852 résultats pour "entends"
-
Liberté et indifférence ?
retour agir sur l'entendement lui-même, en lui proposant d'autres idées à considérer (lettre de Descartes à Meslanddu 2 mai 1644, in Œuvres , édition Vrin, Adam & Tannery (AT), vol. IV). Dans la lettre à Mesland du 9 février 1645, il écrit ainsi : « Cette faculté positive, je n'ai pas nié qu'elle fût dans la volonté. Bien plus, j'estime qu'elles'y trouve, non seulement dans ces actes où elle n'est poussée par aucuneraison évidente d'un côté plutôt que de l'autre, mais aussi dans tous lesautr...
-
Explication de texte de Leibniz
Cned –7PH00CTPA0113 2/8 Rappel concernant la présentation des devoirs, notamment pour le baccalauréat. Nous avons mis entre crochets, en tête de certains paragraphes, des titres ou des numéros dans le but de faciliter votre lecture en rendant plus manifestes laconstruction du devoir et l'ordre des idées c’est-à-dire de leur discussion. N'oubliez pas, cependant, que, dans vos propres copies, ycompris le jour du baccalauréat, vous ne devez pas utiliser ce procédé typographique ,qui n'est qu'u...
-
Explication du texte de leibniz
2/8 Rappel concernant la présentation des devoirs, notamment pour le baccalauréat. Nous avons mis entre crochets, en tête de certains paragraphes, des titres ou des numéros dans le but de faciliter votre lecture en rendant plus manifestes laconstruction du devoir et l'ordre des idées c’est-à-dire de leur discussion. N'oubliez pas, cependant, que, dans vos propres copies, ycompris le jour du baccalauréat, vous ne devez pas utiliser ce procédé typographique ,qui n'est qu'une aide pédagogique...
-
jugement (philosophie) - philosophie.
prétendait. Mais, pour ne s’en tenir qu’à l’explicitation de la faculté de sentir, Kant devait paradoxalement mettre un terme à la carrière du beau. En effet, « pour distinguer si quelque chose est beau ou non, nous ne rapportons pas la représentation à l’objet au moyen de l’entendement en vue d’une connaissance », comme dans le jugement logique ou déterminant , « mais nous la rapportons par l’imagination (peut-être liée à l’entendement) » au sentiment de plaisir et déplaisir du sujet, c’est-à-...
-
Qu'entend-on par valeurs
mobilières étrangères ?
lières doit comporter les indications suivantes : — le nom, l'adresse, la forme sociale de l'intermédiaire financier qui sollicite le public ; — l'indication de l'auto- rité étrangère ayant déli- vré l'agrément ou ayant habilité cette personne à exercer une activité financière ; — l'indication que le mar- ché étranger a fait l'ob- jet d'une reconnaissance par le ministre de l'Éco- nomie. n Fiscalité : — Les actions : les revenus procurés par vos actions so...
-
La question de la motivation
Qu'entend-on par motivation ?
Comment les mettre en œuvre ? Une fois ceci posé et le choix du modèle d’apprentissage effectué, reste à l’enseignant à mettre en œuvre une situation d’appr entissage efficace. Il s’agit de penser les paramètres pratiques : - conception de séances - modalités d’organisation - paramètres relationnels - conditions sociologiques Quels sont ces paramètres sociologiques ? Le désir de savoir est très largement la résultante de facteurs socioculturels qui pr...
-
La vérité est-elle différente de la réalité ?
même au péril de ma vie, m'empêcher de penser que la neige est blanche, et el feu, chaud. Vous certes, qui, parneige, et feu, entendez certaines substances extérieures, non perçues et non percevantes, vous avez le droitdénier que la blancheur et la chaleur soient des qualités inhérentes ) ces substances. Mais moi, que entends parceces mots les choses que je vois et touches, je suis obligé de penser comme les autres hommes. et, tout commeje ne suis pas sceptique sur la nature des choses, ne ne...
