5806 résultats pour "sociétés"
-
Vivre en société, est-ce seulement vivre ensemble ?
Introduction Vivre en société, est-ce seulement vivre ensemble ? On pourrait définir la société comme un groupe d'individus qui travaillent et qui échangent: ils ont donc des rapports ou entretiennent un commerce selon des règlesexplicites. Il est donc évident que vivre en société revient à vivre ensemble, avec une plus ou moins grandeproximité. Néanmoins, peut-on dire que l'on vit en société à partir du moment que l'on vit ensemble ? Nous avonsdéjà signalé qu'il fallait qu'i...
-
Une société sans droit est-elle concevable ?
concrète dont l'individu éprouve néanmoins un besoin vital impérieux.Ce conflit ne peut se résoudre que si des principes régulateurs sont acceptés et se traduisent par une organisationqui en assure une application réglée à l'égard de laquelle l'individu apparaît à la fois comme personne et commecitoyen. La Personne : la valeur la plus haute. L'homme, est, en effet, une Personne, un sujet moral responsable, dont l'existence a une valeur absolue. Comme l'amontré Kant, il s'agit toujours, en to...
-
Fiche de cours en philo : LA SOCIETE .
sphère animale. Aristote ne s'y trompait d'ailleurs pas, puisqu'il affirmait simplement que l'homme est plus social queles autres animaux.Partout où existe la matière vivante organisée, il y a, en effet, société. Cette dernière n'a pas commencé avecnotre espèce et rien ne laisse supposer qu'elle disparaîtra avec nous. Les animaux seuls et isolés ne peuvent sedévelopper normalement. Leur formation réelle exige l'environnement social. Si l'individu isolé n'est qu'uneabstraction, comme le voul...
-
La religion est-elle utile à la société ?
l'holocauste et la seconde guerre mondiale). La société en a-t-elle été affectée ? A-t-elle évolué ? La croyance a-t-elle disparu avec la religion, ou s'est-elle reportée sur autre chose (un autre domaine irrationnel) ? On peut sedemander si ce dont on parle est encore une religion, si la religion survit à la disparition de son statut social. Maisaffirmer que le religieux est l'essence du social, c'est peut-être dire que le social ne saurait se passer de quelquechose qui tienne le rôle de la rel...
-
En quoi les lois sont-elles nécessaires aux sociétés ?
individuelles bénéficie des efforts de tous et rend à tous leur effort plus facile. Elle ne peut subsister que sielle se subordonne l'individu elle ne peut progresser que si elle le laisse faire. » Or, dans les sociétésanimales, la première condition est remplie : chaque abeille est entièrement subordonnée à l'organisation et lasurvie de la ruche. Cette société est pérenne, mais incapable d'évoluer, justement parce que les individusn'ont aucune marge de manœuvre. Par contre, les sociétés...
-
La société est-elle une construction artificielle ?
besoin de règles ni de lois. Aussi nous sommes conséquemment conduits à modérer ce que nous disions plus haut :ce n'est que par anthropomorphisme et par facilité que l'on qualifie les organisations animales de sociales, il faudraittrouver des mots plus précis qui marquent une discontinuité entre les sociétés animales et humaines. III- Il faut repenser le rapport entre le naturel et l'artificiel. Cependant il nous faut peut-être encore davantage raffiner le cadre conceptuel dans le...
-
Que serait une société sans artiste ?
morale de l'homme à l'égard et au sein de lui-même.• On ne peut donc soutenir qu'il y a une continuité simple ni un rapport de pure expression entre la créationartistique et la réalité sociale. La forme esthétique constitue une réélaboration des données sociales. D'un côté, il ya une solidarité entre les langages de l'art et de la société : par exemple, « sont sociales chez Shakespeare descatégories comme individu et passion, des caractères comme le concrétisme bourgeois de Caliban »,...
