124 résultats pour "pleiade"
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Alain propos heureux agriculteurs 1922 gallimard “ bibliothèque de la pléiade 1956 t3 I p.430
Alain propos heureux agriculteurs 1922 gallimard “ bibliothèque de la pléiade 1956 t3 I p.430 ANALYSE DES TERMES DU SUJET : Le travail s'inscrit dans la durée : il est une logique, un cheminement, une succession d'étapes et d'actions qui ont un commencement et une fin. Aussi réclame-t-il attention et concentration pour être mené à son terme. Briser cette continuité, c'est briser l'effort et, du même coup, la volonté. Une fois suspendu l'enchaînement de ses causes et de ses effets, le trav...
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LEMAIRE de BELGES, Jean
, Il 'Watt AM' +r4P,25V1,:i3;Ok. EPF ),.14 76,11: 177 jii.::72-.- 0;;;.;o t36/1CMtiftillf* - 0.0/4-* WS; 10fr,..44116";*. Wilegr. 1,stic.AirAf4,;4. iftgatfA) T - - .4,0617 . AT. 11...:441$71400 L'AGE DE gallicane du roi de France contre l'absolutisme pontifical dans le Traite de la difference des schismes et des conciles de l'Eglise (1511) : avec une penetration remarquable, it pressen- tait la crise qui allait eic later au grand jour avec la revolte de Luther. Il publiait au meme moment une n...
- Un mouvement culturel et littéraire : l'Humanisme au XVIème siècle
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Ronsard Anthologie
l’austérité. Te regardant assise auprès de ta cousine Te regardant assise auprès de ta cousine,Belle comme une Aurore, et toi comme un Soleil,Je pensai voir deux fleurs d'un même teint pareil,Croissantes en beauté, l'une à l'autre voisine. La chaste, sainte, belle et unique Angevine,Vite comme un éclair sur moi jeta son oeil.Toi, comme paresseuse et pleine de sommeil,D'un seul petit regard tu ne m'estimas digne. Tu t'entretenais seule au visage abaissé,Pensive toute à toi, n'aimant rien que toi-...
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Commentez cette idée de Baudelaire : «Je ne prétends pas que la Joie ne puisse pas s'associer avec la Beauté, mais je dis que la Joie en est un des ornements les plus vulgaires ; - tandis que la Mélancolie en est pour ainsi dire l'illustre compagne, à ce point que je ne conçois guère (mon cerveau serait-il un miroir ensorcelé ?) un type de Beauté où il n'y ait du Malheur» (Fusées, X, in Pléiade, Œuvres complètes, t. I, p. 617).
tramway, quatre heures de travail, repas, sommeil et lundi mardi mercredi jeudi vendredi et samedi sur le mêmerythme, cette route se suit aisément la plupart du temps. Un jour seulement, le «pourquoi» s'élève et toutcommence dans cette lassitude teintée d'étonnement. «Commence», ceci est important.» (Le Mythe de Sisyphe, Gallimard, coll. Folio/Essais, p. 29.) 2 Si donc un accident, voire un incident minime, est la cause de ce «commencement», il ne fait en réalité querévéler un Malh...
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Évoquant «ces ressemblances dissimulées, involontaires » qui éclatent «sous des couleurs différentes entre les chefs-d'oeuvre distincts» du même compositeur, Marcel Proust se demande dans La Prisonnière (À la Recherche du temps perdu, Pléiade, t. III, p. 761-762) où le compositeur l'a appris, «entendu», «ce chant différent de celui des autres, semblable à tous les siens», et répond : «Chaque artiste semble ainsi comme le citoyen d'une patrie inconnue, oubliée de lui-même, différente de
«Je suis un romancier, c'est-à-dire un homme qui vit ses rêves, ou les revit sans le savoir. Je n'ai donc pasd'intentions, mais j'avance à tâtons et dans l'obscurité.» (Lettre du 18 août 1946.) Ceci expliquerait l'impression demonotonie que laissent souvent les grands artistes. On a parfois le sentiment que d'une oeuvre à l'autre ilscherchent moins à se renouveler qu'à cerner de plus en plus près un secret intérieur qui leur échappe, à pénétrerdans un univers dont ils ont la...
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Après avoir écrit : «Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique...», Paul Valéry affirme : «Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien.» (Avant-propos à La Connaissance de la Déesse, dans Oeuvres, Pléiade, t. I, p. 1270-1272. Valéry pense à la phrase où Mallarm
1896 ; Valéry, notamment contexte du passage à commenter ; abbé Bremond, La Poésie pure). Bien entendu, cettepoésie pure n'est qu'une limite inaccessible tant qu'on se sert des mots. Mais cette limite, beaucoup de symbolistesinclinent à croire que c'est précisément la musique. L'esthéticien anglais, Walter Pater, très admiré des symbolistes,écrivait que «tous les arts aspirent à rejoindre la musique». En effet, quand on exclut de n'importe quel art tout cequi est didactique, tout ce qui est mati...
