167 résultats pour "jure"
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Les rochers de Meillerie et la promenade sur le Lac (4° partie. Lettre 17)
pour moi : voilà ce qui me jetait dans des accès de fureur et de rage qui m'agitèrent par degrés jusqu'au désespoir.Bientôt je commençai de rouler dans mon esprit des projets funestes, et, dans un transport dont je frémis en ypensant, je fus violemment tenté de la précipiter avec moi dans les flots, et d'y finir dans ses bras ma vie et meslongs tourments. Cette horrible tentation devint à la fin si forte que je fus obligé de quitter brusquement sa mainpour passer à la pointe du bateau. Là, mes v...
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Définition:
EXAGÉRER, verbe transitif.
Ø 2. François soupçonnait peut-être mal la noblesse de sa mère. Aussi était-il porté, dans la vie qu'il menait, à s'exagérer son mérite personnel... RAYMOND RADIGUET, Le Bal du Comte d'Orgel, 1923, page 80. — emploi absolu (Quasi-)synonymes : amplifier, charrier (familier), pousser (familier); antonyme : minimiser. Il lisait le « Daily Mail ». « Lisait » est une façon de parler, car il ne savait pas l'anglais. Allons, n'exagérons pas : il en savait quelques mots (HENRI DE MONTHERLANT, Les Cél...
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Définition du mot:
APPRENDRE, verbe transitif.
? Croyez bien que je le sais. Comment vous dire sans vanit? que je sais toujours par coeur Oph?lie et Monime, Marguerite et M?lisande, Portia et Kitty Bell. Cinquante r?les pour le moins. GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Suzanne et les jeunes hommes, 1941, page 36. ? Emploi absolu?: ? 5. D'ailleurs, quand j'?tais en ?ge d'apprendre, il n'y avait pas m?me de cur?s dans les paroisses ni de cloches dans les clochers. ALPHONSE DE LAMARTINE, Le Tailleur de pierre de Saint-Point, 1851...
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I - Le latin de M.
fût arrivé àParis avecdegrands soupçons, quoiqueàson départ deChâtillon unepaysanne sefût jetée àses pieds, encriant : « Oh !monsieur, notrebonmaître, n’allezpasàParis, carsivous yallez vous mourrez, vouset tous ceux quiiront avecvous » ; cessoupçons s’étaientpeuàpeu éteints danssoncœur etdans celuideTéligny, son gendre, auquelleroi deson côté faisait degrandes amitiés,l’appelant sonfrère comme ilappelait l’amiral son père, etletutoyant, ainsiqu’ilfaisait poursesmeilleurs amis. Les huguenots, àp...
- nommer
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Fiche de lecture : Les Femmes Savantes
études et de son admiration pour Trissotin,un poète et artiste trés important pour Philaminte. Elle annonce qu’elle a choisi Trissotincomme futur époux d‘Henriette. Chrysale ne sait plus quoi répondre. Il prend alors la ferme résolution de ne plus se laisser dominer par sa femme. Acte 3 Trissotin vante son soi -disant art devant Philominte ,Bélise,Armande et Henriette . Henriette veut s'écarter, mais Philaminte la retient tandis que Trissotin entame la lecture de s...
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Civil Law.
Beginning in the 15th century, many European countries extensively colonized North and South America, Africa, and parts of Asia ( see Colonialism and Colonies). Colonial expansion spread the civil law system as colonizers imposed their system of law on their colonies. After achieving independence, some former colonies retainedthe legal system established by the colonizer. For example, the African nation of Senegal has retained the civil law system established by France. Other former colonieschos...
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Définition:
ESPRIT, substantif masculin.
page 159) : Ø 4. Barrès parlait des « lieux où souffle l'esprit ». Je ne crois pas qu'il en eût imaginé aucun où l'esprit soufflât davantage qu'en l'Université d'Oxford. CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1954, page 565. Remarque : De tels emplois dérivent d'un passage de l'Évangile selon saint Jean (III, 8), littéralement : « l'Esprit souffle où il veut ». Il est ordinairement fait allusion à ce passage pour signifier que l'intelligence est une faculté inégalement répartie. — Au figuré....
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- Le droit administratif des biens
- victor hugo napoléon le petit
- l'Etrangers Albert Camus
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
- Pierre et Jean
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- La leçon de violon de Hoffmann
- Madame bovary
- Cyrano de Bergerac