-
Peut-on concevoir une société sans conflits ?
une problé matique La société moderne est traversée en perm anence par divers conflits, peuvent abou tir à une viol ence ouverte. On peut rêver d'une société sans conflits, et ayant avec les autres des rela tions pacifiques : pr ogr amm es plus ou moins utopique s pour l'éla borer ne manquent pas. • Mais une telle société aurait-el le enc ore une histoir e ? La contradic tion, dont le confl it est une forme, n'est-e lle pas essenti elle à tout devenir ? -+...
-
- Suis-je ce que la société fait de moi ?
-
Une société sans norme est elle viable ?
L'État trouve sa légitimité dans cette volonté générale dont il ne doit être que l'expression. Dès que l'État nereprésente plus cette volonté générale, le contrat est rompu, et l'État devient illégitime. « Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute laforce commune la personne et les biens de chaque associé et parlaquelle chacun s'unissant à tous n'obéisse pourtant qu'à lui-même etreste aussi libre qu'auparavant» (Rousseau) Le Contrat Social propose une soluti...
-
L a consommation est devenue un phénomène de masse à ce point général dans les
sociétés industrielles que celles-ci sont désormais identifiées comme des « sociétés de
consommation ».
Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats anticipation - 2.ÉCONOMIE besoin centre commercial comptabilité nationale dépense eau - Les usages de l'eau électroménager Engel Ernst étude de marché niveau de vie restauration vacances Les médias consommation - La sécurité des consommateurs en France : la loi du 21 juillet 1983 consommation - taux d'équipement des ménages en biens durables consommation - structure du budget consommation - évolution de la structure de...
-
BERGSON: LUTTE, GUERRE ET SOCIETE
société. Cette condition est nécessaire. Pour qu'une société tienne, il faut qu'elle tienne ses individus, afin qu'il neretourne pas leur énergie contre la société, contre les individus. Cette condition est nécessaire, mais elle n'est passuffisante, car d'un autre côté, la société doit d'une manière ou d'une autre « laisser faire » l'individu. La société nedoit pas emprisonner l'individu, mais au contraire favoriser sa liberté. Cette deuxième condition, il faut le noter, n'estpas la condition de...
-
communisme (politique & socièté).
Marx et Engels, Manifeste du parti communisteFrontispice de la première édition du Manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels, publié en 1848.THE BETTMANN ARCHIVE Malgré l’échec des tentatives d’application concrètes de ces expériences utopistes, le courant d’idées existe et servira de base théorique à la constitution du communisme entant que projet universaliste visant à changer les bases de l’organisation des sociétés. Marx édifie sa théorie à partir de l’observation des co...
-
La notion de société désigne tout groupement d'individus, dépendant les uns des autres.
Ainsi donc il existe des société naturelles qui s'imposent à l'homme. Du fait qu'il possède le langage et la raison, mais aussi du fait de l'origine même de l'homme, c'est à dire de ses ancêtres. Mais la société ne peut -elle pas venir autrement que naturellement à l'homme? Peut-elle alors avoir des intérêts différents? Il existe plusieurs formes de société, les une assez différentes des autres. Mais toute ayant un point commun: l'État. Mais on sait aussi que vivre en société, c'est vivre...
-
La société
-Dans les sociétés animales les individus sont régis uniquement par leurs instincts, c'est-à-dire du dedans, alors que dans les sociétés humaines , les individus sont régis par des règles conventionnelles, c'est-à- dire qui leur sont imposées du dehors par des institutions. En d'autres termes , les lois organisant les sociétés animales rel~vent du biologique pur, celles des sociétés humaines du culturel. -En conséquence, les lois des socié...
- Société
-
-
La société peut-elle se passer de religion ?
l'holocauste et la seconde guerre mondiale). La société en a-t-elle été affectée ? A-t-elle évolué ? La croyance a-t-elle disparu avec la religion, ou s'est-elle reportée sur autre chose (un autre domaine irrationnel) ? On peut sedemander si ce dont on parle est encore une religion, si la religion survit à la disparition de son statut social. Maisaffirmer que le religieux est l'essence du social, c'est peut-être dire que le social ne saurait se passer de quelquechose qui tienne le rôle de la rel...
