706 résultats pour "croirait"
-
Pascal Blaise, 1623-1662, né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), savant, écrivain et
philosophe français.
On appelle « pari de Pascal » le célèbre raisonnement que celui-ci employa dans ses Pensées pour convaincre les « libertins » ou incroyants de croire en Dieu : constatant que, s'il est impossible de prouver que Dieu existe, il l'est aussi de prouver qu'il n'existe pas, Pascal transporte le problème sur le plan de l'intérêt en affirmant que l'homme a tout avantage à parier que Dieu existe (« Si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien »). Complétez votre recherche en...
-
Le savoir exclut-il toute forme de croyance ?
La croyance intervient ici là où la raison (du savant) rencontre un obstacle : la position de Pascal délimite deuxchamps qui n'interfèrent pas. L'interpénétration de la croyance et du savoir reste impossible : il y a bien exclusion mutuelle des champs sur lesquels croyance et savoir ont droit d'affirmer des vérités. Cependant il y a coexistence possible : « Votre raison n'est pas plus blessée » écrit Pascal. Savoir et raison s'excluent donc bien mais sur le modede la complémentarité . II –...
-
Le mot "favorable" dans l'oeuvre de DESCARTES
puisse regarder de quelque biais qui fera qu'ils lui paraîtront favorables. Correspondance, année 1646, A MONSIEUR *** (A HUYGENS), Sans date. (Les éditions contemporaines datent cette lettre de janvier 1646). Ses parents ont dessein d'avoir recours à la clémence de Son Altesse, afin de tâcher d'obtenir sa grâce, et ils ont désiré aussi queje vous en écrivisse, pour vous supplier de vouloir seconder leur requête d'un mot favorable, en cas que l'occasion s'en présente. Correspondance, an...
-
Existe-t-il un gène de la foi ?
d’une vraie origine, plus pr écise que ce que propose le philosophe des Lumi ères, qu ’ils jugent incompl ètes . C'est durant le XX ème siècle que de nombreuses th èses sur cett e origine de la foi fusent. Notamment celle de Dan Sperber, directeur de recherche au CNRS et anthropologue. Il soutient la th èse que notre aptitude à croire en quelque chose de sup érieur trouve sa source dans le fonctionnement m ême de la pens ée...
-
L'ordre rationnel
L « construit les cerveaux des hommes, puis ordonné les choses en conséquence ».Ce n'est pas le monde qui est à l'image de notre raison, mais l'inverse : «je crois plutôt, affirme Galilée, que la nature a d'abord produit les choses à son gré, puis fabriqué la raison humaine en la rendant capable de découvrir (quoique non sans peine) une partie de ses secrets » (Clavelin, op. cit., p. 400). Là, Descartes se montre plus au...
-
l'histoire Naturelle 36 ?
vail de l'abeille. On a battu bien du terrain en vain, si on ne rentre pas dans la ruche chargée de cire. On a fait bien des amas de cire inutile, si on ne sait pas en former des rayons 41 . X Mais par malheur il est plus facile et plus court de se consulter soi que la Nature. Aussi la raison est-elle portée à demeurer en elle-même, et l'instinct à se répandre au-dehors. L'instinct va sans cesse regardant, goûtant, touchant, écoutant ; et il y aurait peut-être plus de p...
-
qui produit aussi les vivants ?
174 PLATON PAR LUI-MÊME ments : quand nous le traiterons de faiseur d'images, il nous demandera ce que, de façon générale, nous appelons : image. Il nous faut donc, Théétète, exa miner la réponse à faire à ce gaillard. - T. Évi demment nous citerons les images dans les eaux et dans les miroirs, ·ainsi que les images peintes et sculptées et toutes les autres du même genre. -É. C'est à croire que tu n'as jamais vu de sophiste, Thé...
-
LETTRES D'AMOUR
France métropolitaine, septembre 2003 - 20 maisons; on voyait des pampres secs où l'on n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboulées, d'excellents fruits sur des rochers, et des champs dans des précipices. [ ... ] 1. Personne qui se fait payer. Il Texte 2 : Première partie, Lettre L, de Julie à Saint-Preux. À la suite d'un repas un peu arrosé, Saint-Preux a eu des mots et un comporte ment qui ont choqué Jul...
