578 résultats pour "corneilles"
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Vocabulaire:
COLLÈGUE, substantif.
ROBERT BRASILLACH, Pierre Corneille, 1938, page 459. STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 1 359. Fr?quence relative litt?raire?: XIXe. si?cle?: a) 1 888, b) 1 619; XXe. si?cle?: a) 2 699, b) 1 676.
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CLASSICISME - Histoire de la littérature
LE MOT classicisme n'est apparu que vers 1820. Il est dérivé de l'ad jectif «classique» qui, au f l des siècles, s'est cha rgé de sens très variés dont voici les quatre principaux. Le premier est lié à l'idée d'excellence et de distinction. Dérivé du latin clas sicus, il apparaît en 1548, et désigne ce qui est de premier ordre. En 1611, le terme entre en 1 ittérature et s'applique aux auteurs de premier rang recom mandés comme modèles. Le second sens...
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Histoire de la pièce POLYEUCTE de RACINE
c'est au roi Louis XIII qu'elle devait être dédiée ; il mourut le 18 mai 1643, et Corneille, tout naturellement, offrit satragédie à la pieuse reine Anne d'Autriche qui s'était toujours montrée bienveillante pour lui. Il ne faut pas voir unevulgaire flatterie dans ces graves protestations de Corneille à la Reine ; « je me tiens assuré de lui plaire, parce queje suis assuré de lui parler de ce qu'elle aime le mieux. Ce n'est qu'une pièce de théâtre que je lui présente, mais quil'entretiendra de D...
- Le classicisme
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LE HÉROS CORNÉLIEN
tandis que Polyeucte est une volonté dressée au-dessus de la vie. De ce contraste entre l'idéal humain de Sévèreet l'idéal chrétien de Polyeucte, Corneille a tiré un grand intérêt psychologique et dramatique. Car, sans cecontraste, pas de lutte intéressante dans l'âme de Sévère, pas de lutte pathétique dans l'âme de Pauline, surtoutpas de crescendo d'héroïsme dans le mouvement qui élève Polyeucte et Pauline ensemble au-dessus de l'humanité.Ce contraste commande et dirige toute l'évoluti...
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Éléments de stylistique et de vocabulaire critique
240 Mémento Anaphore. Répétition d'un même mot au commencement de plusieurs phrases ou de plusieurs vers qui se suivent. Ex. :« Il y a une horloge qui ne sonne pas. Il y a une fondrière avec un nid de bêtes blanches. Il y a une cathédrale qui descend et un lac qui monte. » (Rimbaud, Les Illuminations, Enfance, III). Antiphrase. Faire entendre, par ironie, l'opposé de ce qu'on dit. Ex. :« les sages du pays » désignent les inqui...
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Le style, la poésie et l'humanisme d'Andromaque (Racine)
Et je ne puis, Seigneur, que vous aimer mieux qu'elle ! Dans Bellérophon, Bellérophon s'est épris de Philonoé qui n'ose lui avouer son amour :PHILONOÉAdieu.BELLÉROPHONVous me quittez sans me rien dire?PHILONOÉHélas !BELLÉROPHONQue me dit ce soupir !PHILONOÉAh ! ne l'entendez pas ! Et Sténobée qui s'est éprise de Bellérophon, qui croit être aimée de lui, découvre qu'il aime en réalité sa sœurPhilonoé et qu'il l'aime ardemment : As-tu bien vu l'excès de l'ardeur qui le presse?Ce qu'il sent de...
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Britannicus de Racine
62 RACINE 1 Britannicus relies et aux guerres pour assurer la cohésion de l'État. Pourtant le rôle du sou verain jusqu'à Louis XIV est plutôt, comme l'a remarqué Jacques Ellul, celui d'un arbitre sacré, d'un héros de référence qui se superpose aux grands pouvoirs féodaux pour contrebalancer leur influence à l'aide du sceptre et des lois. Ces rapports de forces entre roi et grands induisent les valeurs héroïques récurrentes dans 1' œuvre...
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ANDROMAQUE ANALYSE DE L'OEUVRE (RACINE)
rencontrés parce qu'ils tournaient tous dans un cercle assez étroit. De même Racine a fait, très probablement,quelques emprunts de détail à la Troade de Sénèque, aux Troyennes et à l'Oreste d'Euripide. Les ressemblancessont assez précises. Non seulement on ne dissimulait pas de pareils emprunts mais on s'en faisait, depuis longtemps,un mérite. Tout cela est secondaire. Racine a vu sa pièce, il a vu ses personnages et surtout Andromaque à traversles moeurs et les goûts de son temps, à traver...