-
La société est-elle une contrainte pour l'individu ?
c'est que la norme est intériorisée par le sujet : c'est lui-même qui se fixe des valeurs de réussite. A ce titre,les travaux de Michel Foucault dans son ouvrage L'histoire de la folie à l‘âge classique est très enrichissant. Foucault montre comment la notion de folie et sa définition permettent justement de définir ce qu'est laraison, et de produire le paradigme de l'individu normal. Or, la norme a un double emploi : elle permet demontrer quels sont les cas les plus courants, les comporte...
-
les drogues dans la société
SOMMAIRE : Plan détaillé Introduction : problematique · I.Qu’appelle t’on une drogue ? a.Définitions b. Les différentes drogues · II. Pourquoi se droguer ? a. Raisons : -Qui ? -Quand ? -pourquoi ? b. les symptômes c. les risques et ‘’les avantage’’ III. La drogue est-elle une menace pour la société ? a. Conséquences des drogues sur les utilisateurs b.Conséquences des drogues dans notre société. -...
-
Une société sans normes est elle viable ?
intégralement sa liberté puisqu'il décide librement d'obéir à la volonté générale, et son égalité, puisque chacunparticipe également à cette volonté générale. L'État trouve sa légitimité dans cette volonté générale dont il ne doitêtre que l'expression. Dès que l'État ne représente plus cette volonté générale, le contrat est rompu, et l'Étatdevient illégitime. « Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et lesbiens de chaque associ...
-
Qu'est ce que la vie en société apporte à l'homme ?
autres hommes des liens libres, libérés de tout enjeu vital.Plus étranges peuvent paraître les deux autres thèses, liées, d'Aristote, affirmant que la cité est une réalité naturelle, et surtout, qu'elle estantérieure par nature à l'individu. Cela signifie que l'homme n'est pas autosuffisant : il n'est qu'une partie d'un tout : la cité, comme la mai est partiedu corps. Pas plus que la main n'existe réellement sans le corps, l'individu humain n'existe sans la cité. C'est d'elle qu'il reçoit s...
-
Une société sans religion est-elle possible ?
Pour une grande partie de la population, il est aujourd’hui préférable de se tourner vers la science pour obtenir une réponse à ses questions, car l’évolution de la science a remis en cause pour certaines personnes la véracité de leur croyance religieuse. Sur le plan politique, la religion n’a plus un rôle majeur puisque le pouvoir n’est plus apparenté à Dieu mais au peuple. La séparation de l’Etat et de l’Eglise tend d’ailleurs à éviter les conflits au sein de la société alimentés par la rel...
-
Tout en nous appartient-il a la société car tout nous vient d'elle ?
phénoménal, l'homme n'échappe pas aux déterminations naturelles qui régissent toute chose. Mais comme êtrenouménal, l'homme est doué d'une liberté transcendantale, ce qui signifie qu'il est toujours libre de faire son devoir,et donc responsable de ses actes. Dans la Critique de la raison pratique Kant précise que cette responsabilité est aussi ce qui lui donne une valeur (absolue), contrairement aux choses qui n'ont qu'un prix (relatif). Or le propre d'unêtre doué d'une valeur absolue est...
-
La société est-elle un organisme ?
et l'histoire, Althusser). Chacune ayant pour but de limiter les autres. Il se forme ainsi une liaison entre les pouvoirs,qui définit une unité organique.Le jeu des comparaisons a pour intérêt de chercher la configuration dans laquelle le fonctionnement du corps socialcorrespond dans l'État, au meilleur régime. Le corps humain agit d'autant mieux qu'il y a une parfaite coordinationentre les facultés qui interviennent dans la réalisation de son mouvement. Il s'agit d'obtenir le même résultat, en...
-
-
la société inclusive parlons-en!
Charles Gardou a commencé sa carrière comme instituteur et directeur d’école, puis professeur de Lettres, avant de devenir formateur et directeur de collège et lycée. C’est en 1988 qu’il sera élu Maître de Conférences à l'Université Lumière - Lyon 2, pour devenir par la suite en 1994 Professeur des Universités. Toujours à l'Université Lumière - Lyon 2 il deviendra en 2003 directeur de l'Institut des Sciences et Pratiques d'Education et de Formation en parallèle, il dirige un Laboratoir...