-
Le mot "fiction" dans l'oeuvre de DESCARTES
et partant, l'essence sans l'existence est une fiction de notre esprit. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L'AUTEUR AUX QUATRIEMES OBJECTIONS, REPONSES A LA PREMIERE PARTIE. Mais, à mon jugement, ceux qui repasseront souvent dans leur esprit les choses que j'ai écrites dans ma seconde Méditation, sepersuaderont aisément que l'esprit n'est pas distingué du corps par une seule fiction ou abstraction de l'entendement, mais qu'il estconnu comme une chose distincte, parce qu'il est tel en...
-
- Etre libre, est-ce vivre comme on l'entend ?
-
La vérité est-elle différente de la réalité ?
même au péril de ma vie, m'empêcher de penser que la neige est blanche, et el feu, chaud. Vous certes, qui, parneige, et feu, entendez certaines substances extérieures, non perçues et non percevantes, vous avez le droitdénier que la blancheur et la chaleur soient des qualités inhérentes ) ces substances. Mais moi, que entends parceces mots les choses que je vois et touches, je suis obligé de penser comme les autres hommes. et, tout comme jene suis pas sceptique sur la nature des choses, ne...
-
Qu'est-ce que je sous-entends quand je parle d'autrui comme de mon semblable ?
Reprenons le concept. Nous avons vu que le ressemblant, par définition, n'est pas l'identique. Le ressemblantrapproche des êtres irréductiblement singuliers. Or le lien moral peut-il se fonder autrement que sur lareconnaissance de l'identité?La morale n'a de sens qu'universelle. Jankélévitch nous le rappelle, soulignant que le relativisme moral, qui valorise ladifférence, s'appuie sur une exigence d'universalité, celle de la valeur de la différence: "dans toutes les négations dela...
- Hume : Enquête sur l'entendement humain
-
Locke, essai sur l'entendement humain
Cependant dans un deuxième temps Lock réfute la crédibilité de son exemple en expliquant que même si entre eux les brigands présentent quelques caractères morales, ils exercent le mal tout autour d'eux, ceux sont en effet des malfaiteurs. Locke cherche donc à savoir quel serait le principe qui pourrait être qualifié d'universel si la moral ne l'est pas : il en arrive à la conclusion que seuls la fidélité et la justice se retrouvent présentent dans toutes sociétés, s'ensuivant que ces dernières n...
- J. Locke, Essai sur l'entendement humain.
-
L'homme aux quarante écus
J'entends.
Pour la vie, il faudrait rendre dans Paris l'air plus pur, que les hommes mangeassent moins, qu'ils fissent plus d'exercice, que les mères allaitassent leurs enfants, qu'on ne fût plus assez malavisé pour craindre l'inoculation: c'est ce que j'ai déjà dit, et pour la fortune, il n'y a qu'à se marier, et faire des garçons et des filles. L'HOMME AUX QUARANTE ÉCUS Quoi! le moyen de vivre commodément est d'associer ma misère à celle d'un autre? LE GÉOMÈTRE Cinq ou six misères ensemble font...
-
avec elle ; nous verrons, mais, sur mon honneur, vous êtes trop indulgent.
CHAPITRE XVII LE MÉNAGE BONACIEUXC’était laseconde foisque lecardinal revenaitsurcepoint desferrets dediamants avecleroi. Louis XIII fut donc frappé decette insistance, etpensa quecette recommandation cachaitunmystère. Plus d’une foisleroi avait étéhumilié quelecardinal, dontlapolice, sansavoir atteint encore laperfection de la police moderne, étaitexcellente, fûtmieux instruit quelui-même decequi sepassait danssonpropre ménage. Il espéra donc,dansuneconversation avecAnne d’Autriche, tirerquelqu...
-
-
Tchekhov, la Mouette (extrait).
DORN . — Jupiter, tu es en colère… ARKADINA . — Je ne suis pas Jupiter, je suis une femme. (Elle allume une cigarette.) Je ne suis pas en colère, je trouve seulement qu’il est triste de voir un jeune homme perdre son temps à des choses aussi mornes. Je n’ai pas voulu le blesser. MEDVÉDENKO . — Il n’y a aucune raison de séparer l’esprit de la matière, puisque l’esprit lui-même peut être un ensemble d’atomes matériels. (Avec animation, à Trigorine.) Pourquoi n’écrirait-on pas une pièce sur...