-
-
Résume d'Electre de Jean Giraudoux
Sans prêter attention à cette nouvelle, I' « étranger» juge curieuse la façade du palais. Le jardinier lui en explique la parti cularité effectivement étonnante. Construite en pierre, l'aile droite suinte à certaines époques de l'année, tandis que l'aile gauche, bâtie avec du marbre, reste resplendissante. Les habitants d'Argos affirment que, selon les circonstances, le palais pleure ou rit. Aujourd'hui, il pleure et rit à la fois. En...
-
Définition:
ASCENDANT2, -ANTE, adjectif et substantif.
? 3.... le Lion ? l'ascendant, l'exaltation des signes favorables, l'affliction des funestes lui promettaient une carri?re royale longue et fortun?e [? ?douard VI] . ALEXANDRE ARNOUX, Le Seigneur de l'heure, 1955 page 122. ? Par m?tonymie. Cette influence?: ? 4. J'aurais voulu lui apporter cette lumi?re; mais elle n'?claire que moi, et, en moi, malgr? mon d?sir violent qu'on y p?n?tre, nul n'entre qu'avec de la peine, et des mois de t?nacit?, comme si l'ascendant d'un mauvais astre m'oblig...
-
Définition du terme:
CONTE, substantif masculin.
Forme d?riv?e du verbe "conter" conter CONTER, verbe transitif. A.? Litt?raire. Faire le r?cit d?taill? d'un fait. Synonyme?: du plus usuel raconter. En chemin, il lui avait cont? son aventure (LOUIS FARIGOULE, DIT JULES ROMAINS, Les Hommes de bonne volont?, Le 6 octobre, 1932, page 288) : ? 1. Ma ch?re soeur, tu comprends bien que je ne t'ai rien pu dire devant Eug?nie mais j'avais tout mon voyage ? te conter. HONOR? DE BALZAC, Correspondance, 1833, page 389. ? En emploi absolu. Il es...
-
David Hume: Dieu et la justice
En tant que philosophe poursuivant le projet d'une science, Hume abolit la distinction entre histoire sacrée et histoire profane. L'histoire sacrée, défendue notamment par Bossuet, voit l'historien se plier dès le départ aux textes sacrés et tenter d'en faire l'exégèse, de la façon la plus « juste » possible par rapport à ce que Dieu (ou le Christ, ou les Saints, ou d'autres messagers) ont voulu dire. Un historien qui pratique l'histoire sacrée doit dès le départ mettre son objectivité dans...
-
"Toutes les cultures se valent-elles ?" Dissertation terminale
Ne pourrait-on dire dans ce cas là que toutes les cultures se valent ? Certes, les normes ne sont peut-être pas un critère stable pour déterminer la supériorité d'une culture. Mais rappelons qu'une culture est également l'ensemble des représentations apprises par un individu. Qu'est-ce qu'une représentation ? Une représentation est une image donnée par notre conscience d'une réalité. Cette représentation peut être sensorielle, émotionnelle ou intellectuelle. Dans la cadre d'une cul...
-
Han d'Islande
--Eh bien, dit Spiagudry, remarquez ces profondes déchirures produites par des ongles longs et tranchants sur
le corps de ce malheureux.
Enfin il dit d'un ton sévère, mais calme: Vieillard, soyez véridique. Ayez-vous trouvé des papiers sur cet officier? Aucun, sur mon honneur. Savez-vous si Han d'Islande en a trouvé? Je vous jure par saint Hospice que je l'ignore. Vous l'ignorez? savez-vous où se cache ce Han d'Islande? Il ne se cache jamais, il erre toujours. Soit; mais enfin quelles sont ses retraites? Ce païen, répondit le vieillard à voix basse, a autant de retraites que l'île de Hitteren a de récifs, que l'étoile Sir...