-
Une société juste peut-elle s'accommoder d'inégalité ?
sont également mises hors-la-loi en tant que marqueurs d'inégalité sociale. Toute production devient « création » etpeut revendiquer un jugement esthétique « égal pour tous. Ou encore on peut admettre des inégalités de revenuset de position sociale selon le « principe de différence », c'est-à-dire à la condition qu'elles soient liées à despositions ouvertes à tous selon une équitable égalité des chances et qu'elles profitent à tous et d'abord aux plusdéfavorisés. N'importe quel individu no...
-
L'homme est il fait pour vivre en société ?
donc la technique (qui est une action sociale), puisqu'en effet, la technique est un ensemble de savoir faire (moyen en vue d'une fin) qui ont pour but de fabriquer des biens afin de survivre et ensuite afin de vivre dans le confort. Ainsi, la nature est composée de l'ensemble des trois règnes. Il y a tout d'abord le règne minéral, le règne végétal et animal. Mais les anthropologues ajoutent un quatrième règne ; le règne humain. La nature est également l'essence d'une choses, c'est a d...
-
UNE SOCIÉTÉ SANS DROIT EST-ELLE CONCEVABLE ?
L'homme, est, en effet, une Personne, un sujet moral responsable, dont l'existence a une valeur absolue. Comme l'amontré Kant, il s'agit toujours, en toute circonstance, de traiter l'homme comme une fin, et jamais comme unmoyen. « Les êtres raisonnables sont appelés personnes, parce que leur nature même en fait des fins en soi. » LaPersonne est donc une valeur absolue ; elle représente un sujet de droits.En tant que sujet de droits, la Personne a un rapport privilégié avec la Justice et,...
-
Une société peut-elle se passer de religion ?
autonome ? Peut-elle – au sens premier de l'autonomie – se donner à elle-même la loi et assumer cette liberté, ou doit-elle nécessairement conférer à ses lois une autorité et une origine transcendante ? C'est une telle exigence d'autonomie qui fonde les démocraties modernes. Et s'il s'agissait de définir la démocratie, on pourrait bien la définir ainsi : démocratie est le nom de ce régime politique qui peut se passer de religion, non dans le sens où il tendrait à en interdire l'e...
-
La société est-elle naturelle ?
achète ses chaussures chez le cordonnier qui lui achète son pain. Hegel définit la société civile comme un «système de besoins» qui est un système d'interdépendance lié à la division du travail. Ou bien Ill la société apparaît comme un besoin pour un être en quelque ~ manière incomplet, qui a besoin de la compagnie d'un semblable pour se sentir exister et être reconnu : «C'est seulement au moyen 1- de son rapport à l'homme Paul...
- société
-
Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt?
même, la vie de couple et de famille obéit aussi, au fond, à une exigence de confort et de sécurité. Lemariage ne permet-il pas aux deux partenaires d'avoir des rapports sexuels aussi souvent qu'ils le désirent ?! Mill: Une société d'êtres humains, si on excepte la relation de maître à esclave, est manifestement impossible si elle ne repose pas sur le principe que les intérêts de tous seront consultés. Une sociétéd'égaux ne peut exister s'il n'est pas bien entendu que les intérêts...
-
-
Une société sans conflit est-elle possible, est-ce souhaitable ?
de puissance le « conatus », « l'effort de l'être à persévérer dans l'être ». Chaque individucherche à survivre et à être puissant. La politique d'aujourd'hui illustre cette volonté.Désormais, la politique a plusieurs sens et créée une société en conflit permanent. Lesdifférents partis politiques vont chacun essayer de s'imposer. Certains hommes politiques vontrendre la politique une affaire privée alors qu'elle relève du domaine public. L'Utopie de Thomas More démont...