-
LA CRITIQUE DE LA FACULTÉ DE JUGER de KANT (résumé et analyse)
Kant examinait la faculté de connaître, qui recevait a priori sa loi de l'entendement; dans la deuxième, il analysait la faculté de désirer et de vouloir, qui recevait de façon a priori, elle aussi, sa loi de la rai son. Dans la troisième Critique, il s'agit d'examiner la dernière des trois facultés de l'âme humaine, celle d'éprouver les sentiments du plaisir et de la peine, à laquelle seront également données des lois a priori dan...
- Qu'entend-on par enquêtes sociologiques ? A quoi peuvent-elles être utiles ? Et à quelles conditions le sont-elles ?
-
Lexique philosophique (de EGOISME à EQUIVOQUE)
Ensemble :désigne les objets qui ont en commun un élément caractéristique susceptible de les réunir dans une même catégorieque l'on appelle ensemble. Depuis Cantor, les mathématiques disposent d'une Théorie des ensembles infinis. En-soil'en-soi est la substance qui n'a pas besoin d'autre chose pour exister. C'est aussi ce qui est, indépendamment desconditions de connaissance qui sont les nôtres ; en ce sens, Kant parle de "chose en soi" ou de "noumène". ChezSartre, "l'être-en-soi" s'oppose à "l'...
-
absolu, et la dame, repoussée et abandonnée de tous, s'écrie avec Hécube :
Modo maxima rerum,
Tot generis natisque potens,.
9 La métaphysique et le tribunal de la Critique nature humâine. Aussi ces prétendus indifférentistes, quelque soin qu'ils prennent de se rendre méconnaissables en substituant un langage populaire à celui de l'école, ne manquent-ils pas, dès qu'ils pensent un peu, de retomber dans ces mêmes assertions métaphysiques pour lesquelles ils affichaient tant de mépris. Cependant, cette indifférence qui s'élève au sein de toutes les sciences, au moment même...
-
L'expérience est elle nécessaire à la connaissance ?
suppose l'intervention de principes internes à l'esprit, principes organisant l'expérience mais ne découlant pas d'elle? -Telle est l'analyse que Kant propose de la causalité. ce que l'expérience fournit ce sont les éléments liés par larelation causale, non la relation elle même. celle ci est une catégorie de l'entendement posant que "tout ce quiarrive suppose qqch dont il résulte suivant une règle". Sans ce principe, dit Kant, nous serions dans l'impossibilité deconnaitre quoi que ce soit et...
-
Sam était hors de lui.
les bandits firent demi -tour et s’enfuirent sur la Route de Hobbit ebourg, mais, ce faisant, ils sonnèrent du cor. « Eh bien, il était grand temps de rentrer », dit Merry. « Grand temps. Peut -être est - il même trop tard, pour sauver Lothon en tout cas, dit Frodon. C’est un pauvre imbécile, mais je le plains. » « Sauver Lot hon ? Que veux -tu dire ? répliqua Pippin. Le détruire, dirais -je. » « Je crois que tu ne comprends pas tout à fait, Pippin, dit Frodon. Lothon n’a jamais...
-
De l'influence des passions sur l'entendement ; en donner des exemples.
Beaux, bien faits, et jolis sur tous leurs compagnons; en réalité, ils sont pour une personne impartiale: De petits monstres fort hideux. La Rochefoucauld, dans une de ces maximes où il a si bien analysé le coeur humain, a dit avec raison : « L'esprit estla dupe du coeur. » Et Pascal, avec son souverain mépris pour la raison humaine, disait aussi : « Notre propreintérêt est un merveilleux instrument pour nous crever agréablement les yeux. » Il constate aussi dans son opusculede l'Art de pers...
-
-
Kant et la perte du sens commun
III. Pourquoi l'interdiction des livres qui ne visent que des opinions théoriques fait- elle tort à l'humanité ? Kant justifie ensuite son choix du livre théorique comme meilleur moyen de se confronter à autrui. Publier se type de livre signifie le confronter à un grand nombre de lecteurs, et donc signifie se rapprocher d'une plus grande objectivité dans laréception. Les amis pourraient être subjectifs en étant plus favorables à une idée que ce qu'ellemérite réellemen...