-
texte de machiavel sur la fortune et la vertu
Texte de Machiavel 1. Je n'ignore pas cette croyance fort répandue : les affaires de ce monde sont gouvernées par la fortune et par Dieu; les hommes ne peuvent rien y changer, si grande soit leur sagesse ; il n'existe même aucune sorte de remède ; par conséquent il est tout à fait inutile de suer sang et eau à vouloir les corriger, et il vaut mieux s'abandonner au sort. 2. Opinion qui a gagné du poids en notre temps, à cause des grands bouleversements auxquels on assiste chaque jour, et...
- Apologie de Socrate (texte complet)
-
-
sciences qui ne servent à rien !
L'ÉDUCATION («PAIDEIA)o 73 sein ? - G. Voici : considérer le décor céleste, dans la mesure même où c'est un décor visible, comme ce qu'il y a de plus beau et de plus exact dans le genre, mais aussi comme très inférieur au décor véritable : des mouvements dont la vitesse réelle et la lenteur réelle se meuvent entre elles et meuvent ce qui s'y trouve dans le nombre vrai et toutes les vraies figures, toutes réalités que peuvent saisir la raison...
-
Le mot "jeunesse" dans l'oeuvre de DESCARTES
Correspondance, année 1639, Au R. P. MERSENNE, 9 janvier 1639. Et parce que l'âge m'a ôté cette chaleur de foie qui me faisait autrefois aimer les armes, et que je ne fais plus profession que depoltronnerie, et aussi que j'ai acquis quelque peu de connaissance de la médecine, et que je me sens vivre, et me tâte avec autantde soin qu'un riche goutteux, il me semble quasi que je suis maintenant plus loin de la mort que je n'étais en ma jeunesse. Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE,...
-
Les Bijoux Indiscrets
quatre ans que vous m'aimez.
Que voulez-vous, mon fils ? Une chose fort simple, dit Mangogul ; me procurer quelques plaisirs aux dépens des femmes de ma cour. Eh ! mon fils, répliqua Cucufa, vous avez à vous seul plus d'appétit que tout un couvent de brahmines. Que prétendez-vous faire de ce troupeau de folles ? Savoir d'elles les aventures qu'elles ont et qu'elles ont eues ; et puis c'est tout. Mais cela est impossible, dit le génie ; vouloir que des femmes confessent leurs aventures, cela n'a jamais été et ne se...
-
La Presse Clandestine dans la Belgique Occupee
ou le bat les blesse.
Combien de fois notre magnifique Empereur n'a-t-il pas tendu a la France la main de la reconciliation, mais elle l'a repoussee par un sentiment de vengeance sotte et aveugle. Les Francais et les Belges ne nous sont pas antipathiques. Pourquoi ne s'allient-ils pas a nous contre l'Angleterre cupide, rusee et perfide, qui veut subjuguer tout le monde? Nous ne comprenons pas encore qu'en France, on ne se rende pas compte de cela. C'est-a-dire qu'il y en a qui le comprennent, mais qui n'osent pas l'a...
-
En quoi l'homme a-t-il besoin d'illusions ?
Ce paradoxe est au cœur du contenu explicite de l'énoncé.Ce que l'on demande c'est précisément de l'éclairer en dégageant ses réseaux de significations. 2. DEUXIÈME MOMENT : CONTENU IMPLICITE DE L'ÉNONCÉ On peut éclairer le contenu implicite de l'énoncé en se référant directement à la thèse ou aux présupposésphilosophiques concernés.Dans sa logique de l'apparence, Kant distingue trois sortes d'apparences : 1. L'apparence empirique : l'illusion d'optique ou illusion des sens. Elle p...
-
Les Bijoux Indiscrets
le sultan donnait la liste des hommes.
Seigneur, répondit Patte-de-velours, qui en doute ? Il l'a promenée pendant plus d'une lune ; ils ont été chansonnés ; et cela durerait encore, s'il ne s'était enfin aperçu qu'elle n'était point jolie, et qu'elle avait la bouche grande. D'accord, reprit Hannetillon ; mais ce défaut était réparé par un agrément qui n'est pas ordinaire. Y a-t-il longtemps de cette aventure ? demanda la prude Orphise. Madame, lui répondit Hannetillon, je n'en ai pas l'époque présente. Il faudrait recourir a...