-
Weil: La société se confond-elle avec la communauté ?
d'institutions qui n'ont pas été créées ni « ré-organisées » par un organisateur rationaliste et calculateur, mais quiremontent aux « origines », aux temps immémoriaux. On peut opposer, pratiquement dans un sens analogue, lepeuple à l'État considéré comme création récente, non comme aboutissement d'une évolution « organique ». Onpeut séparer, sur un autre plan, la race, donnée naturelle irréductible, de la nation, artificielle dans cette vue, dumoins par rapport à la race - ou les croyants...
-
Loi n° 5-96 sur la société en nom collectif, la
en commandite par actions, la société à responsabilité limitée et la société en participation. Titre premier : Dispositions générales Article premier La société en nom collectif, la société en commandite simple, la société en commandite par actions, la société à responsabilité limitée et la société en participation, sont régies par la présente loi et par les dispositions du dahir du 9 ramadan 1331 (12 août 1913) formant code des obligations et contrats, dans la mesure où elle...
- De la société industrielle à la société de consommation depuis 1945 (culture générale)
-
Ordre, désordre et vie en société
De même dans le texte d’Herbert Marcuse, le désordre ne serait pas une arme mais un moyen dévolution. Au lieu de mettre en place une Justice quicommet des meurtres et divise les hommes, le désordre laisserait les hommes du peuple agir sans contrôle. De plus, d’après le texte d’Emmanuel Kant, le désordre représenterait une société de liberté pour tous : liberté de conscience, liberté d’apprentissage …Une société où les hommes pourront mûrir. Mais un problème subsiste. Que deviens la société dans...
-
société à responsabilité limitée [SARL] & économie.
Les modifications du capital social (réduction ou augmentation) sont possibles. Comme elles impliquent une modification des statuts, elles doivent être décidées selon ce quivient d’être exposé. En cas d’augmentation de capital par apport en nature, un commissaire aux apports doit, en principe, être nommé. La réduction du capital entraînantune diminution du droit de gage des créanciers, ceux-ci peuvent former opposition devant le juge. La société peut se voir imposer de constituer des garanties o...
-
La société peut-elle s'opposer à l'Etat ?
privée qui contrairement à la cité où les relations se font entre hommes libres et égaux et par le langage, le foyer est luiprofondément inégal et tourné vers une autre forme d'échange : la parentalité comme unique but du couple. Le public estdonc hypertrophié alors que le privé est réduit au minimal : distinguer les deux concepts ne peut se faire puisque la divisondu travail-entre autres- est considérée comme consubstancielle à la cité. Le trait principal est ici l'apparente « naturalité » dela...
-
La société corrompt-elle l'homme ?
La vie dans nos sociétés modernes place l'individu dans une situation contradictoire. D'un côté elle luipromet la satisfaction de ses besoins, grâce à la production de biens de consommation, grâce auxtechniques, mais de l'autre elle impose des limitations à ses pulsions. Dans cette perspective, l'exigencede bonheur paraît impossible à satisfaire. Enjeux L'homme a-t-il perdu la possibilité de vivre selon ses pulsions primitives en quittant l'état de nature ? Lasociété moderne offre de nomb...
-
-
Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
que ce dernier ne disparaisse et pour réparer l'étourderie d'Epiméthée, Prométhée dérobe le feu à Héphaïstos et laconnaissance des arts à Athéna pour en faire présent à l'homme. Mais les Dieux en sont irrités et punissentProméthée pour sa forfaiture. Les leçons de ce mythe sont très nombreuses. D'abord, on peut remarquer que sansles arts et le feu (c'est-à-dire sans la technique), l'homme est dans un état de dénuement total. Comparativementaux animaux, il ne dispose en effet d'aucun "out...
-
Une société est-elle possible sans la puissance de la rhétorique ?
qu'une société ne peut faire l'économie de la flatterie, du mensonge. Mais la rhétorique n'est-elle que cela ? Nepeut-on pas imaginer une autre forme de rhétorique plus fiable, plus rhétorique qui irait dans le sens d'une sociétédu parler vrai, du véritable échange ? Une rhétorique qui viserait moins à la persuasion qu'à la conviction ? Dansquelle mesure une société ne peut-elle faire l'économie de rhétorique ? Plan I. La rhétorique art suprême et nécessaire à la sociétéII. La rhétorique : art à...