-
Nouveaux essais sur l'entendement humain - Préface par LEIBNIZ.
Transition L’auteur continu d’illustrer sa thèse en utilisant un troisi ème exemple : « Et celuil à se tromperait encore qui croirait que, dans nos climats au moins, c’est une v érit é nécessaire et é ternelle qui durera toujours, puisqu’on doit juger que la terre et le soleil m ême n’existent pas n écessairement, et qu’il y aura peut être un temps o ù ce bel astre ne sera plus, au moins dans la pr ésente forme, ni tout son syst ème ». Si l’on dit que le soleil se l ève tous ...
- LEIBNIZ: Préface aux Nouveaux Essais sur l'entendement humain
-
Les fonctions de la raison théorique et le contenu de la « Critique de la raison pure ».
superpose aux données de l'expérience. 1° Les formes « a priori » de la sensibilité. — Déjà la sensibilité, bien qu'elle soit réceptivité pure, introduit quelquechose d'elle-même dans les représentations qu'elle nous donne des objets. Cette donnée a priori participenaturellement de la fonction de la sensibilité. La sensibilité est une faculté d'intuition. Si donc elle introduit dans la représentation des objets quelque chose quine vienne pas du dehors, ce doit être un mode d'intuition...
-
Est-on libre lorsqu'on est indifférent ?
Première partie : Le plus bas degré de la liberté. 1.1 Indifférence d'équilibre. Le premier sens de l'indifférence la comprend comme absence de détermination. Il n'y a aucune raison qui motivel'homme agir, il se trouve alors dans un état d'équilibre ; autrement dit il n'est pas influencé de l'extérieur à choisirun parti plutôt qu'un autre. En ce sens l'indifférence est liée à la liberté en tant qu'elles expriment toutes les deuxl'absence de contrainte. « La perception du vrai ou du bien » f...
-
précède a priori toute ma pensée déterminée 1.
Le ciel étoilé un objet, c'est-à-dire leur valeur objective; c'est elle qui en fait des connaissances, et c'est sur elle par conséquent que repose la possibilité même de l'entendement. (Raison pure, 1, p. 141.) La diversité donnée dans une intuition sensible rentre nécessai rement sous l'unité synthétique originaire de l'aperception, puis que l'unité de l'intuition n'est possible que par elle (§ 17). Or, l'acte de l'entendement par lequel le divers de...
-
KANT: QU'EST-CE QUE LES LUMIÈRES ? (Résumé & Analyse)
une dignité" (Kant). (4) Pratique: est pratique tout ce qui est possible du fait de la liberté Les principes pratiques sont despropositions renfermant une détermination générale de la volonté: ils sont considérés par un sujet commevalant seulement pour sa volonté; ils sont objectifs et sont des lois pratiques, lorsqu'ils sont valables pour lavolonté de tout être raisonnable. La connaissance pratique est la connaissance par laquelle je me représentece qui doit exister. (5) Théorique:...
-
Peut-on dire d'une oeuvre d'art: "sois belle et tais-toi" ?
présent qui ne le garantit jamais à la rigueur, c'est croire à un monde. C'est cette ouverture à un monde qui rendpossible la vérité perceptive, la réalisation effective d'un Wahr-Nehmung , et nous permet de « barrer » l'illusion précédente, de la tenir pour nulle et non avenue. » MERLEAU-PONTY, Phénoménologie de la perception. Transition : Nous pouvons nous libérer des illusions des sens soit par l'entendement soit par la perception elle-même. Il nous reste à étudier les illusions de la c...
-
-
Qu'entend-on par habitude ? Quelle influence l'habitude exerce-t-elle sur nos facultés ?
:18:.! R.ECUElL Il y a des habitudes, comme celle de monter à cheval, où le corps a plus de part; il y en a d'autres où la part de l'âme est plus considérable ; l'habitude de calculer par exemple. Mais parmi les unes comme parmi les autres, il en est qui ont pour effet d'émousser la sensi bilité soit physique, soit morale, ct qu'on appèlle pour cela habitudes passives. Ces habitudes, en diminuant la sensibilité, forcent l'homme à recher...