-
Contes d'une grand-mere
--Qui sait?
Plus beau que tout ce que vous avez vu et verrez jamais de beau dans vos rêves. Ma chère miss Barbara, faites-le-moi voir, je vous en supplie! Non, mon enfant, jamais! Cela ne dépend pas de moi. Eh bien, je le verrai! s'écria Elsie dépitée. J'irai la nuit chez vous, et vous ne me mettrez pas dehors. Je ne crains pas votre visite. Vous n'oseriez jamais venir! Il faut donc du courage pour assister à vos sabbats? Il faut de la patience et vous en manquez absolument. Elsie prit de l'humeur et...
-
La belle Gabrielle, vol.
Si vous en savez plus long que nous, répliqua l'Espagnol avec curiosité, parlez, monsieur; sans doute vous êtes bien renseigné; car, en effet, M. le comte d'Auvergne, votre beau-fils, est colonel-général de l'infanterie des royalistes, et à la source des nouvelles. Monsieur mon fils, interrompit Marie Touchet, ne nous fait point part des desseins de son parti; nous le voyons très-peu; d'ailleurs il nous sait trop fermes adversaires du Béarnais, trop dévoués à la sainte Ligue et vieux amis de M...
-
- Le Pari De Pascal (Fragment 397)- Philo
-
Les croyances religieuses sont elles une consolation pour les faibles?
intéressant de se poser la question suivante : Les croyances religieuses sont elles une consolation pour les faibles ? D’abord, procédons à la définition des termes du sujet afin de pouvoir mieux le cerner. Une croyance se définit comme étant un assentiment de l’esprit à une vérité transcendante sans justifications rationnelles. D’une façon générale, la croyance est une adhésion à une idée, une pensée, une affirmation, une théorie, un dogme… En ce sens, la naïveté, le préj...
-
Jean-Jacques Rousseau - Les Rêveries du promeneur solitaire: "Cinquième promenade"
jusqu'en 1740) ; l'Ermitage de Montmorency où près de Mme d'Épinay et surtout de sa belle-sœur Mme d'Houdetot ilpasse quelques mois délicieux en 1756-1757.— (l. 2 et 3) Si véritablement heureux. Noter l'adverbe qui vient renforcer encore le comparatif.— (l. 3) De si tendres regrets. Après avoir énoncé l'effet que File de Saint-Pierre a fait à l'époque delle] «m'a rendusi véritablement heureux»), Rousseau jette maintenant un regard nostalgique vers le passé : «de si tendresregrets».— (l. 3...
-
Le mot "trompeur" dans l'oeuvre de DESCARTES
En quatrième lieu, lorsque je dis que Dieu ne peut mentir ni être trompeur, je pense convenir avec tous les théologiens qui ontjamais été et qui seront à l'avenir. Mais puisqu'il ne peut y avoir en nous rien de réel qui ne nous ait été donné par lui, comme il a été démontré en prouvant sonexistence, et puisque nous avons en nous une faculté réelle pour connaître le vrai et le distinguer d'avec le faux, comme on peutprouver de cela seul que nous avons en nous les idées du vrai et du faux, si cet...
-
Le Docteur Pascal
impuissant.
De nouveau, Clotilde protestait, se desesperait. --Mais comment aurais-je pu savoir?... J'ai obei, j'ai mis toute ma tendresse dans mon obeissance. --Ah! cria encore Martine, il me semble que j'aurais devine, moi! Ramond intervint, parla doucement. Il avait repris les mains de son amie, il lui expliqua que le chagrin avait pu hater l'issue fatale, mais que le maitre etait malheureusement condamne depuis quelque temps. La maladie de coeur dont il souffrait devait dater d'assez loin deja: beaucoup...
-
cours l'art
Partons de ce qu’on voit dans le texte : il existe un point commun entre eux : « une certaine permanence ». Donc un rapport au temps. On choisit cette idée pour commencer le tableau. Objets d’usage Œuvre d’art - périssables - on les use - on les abîme - ils sont jetables en fonction de leur perte d’intérêt. - consommables remarque : une critique de la société de consommation. A savoir : Hannah Arendt est une marxiste allemande. Hannah Arendt critique ici...