-
En quel sens la société dénature-t-elle l'homme ?
Selon Hobbes l'homme n'est pas un être par nature sociable, pour comprendrel'homme il faut l'envisager hypothétiquement comme en dehors de la société.C'est ce qu'il appelle l'état de nature, qui n'est autre que l'état dans lequel setrouve les hommes dans l'absence d'un pouvoir coercitif. Dans cet état,chacun ayant sur toutes choses un droit égal à celui des autres, le seul droitvalable est celui du plus fort. Or, dans cet état la loi naturelle qui est une loidivine puisqu'elle n'est autre que l...
-
La philosophie est-elle un danger pour la société ?
Le philosophe n'est pas un danger pour la société 4~(-)~• L'action philosophique ne trouble pas vraiment la société. Bien au contraire, en interrogeant les pratiques sociales, le philosophe protège la Cité contre les dérives de la corruption et les excès du pouvoir. L'action du philosophe est limitée D ans Le Gorgias , de Platon , Calliclès se moquait du philo sophe. Il prétendait que •C'est ainsi, je crois, que le dieu m'a...
- Faut-il subordonner l'individu à la société ou la société à l'individu ?
-
Une société sans conflits est-elle possible ? Est-elle souhaitable ?
leur propre volonté. » En obéissant à la loi, qui n'est qu'une déclaration de la « volonté générale », je perds ma liberté naturelle de faire tout ce que je veux ou plus précisément tout ce que je peux , étant donné la force des autres quipeuvent s'opposer à mes projets. Mais je gagne précisément une liberté politique, qui me permet à la fois den'obéir qu'à moi-même (puisque je peux me considérer comme l'auteur de la volonté générale, qui est unepartie de MA volonté), et ne pas subir la...
-
Une société juste peut-elle s'accommoder d'inégalités ?
doctrine subordonne le juste au bien : le bien étant préalablement et indépendamment défini, le juste est alors cequi contribue à la maximisation de ce bien. John Rawls résume cette conception « L'idée principale en est qu'une société est bien ordonnée et, par là même, juste, quand ses institutions majeuressont organisées de manière à réaliser la plus grande somme totale de satisfaction pour l'ensemble des individus quien font partie» (Théorie de la justice, p. 49). Il s'agit de mettre au jour...
-
Hume: La société améliore-t-elle l'être humain ?
La société comme un moyen 1. La société est décrite en terme de moyen nécessaire pour l'homme : « c'est par la société seule... ». Parler de lasociété en ces termes, c'est l'envisager par rapport à un individu face à elle qui calculerait son avantage à ladifférence des philosophies qui envisagent la société comme une fin. Les buts que permet d'atteindre la société sontdonnés dans une gradation. D'abord « suppléer à ses déficiences », ce qui permet à l'homme de vivre face à lanature. Ensuit...
-
-
Peut-on concevoir une société sans artiste ?
3) Parce que l'art n'est qu'imitation d'une imitation, un simulacre . Dans La « République » (X 597b-598c - cf. texte), Platon montre que le peintre est « l'auteur d'une production éloignée de la nature de trois degrés ». En effet, il y a trois degrés de réalité. · La première, celle qui est vraiment et pleinement, est la réalité intelligible ou Idée. Pour Platon les Idées ne sont pas des produits de notre intelligence, constitutives de cette dernière (ratio...
-
gérant de société (cours de droit des affaires).
mêmes. D’ailleurs, l’article 1 843-5 du Code civil supprime toute entrave à l’action en responsabilité. Tout d’abord, « un ou plusieurs associés peuvent intenter l’actionsociale en responsabilité contre les gérants. Les demandeurs sont habilités à poursuivre la réparation du préjudice subi par la société ; en cas de condamnation, lesdommages-intérêts sont alloués à la société ». En second lieu, « est réputée non écrite toute clause des statuts ayant pour effet de subordonner l’exercice de l’acti...