur,mais aussi dans le mélange d'angoisse et de lassitude, Hamm attend la mort passivement, il...
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Chapitre XXXIII
Les collines demeurèrent vertes jusqu'à la fin du mois de juin, puis tournèrent au jaune.
« Tu t’ennuies, ici,tune veux pasrester. » Il attendit unmoment, puis : « Réponds-moi. C’estvrai,n’est-ce pas ? – Je suismieux icique nulle partaumonde. » Puis elledemanda : « Vas-tu voirlesfemmes ? – Oui. – Te sens-tu mieuxaprès ? – Pas beaucoup. – Que vas-tu faire ? – Je nesais pas. » Ils entrèrent silencieusement danslamaison. Tomalluma lalampe duvieux salon. Le canapé qu’ilavait réparé étaitappuyé contrelemur, et,entre lesportes, lespas avaient tracé unchemin plusclair surletapis. Tom s’assi...
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Les Bijoux Indiscrets
le sultan donnait la liste des hommes.
Seigneur, répondit Patte-de-velours, qui en doute ? Il l'a promenée pendant plus d'une lune ; ils ont été chansonnés ; et cela durerait encore, s'il ne s'était enfin aperçu qu'elle n'était point jolie, et qu'elle avait la bouche grande. D'accord, reprit Hannetillon ; mais ce défaut était réparé par un agrément qui n'est pas ordinaire. Y a-t-il longtemps de cette aventure ? demanda la prude Orphise. Madame, lui répondit Hannetillon, je n'en ai pas l'époque présente. Il faudrait recourir a...
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Jeudi
62
-- Hé, ho, réveillez-vous.
62 — Hé, ho,réveillez-vous. S’ilvous plaît. Ces mots m’éveillèrent ensursaut. Il me fallut quelques secondes pouraccommoder monregard, maisjesavais déjàquejen’aimerais pasce que j’allais voir.J’avais latête cotonneuse. Çaneressemblait pasàune gueule debois, j’avais plutôt l’impression quemon crâne avaitétépris dans unétau qu’on n’avait desserré qued’un demi-tour. J’étais allongé surunlitde camp peuépais. Jeconstatai quejen’avais paslesmains liées.Jeme redressai enfaisant grincer lelit, vis que m...