-
La Russie, un système oligarcho-financier
la Russie, autrement qu'en lui donnant de l'argent à fonds perdus ? Au début des années 90, le chancelier Kohl employait uneformule allant dans le même sens : il faut aider les Russes à s'aider eux- mêmes. C'est plus facile à dire qu'à faire, mais cela signifie qu'aussi longtemps que les institutions d'une société libérale et démocratiquene seront pas patiemment construites à tous les niveaux et dans toutes les régions du pays, en lieu et place des reliquatsd'organisation soviétique, il est v...
-
Le maison du chat qui pelot -balzac - texte intégral
seizième siècle offrait à l'observateur plus d'un problème à résoudre. À chaque étage, une singularité : au premier, quatre fenêtres longues, étroites, rapprochées l'une de l' premiers efforts de la menuiserie française. Ces croisées avaient de petites vitres d'une couleur si verte, que, sans son excellente vue, le jeune homme n'aurait pu apercevoir les rideaux de toile à carreaux bleus qbleus qui cachaient les mystères de cet appartement aux yeux profanes. Parfois, cet observateur, ennuyé de sa...
-
-
Citations et jugements: CAMUS
Le Christ «Et lui n'était pas surhumain, vous pouvez m'en croire. Il a crié son agonie et c'est pourquoi je l'aime, mon ami, qui est mort sans savoir.» (p. 120) Le juge-pénitent «Essayez. J'écouterai, soyez-en sûr, votre propre confession, avec un grand sentiment de fraternité.» (p. 146) Le désespoir «Tout serait consommé, j'aurais achevé, ni vu ni connu, ma carrière de faux prophète qui crie dans le désert et refuse d'en sortir.» (p. 152)...
-
L'Argent
qu'on lui rapportait de toutes parts.
Se levant, il l'interrompit. Lui qui ne riait jamais, il eut un petit ricanement, tellement cette duperie brutale à l'égard d'une femme jeune et jolie, l'amusait. " Un conseil, mais je ne vous le refuse pas, ma bonne amie... Ecoutez-moi bien. Ne jouez pas, ne jouez jamais. Ça vous rendra laide, c'est très vilain, une femme qui joue. " Et, quand elle s'en fut allée, hors d'elle, il s'enferma avec ses deux fils et son gendre, distribua les rôles, envoya tout de suite chez Jacoby et chez d'...
-
Article de presse: La rencontre des deux K
modification unilatérale du statu quo berlinois, qui aboutirait à remettre en cause, de quelque manière que ce soit, les droits desalliés. Il a renouvelé avec une grande netteté, à ce propos, la mise en garde générale contre toute erreur de calcul qu'il avaitadressée la veille à Khrouchtchev. Parvenu à ce point de leurs conversations, les deux présidents constatèrent qu'ils n'avaient pas grand-chose de positif à livrer àune opinion mondiale, qui serait fort déçue de les voir se séparer sur un...
-
Le nabab, tome II
cuisinière du second, mademoiselle Séraphine, dont j'accepte en retour quelques petites provisions que je
conserve dans le coffre-fort, revenu à l'emploi de garde-manger.
Non. Je savais ses intentions à ce sujet, depuis longtemps... Je l'ai laissé s'en aller discrètement, à l'anglaise, comme il voulait. C'est égal! il aurait bien dû me donner un morceau de pain avant de partir, moi qui l'ai servi pendant vingt ans. Et tout à coup, frappant de son poing sur la table, avec rage: Quand je pense que, si j'avais voulu, j'aurais pu, au lieu d'aller chez Monpavon, entrer chez Mora, avoir la place de Louis... Est-il veinard, celui-là! En a-t-il rousti des rouleaux de m...
-
Descartes Meditations
Table des matières A Messieurs LES DOYENS ET DOCTEURS De La Sacrée Faculté De Théologie De Paris ................................ .................. 3 Abrégé Des Six Méditations Suivantes ................................ ..... 8 MÉDITATIONS ................................ ................................ ....... 12 Première Méditation ................................ ............................... 13 Méditati on Seconde ................................ ..................