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Paul Valéry donne à l'écrivain ce conseil : «Entre deux mots, il faut choisir le moindre» (Tel Quel, Littérature, 1929, Pléiade, t. II, p. 555). Vous rapprocherez cette boutade de la définition qu'André Gide propose du classicisme : «Le classicisme - et par là j'entends : le classicisme français - tend tout entier vers la litote. C'est l'art d'exprimer le plus en disant le moins.» (Billets à Angèle, 1921, dans Incidences.) Vous vous demanderez quel aspect du classicisme et, d'une façon
encore plus, sous chacun de ses silences couve une insolence qu'elle veut bien ne pas dispenser, une impertinencevolontairement restreinte, réduite, reconduite, tenue en main, tenue en guide, une insolence, une impertinenceroyale, fille de roi, quel roi, (secrètement fille d'Atride); ou le dernier, le pire de tout, une insolence de tendresse,une impertinence tendre.» (Victor-Marie, comte Hugo in Pléiade, Oeuvres en prose, t. II, p. 776.) A la lumière decette suggestion de Péguy, il serait...
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Contre Sainte-Beuve de Marcel Proust (analyse détaillée)
sur la forme définitive à adopter et renonça dès 1909 à publier un ouvrage sous ce titre. À de nombreuses reprises, il avait insisté sur sa ferme intention de juxtaposer dans un même livre roman et essai. Il avait d'ailleurs décrit l'ouvrage qu'il proposait au directeur du Mercure de France, en avril1909 : «Je termine un livre qui malgré son titre provisoire : Contre Sainte-Beuve. Souve nirs d'une matinée est un véritable roman et...
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HYMNES. Recueil poétique de Pierre de Ronsard
convoquer toutes les figures grandioses du monde matériel et spirituel ? À partir de 1560, Ronsard, tout en maintenant dans les éditions collecti ves de ses œuvres la section des Hym nes, a fait subir à ces poèmes d'impor tantes modifications : il en a changé l'ordonnance, en a supprimé certains, a plus ou moins remanié les autres. Il importe donc de distinguer le texte de 1555-1556 des éditions ultérieures. L'édition originale s'ou...
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Dossier Ronsard
1 / Biographie de Ronsard Ronsard est un écrivain, poète Français du 16ème siècle, né en 1524 et décédé en 1585. Poète de la renaissance, il est l’un des plus importants de cette période. Durant son enfance Ronsard est accompagné par un précepteur. En 1533, il est renvoyé du collège, il intègre alors l’école militaire à l’age de 12 ans. Suite à une grosse fièvre il tombe malade, et devient subitement sourd . Il doit renoncer à cette carrière militaire. C’est alors qu’en 1543 il décide...
- Le lyrisme dans Les Regrets de Du Bellay
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99F Frédéric Beigbeder , liens livre/film
Ses tentatives se soldent par des échecs retentissants et le propulsent petit à petit au sommet de l'échelle. Il a été vendu à plus de 500 000 exemplaires II/ Le film Une adaptation au cinéma, titrée aussi 99 francs, est sortie le 26 septembre 2007, réalisé par Jan Kounen, avec Jean Dujardin, sur un scénario de Nicolas & Bruno. C'est finalement Jan Kounen, qui réalisera et qui choisira : « je trouvais qu'il avait une capacité extraordinaire à faire aimer un imbécile arrogant ». Comme le dit Oct...
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Ronsard (Pierre de), 1524-1585, né au château de la Possonnière (Couture-sur-Loir, Loiret-Cher), poète français.
place à la grandiose épopée de la nation France et de ses rois. Ronsard, déçu par cet échec, attristé par la mort de Charles IX, s'occupa dès lors de l'édition de ses œuvres complètes, remaniant ses poèmes, en adjoignant de nouveaux. Les seules œuvres nouvelles furent les Sonnets à Marie (1574), puis les Sonnets à Hélène (1578), où le ton aigre-doux des vers révèle encore une fois l'enchantement et la délicatesse de la poésie ronsardienne. Si Philippe Desportes suivit à la cour les traces d...
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Révision sur La création Poétique
Platon Ion : Le Ion est un dialogue de Platon qui fait partie des dialogues dits "socratiques": genre littéraire pratiqué par lesdisciples de Socrate. Platon en fait partie. Cette œuvre est, en effet, un dialogue entre Socrate et le rhapsode (unrhapsode consiste à réciter les œuvres d'un poète de villes en villes et à les rendre accessibles à la population.) Ionse déroulant dans Athènes du Ve siècle. Le fait que Socrate considère la poésie comme étant uniquement une source d'inspiration divi...
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SCÈVE Maurice: critique et analyse de l'oeuve
le purgatoire de celui -cl et renonce à venir rend re compt e de sa mission . Ce roman embrouille e t fert ile en incohé rences n' est pourtant pas sans Intérêt. D'abord parce qu'il esquisse . à l'opposé de l'amour courtois. un no uvel art d'aimer. exal tan t la vengeance et le don juanisme (Pamphile): ensu ite parce qu'on y trouve déjà, épars e et surpre nante. la frappe scévienne de quelques vers de Délie. Mais c'est e n marge de ces œuvres...