-
KANT et le "je pur transcendantal"
Mais cette représentation est un acte de la spontanéité, c'est-à-dire qu'elle ne peut être considérée commeappartenant à la sensibilité. Je l'appelle l'aperception pure, pour la distinguer de l'aperception empirique, ou encorel'aperception originaire, parce qu'elle est cette conscience de soi qui, tout en produisant la représentation Je pense,doit pouvoir accompagner toutes les autres représentations, et qui, une et identique en toute conscience, ne peutêtre accompagnée au-delà (weiterbeg...
-
Alain: La raison modifie-t-elle la perception sensorielle ?
donc spontanément à la perception. Connaître un dé, c‘est le percevoir. Mais comment le perçoit-on ? Sous sasimplicité apparente, ce problème comporte une grande complexité. L'opinion commune croit que c'est le toucher quinous fait connaître le dé. Cependant le dé ne comporte pas qu'une dimension tactile. En effet le dé comprend unepluralité de dimensions qui correspondent à autant de faculté épistémiques différentes : les arrêtes, les pointes, lesplans durs et lisses s'offrent au toucher ; le...
-
Y a-t-il une logique de la réalité ?
Dès lors, même s'il semble absurde de vouloir définir la réalité, elle est toujours là et le philosophe a à lacomprendre comme elle lui apparaît. II. Rationalisme et Empirisme. - Le rationalisme (cf. Descartes, Spinoza, Leibniz) : principal courant du 17 e siècle, ses représentants posent la possibilité de connaître la structure de la réalité à partir de pursprincipes de la pensée. L'ordre logique du monde rend possible saconnaissance déductive. Les mathématiques fure...
-
La connaissance vraie requiert-elle la liberté du sujet ?
qu'individu particulier, le moins de part possible. Transition : Pour qu'une connaissance soit vraie, il faut que la liberté du sujet connaissance soit nulle. Si le sujet est libre, c'est que la connaissance est vraisemblable, qu'elle n'est qu'une opinion. En effet varier et se contredire caractérise la liberté : nulle contrainte, nulle nécessité. Mais, si la connaissance vraie requiert une absence de liberté du sujet (au sens où la vérité exige que le sujet la reconnaisse comme telle sou...
-
Notre Dame de Paris
Voilà bien du fer, dit le roi, pour contenir la légèreté d'un esprit!
Il arracha le cahier des mains de maître Olivier, et se mit à compter lui-même sur ses doigts, en examinant tour à tour le papier et la cage. Cependant on entendait sangloter le prisonnier. Cela était lugubre dans l'ombre, et les visages se regardaient en pâlissant. \24 Quatorze ans, sire! voilà quatorze ans! depuis le mois d'avril 1469. Au nom de la sainte mère de Dieu, sire, écoutez-moi! Vous avez joui tout ce temps de la chaleur du soleil. Moi, chétif, ne verrai-je plus jamais le jour?...
-
Article de presse: Les accords de Gdansk :j'accepte, je signe
pas seulement à Gdansk. Alors, tout ce qui le sous-entend et laisse la porte ouverte à cette possibilité, à défaut de la garantir,semble arguties, faux-semblants et tromperies. Enfin et surtout, la fête de la grève, la rupture des normes, ne faisaient que commencer avec cet incroyable remue-ménage : cestracts qu'on s'arrache; cette découverte-quel phénomène!-de l'imprimerie artisanale bricolée et libre; ces étrangers venus departout avec de grands yeux; cette gloire mondiale; ces jeunes acteu...
-
Comment savons-nous que nous ne rêvons pas ?
Et deuxièmement, on peut d'une manière générale estimer que même lorsqu'on perçoit des objets extérieurs, ce nesont peut-être toujours que des images de ces objets que nous percevons, et jamais les objets eux-même. Peut-être alors qu'au simple niveau de la perception, je ne peux pas savoir si je rêve ou pas. b) le doute est permis En constatant que les perceptions lors des rêves sont du même ordre que les perceptions en état de veille,puisqu'en effet on peut effectivement croire qu...