-
Le mot "inclination" dans l'oeuvre de René DESCARTES
par la présence du soleil, soit par telle autre cause que ce puisse être, agite aussi plus fort les petites parties de ces corps, vousentendrez facilement qu'elle doit faire que celles qui sont assez petites et avec cela de telles figures ou en telle situation qu'elles sepeuvent aisément séparer de leurs voisines, s'écartent çà et là les unes des autres, et s'élèvent en l'air, non point par quelqueinclination qu'elles aient à monter, ou que le soleil ait en soi quelque force qui les attire, mais...
-
A t-on besoin d'autrui pour prendre conscience de nous-même?
En conclusion, l'introspection ne peut aboutir au savoir de son "moi", notre point de vue purement subjectif pourraitetre erroné de par justement notre jugement personnel qui n'a pas le recule necessaire pour pouvoir jugercorrectement et savoir qui l'on est. Autrui lui, detient ce pouvoir d'objectivité sur nous et l'utilise dans la viecourante, très souvent et de façon inconsciente, il lit en nous et peut nous observer dans nos actions etraisonnements. On constate aussi qu'il pourait tenir une g...
-
1
LA LIBERTE
Introduction :
- la liberté est une idée que tout le monde connaît bien.
2 C’est facile de donner des ordres. C’est beaucoup plus difficile d’y obéir, cela doit s’apprendre. Et la liberté consiste à obéir aux lois qu’on s’est prescrites, pas à suivre ses caprices. La liberté, ce n’est pas l’arbitraire. → dans le deuxième paragraphe, Kant montre que la liberté est compatible avec la contrainte, qu’elle suppose une contrainte . Sans cette contrainte qu’est la discipline qui apprend à se cont raindre soi -même, il n’y a pas de liberté po...
-
-
Dictionnaire en ligne:
DISCUTÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
Pierrot mon ami, 1942, page 165 ). — Spécialement. DROIT. Discuter les biens d'un débiteur et par extension discuter un débiteur (confer discussion). b) Mettre en doute; contester. Discuter les ordres. Il [Planche] ne parlait jamais de lui-même, permettait fort bien qu'on discutât son mérite (JULES VALLÈS, Le Réfractaire, 1865, page 129 ). Je ne discute pas cette thèse (MAURICE BARRÈS, Mes cahiers, tome 8, 1909-11, page 168) : Ø 2. Ainsi un certain goût de la poésie hermétique avait promu tout...
-
Le mot "obliger" dans l'oeuvre de DESCARTES
Mais si tout ce que j'ai écrit ici ne suffit pas pour faire que vous changiez d'humeur, je vous prie au moins de m'obliger tant que dem'envoyer votre traité des Passions, et de trouver bon que j'y ajoute une préface avec laquelle il soit imprimé. LES PASSIONS DE L'AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 76. Car il est aisé de suppléer à son défaut par une réflexion et attention particulière, à laquelle notre volonté peut toujours obligernotre entendement lorsque nous jugeons que la chose qui se présen...
-
L'APOLOGUE (sujets corrigés)
Amérique du Nord, juin 2004 -Cela serait à merveille, dit le pèlerin, si vous n'étiez pas à cheval; mais je retarderais trop votre marche ; ou vous presseriez trop la mienne. -Vous avez raison, dit Roger, il faut que tout soit égal entre nous, puisque 25 nous courons même forrune. »Sur ce propos il descend de cheval, et le voilà côte à côte avec le pèlerin. « Devineriez-vous avec qui vous êtes ? dit-il à son compagnon. -À peu...
-
Le mot "tromper" dans l'oeuvre de DESCARTES
et puisqu'il est impossible qu'il veuille me tromper, il est certain aussi qu'il ne me l'a pas donnée telle que je puisse jamais faillirlorsque j'en userai comme il faut. Et il ne resterait aucun doute touchant cela, si l'on n'en pouvait, ce semble, tirer cette conséquence, qu'ainsi je ne me puis jamaistromper ; MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Cinquième. Car je puis me persuader d'avoir été fait tel par la nature, que je me puisse aisément tromper, même dans les choses que je croiscom...