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Grand oral du bac : Le symbolisme (Histoire de la littérature)
Saint-Pol Roux, fait ses débuts littéraires en 1886 dans le groupe des écrivains de la "Pléiade» en publiant une petite plaquette de vers, Lazare. Il entre ensuite dans le mouvement symboliste et collabore à toutes les revues de l'école, en particulier à L'Ermitage et au Mercure de France. Sa doctrine, l'" idéoréalisme », est définie dans les Reposoirs : recherche de l'Idée à travers la Nature. Pour lui, l'imagination seule peut nous rendre la vra...
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Définition et usage du mot:
BATHO-, BATHY-, élément préfixe.
312735 profond "A.— ÉLECTRICITÉ :bathymètre, substantif masculin. " Dispositif destiné à mesurerl'affaiblissement présenté par un courant électrique de transmission "(Dictionnaire encyclopédique Quillet, 1965); (toujours sous la vedettebathymètre en électricité)B.— GÉOLOGIE, PÉDOLOGIE :bathydrique - Zone bathydrique. " Zone profonde du sol où l'eau est inerte(sans oxygène) et où ses mouvements sont indépendants du relief externe "(d'après Dictionnaire des sols (GEORGES PLAISANCE, ANDRÉ CAILLEUX)...
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ARBRES COMPLICES DANS LES RÉCITS DE TRISTAN ET ISEUT
106 et, pour finir, la saga dite « islandaise » de Frère Robert 1. Comme on le sait, certains de ces récits sont centrés sur un seul épisode (les deux Folies, le Lai du chèvrefeuille) ou bien nous sont parvenus dans un état plus ou moins lacunaire : le texte de Béroul ne contient que le « milieu » de l’histoire ; celui de Thomas n’est conservé que dans quelques fragments relatant les derniers épisodes ; le roman de Gottfried s’arrête avant le mariage de Tristan avec Iseut aux Blanches Ma...
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HISTOIRE DE LA LANGUE FRANÇAISE
Au début du XVII• siècle, MALHERBE, «peigneur» L'Épo que Cla ssiq ue de mots et de syllabes, travaille à débarrasser la langue de ses impuretés : mots populaires, archaïsmes, néologismes injustifiés. Il proscrit les mots " sales " (tels que " barbier "), les latinismes (« larges pleurs "), les dérivés et mots composés dont la Pléiade avait enrichi, mais aussi souvent encombré le français. Pourtant, si les mots nouveaux lui paraissent dangereux, il réintr...
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Le terme de poésie désigne un champ de production à la fois plus vaste et plus diffus que
celui d'un simple genre littéraire dont vers et rimes constitueraient des indices sûrs.
IVe siècle avant J.-C., ou dans le processus de formation des langues, qu'il s'agisse de l'ancien islandais entre le XI e et le XII e siècle ou de l'ancien français entre le XII e et le XIV e siècle. C'est ainsi que le « roman », qui allait connaître un essor remarquable et devenir l'exemple par excellence de la littérature en prose, naquit chez Chrétien de Troyes sous forme de décasyllabes, ou que l' Edda poétique précéda sans doute de deux siècles la mise en prose qu'en fit Snorri Sturlus...
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AUBIGNÉ Théodore Agrippa d' : sa vie et son oeuvre
il se réfugie à Genève, où il s'occupe des fortifications de la ville et se remarie. Avant de mourir, au terme d'un «hiver» malgré tout serein, il voit son fils Constant, le père de la future Mm• de Maintenon, se révolter contre lui, et il assiste. avec le siège de La Rochelle, à la défaite du parti qu'il avait servi par l'épée et par la plume. Un Printemps de péchés Émule de Ronsard, qu'il révère en dépit d'un engage ment politique diamétraleme...
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MALRAUX André : sa vie et son oeuvre
dans le logement surplombant l'épicerie familiale de Bondy. Il fréq uente le collège, puis, à dix-sept ans, décide de prendre en main sa propre éducation. Pas sionné d'art, élève au musée Guimet et à l'école du Louvre, ce lecteur insatiable apprend le sanskrit. Il gagne sa vie dans le commerce des livres d'occasion, et cette activité l'introduit auprès d'intellectuels chevronnés (Gide, Max Jacob, Reverdy) qui l'encouragent à écrire : la revue...
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Französische Literatur (Sprache & Litteratur).
Inbegriff allerhöchster Tugend ) und von Louise Labé ( Sonnetts, 1555; 24 Sonette ) sowie das Werk des in der Nachfolge Ariostos schreibenden Philippe Desportes zu sehen. In der Prosa der Zeit orientierte sich Margarete von Navarra bei Heptaméron (herausgegeben 1559) an Boccaccios Novellenzyklus Decamerone. François Rabelais wiederum ließ sich für die sinnenfroh-überbordende Phantastik und den Wortwitz seiner von satirischer Gesellschafts- und Kirchenkritik durchsetzten Renaissanceromane...