-
-
Anthologie - Philosophie:
72 1 PHILOSOPHIE DU PROGRÈS qui a de l'entendement à ma place, un directeur de conscience qui a de la conscience à ma place, un méde cin qui juge à ma place de mon régime alimentaire, etc., je n'ai alors pas moi-même à fournir d'efforts. Il ne rn' est pas nécessaire de penser dès lors que je peux payer ; d'autres assumeront bien à ma place cette fasti dieuse besogne. Et si la plus grande partie, et de loin, des hommes (et parmi...
-
Commentaire composé « du Lac » d'Alphonse de Lamartine
le fait qu'il rend concret, sensible le mouvement de la fuite du temps. Si on entend filer « l'heure fugitive », on entend les « sombresabîmes » engloutir « les jours », c'est grâce au rythme de l'alexandrin combiné tout d'abord à l'énumération de mots renvoyant àl'idée de temps au vers 45 : « Eternité, néant, passé, sombres abîmes, » énumération auquel fait écho une autre énumération, celledes éléments naturels au vers 49 : « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! ». Ensuite l'accumu...
-
Explication de texte Essai sur l’entendement humain, Locke
dire que le principe religieux selon lequel l’âme fait l’unité de la personne et lui permet d’exister et d’être lui-même comme avant sa mort est à remettre en cause ? Dans un deuxième temps, après avoir réfutée la seule existence de l’âme, Locke explique que c’est la conscience, qui conjointement à l’âme, donne une identité à l’homme. Ce sentiment que l’on a de nos propres actions, sentiment qui accompagne toutes nos perceptions,...
-
L'entendement chez Kant
et indubitables au même titre que celles qui lui paraîtront manifestement être fausses. Ces« principes» seront successivement les sens- ce que nous apprennent, croyons-nous, du monde extérieur, la vue, l'ouïe, l'odorat ou le toucher -mais aussi, puisqu'il n'est pas impossible qu'un mauvais génie «aussi rusé et trompeur que puissant emploie toute son industrie à me tromper» «toutes les fois que je fais l'addition de deux et de trois ou que je nom...
-
mais aussi une nécessité liée comme besoin avec le devoir,
IV. ESTHÉTIQUE ET RELIGION Les deux premières Critiques avaient creusé « un abîme immense » (Critique du Jugement, p. 17) entre le monde de la nature (sensible) et le monde de la liberté (supra-sensible). Il faut cependant qu'un accord soit possible entre la causalité qui régit le monde sensible et la finalité qui caractérise la loi morale, pour que celle-ci ne demeure pas vaine. Kant croit trouver dans la faculté de juger ce lien entre le sensible et...
- Dissertation: Qu'est-ce que je sous-entends lorsque je parle d'autrui comme de mon semblable ?
- SAINT PAUL: «Je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.»
-
QU'EST-CE QUE LES LUMIÈRES ? de Kant (fiche de lecture)
(2) Principe: au sens normatif, règle ou norme d'action. (3) Dignité: En morale, caractère de la personne humaine ayant une valeur telle qu'elle doit toujours être traitée comme une fin et jamais simplement comme un moyen. Alors que les choses n'ont qu'une valeur relative, autrement dit un prix, les personnes, qui sont supérieures à tout prix, "ont une valeur intrinsèque, cad une dignité" (Kant). (4) Pratique: est pratique tout ce qui est possible du fait de la libert...
-
- BARUCH SPINOZA : TRAITE DE LA REFORME DE L'ENTENDEMENT (Résumé & Analyse)
-
Sujet francais
Sujet 1 | Énoncé Texte 2 Emma a épousé Charles Bovary, un officier de santé. Elle mène une vie plate et médiocre, bien différente du bonheur que lui faisaient imaginer ses lectures romanesques au couvent où elle a fait ses études. Elle sombre peu à peu dans l’ennui et la mélancolie. Un soir que la fenêtre était ouverte, et que, assise au bord, elle venait de regarder Lestiboudois, le bedeau 2, qui taillait le buis, elle entendit tout à coup sonner l’angélus 3. On était au commencement d’avr...