-
- Mrs Wendy Williams, annonça-t-il.
- Nous l'apprendrons sansaucun doute. Ildevait avoirquelque amiouparent imaginaire pourluiprocurer lesalibis indispensables. Jeparierais pourunevieille mère. - Avait-il samère? - Dieu seullesait. Mais jesuis s˚rqu'il aurait été capable d'enfabriquer uneencas debesoin. - Le soir o˘ilest parti d'Alverbury Road,croyez-vous qu'ilsesoit rendu àson second foyer? - Je pense qu'ilavait l'intention des'y rendre. Y est-il arrivé? «a,c'est uneautre affaire. - Lorsque Joylecroyait endéplacement àIpswich pou...
-
COMMUNISME ET LITTÉRATURE (Histoire de la littérature)
v1ses ». Apparus en Russie en 1923, ils surgissent en France quelques années plus tard et, en 1932, au terme d'une campagne forcenée contre Monde, ils triomphent définitivement, avec l'aide du parti et de l'Internationale littéraire, de la conception défendue par Barbusse et met tent sur pied la première organisation littéraire commu niste, 1' Association des écrivains et artistes révolution naires, qui aura bientôt sa propre revue, Commune ( 1933). Ce to...
-
lui avions dit pourquoi nous étions à Striy ce jour-là, plusieurs grandes cartes anciennes de la
ville ; et c'était d'une masse importante de papiers récents qu'il avait sorti un échange de
lettres qui, disait-il, nous amuserait.
Achhb, c'est très décevant, a-t-elledit pendant que nous mangions ledéjeuner qu'elleavait préparé pourcélébrer monretour. Elleavait regardé lesdiapositives quej'avais faitesetelle n'avait cesséderépéter, Jevous ledis, cen'était pasmarue. Pourtant, elleavait scruté avidement chaquephoto,chaque diapositive, chaqueminutedela vidéo quenous avions faitesdanslesrues deStriy, ycompris lesimages désolées del'ancienne grande synagogue delaville, désormais enruine, desarbres immenses surgissantdel'intérie...
-
Définition:
BALBUTIANT, -ANTE, adjectif.
? Sp?cialement. [Avec un mot exprimant un ?nonc? (propos, phrase, pri?re, adoration, excuse)] Dont les ?l?ments sont prononc?s en balbutiant, d'une mani?re peu distincte?: ? 5.... elle avait perdu sa m?re tr?s jeune [Audeberthe] et ?lev?e par une dolente et vieille a?eule, bouche ?dent?e marmottant sans cesse de balbutiantes pri?res, elle avait grandi dans la solitude... PAUL DUVAL, DIT JEAN LORRAIN, Sensations et souvenirs, 1895, page 139. ? 6. Dans ce bar o? Claudius m'avait tra?n?, (.....
-
-
Les dits du Prophète (Hadith du Prophète)
- Un des Ançars !- Qu'on me l'amène !L'homme se présenta devant l'Envoyé de Dieu, qui l'interrogea :- Tu l'a vraiment frappé ?- Je l'ai entendu sur la place du marché prêter serment, disant : "J'en jure par celui qui a élu Moïse et l'a préféré àtous dans tout l'Univers..." cela ma mis hors de moi d'entendre cet enfant de félonne contester l'élection deMuhammad, Dieu le bénisse et lui accorde le salut !- Non, ne me préférez pas à Moïse, ni à aucun autre prophète. Sais-tu, au Jour dernier...
-
Le mot "fausseté" dans l'oeuvre de DESCARTES
découvre en moi aucune cause d'erreur ou de fausseté : Et, d'autant que c'est en cela que consiste la plus grande et la principale perfection de l'homme, j'estime n'avoir pas aujourd'huipeu gagné par cette méditation, d'avoir découvert la cause de l'erreur et de la fausseté. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Sixième. , ou bien sont conçues moins clairement et moins distinctement, comme la lumière, le son, la douleur, et autres semblables, il estcertain qu'encore qu'elles soient fort dou...