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Anthologie poétique: Vieillesse
Voici moins de plaisirs, mais voici moins de peines : Le rossignol se tait, se taisent les Syrenes : Nous ne voyons cueillir ni les fruicts ni les fleurs : L'esperance n'est plus bien souvent tromperesse, L'hyver jouyt de tout, bien heureuse vieillesse, La saison de l'usage, et non plus des labeurs. '.\lais la mort n'est pas Join ; cette mort est suivie D'un vivre sans mourir, fin d'une fausse vie; Vie de nostre vie, et mort de...
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tragédie.
Complétez votre recherche en consultant : Les livres tragédie - illustration pour Andromaque, page 5246, volume 10 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats catharsis commos Corneille Pierre drame Eschyle Euripide Jodelle Étienne Racine Jean Sénèque Shakespeare William Sophocle théâtre - Le XVIIe siècle : l'âge d'or espagnol et l'ère classique en France théâtre - Un art né en Grèce Thespis tragi-comédie Les livres Eschyle, page 1702, volume 3 théâtre - sta...
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Grand oral du bac : La tragédie (Histoire de la littérature)
• Mais les plus belles, les plus profondes, de toutes ses tragédies sont peut-être Ham/tf (1601) elle Roi Lear (1605), ces monuments de l'esprit humain. LA TRAGÉDIE CLASSIQUE • Face aux débordements d'outre Manche, un certain nombre de règles façonnent la tragédie classique française à l'image de l'idéal d'ordre et de noblesse du Grand Siècle. On veille à respecter l'unité de ton, la vraisemblance, la bienséance, et surtout les trois unités de...
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Usage du terme:
BAIE3, substantif féminin.
Forme d?riv?e du verbe "bayer" bayer BAYER, verbe intransitif. A.? S'ouvrir?: ? 1. Les arbres frissonnaient comme aux jours o? le vent se met en col?re. Les fleurs qui bayent ? la ros?e retenaient leur parfum. HENRI MURGER, Les Nuits d'hiver, 1861, page 220. ? 2. ? peine ? genoux, elle ouvrit sa pelisse, fit bayer la fente du corsage, repoussant ses manches pour avoir l'avant bras nu. JOS?PHIN P?LADAN, Le Vice Supr?me, 1884, page 251. B.? En particulier. Demeurer la bouche ouverte...
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Usage du terme:
BAIE1, substantif féminin.
Forme d?riv?e du verbe "bayer" bayer BAYER, verbe intransitif. A.? S'ouvrir?: ? 1. Les arbres frissonnaient comme aux jours o? le vent se met en col?re. Les fleurs qui bayent ? la ros?e retenaient leur parfum. HENRI MURGER, Les Nuits d'hiver, 1861, page 220. ? 2. ? peine ? genoux, elle ouvrit sa pelisse, fit bayer la fente du corsage, repoussant ses manches pour avoir l'avant bras nu. JOS?PHIN P?LADAN, Le Vice Supr?me, 1884, page 251. B.? En particulier. Demeurer la bouche ouverte...
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l'histoire advient-elle a l'homme ou advient-elle par l'homme ?
sans quoi il ne commettrait pas les mêmes erreurs. Marx qui défend dans le 18 Brumaire de Louis Napoléon la théorie selon laquelle la lutte des classes aboutira à la domination du prolétariat,événement considéré comme la fin de l'histoire, établit ainsi le parallèle entrele coup d'État du 18 Brumaire de Napoléon Bonaparte et le coup d'État de sonpetit neveu Louis Napoléon le 2 décembre 1851, entre Robespierre et LouisBlanc et entre la Montagne de 1783 et celle de 1848.Chateaubriand ne...
- Parcours de L'ESTHETIQUE THÉATRALE
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Synthèse sur la tragédie
celle d'un éloignement. Il s'agit d'un des traits fondamentaux de la tragédie: elle élabore en effet un monde textuel (" s'incarnant " par la suite dans une mise en scène) qui crée une distance par rapport à la réalité quotidienne, prosaïque. Cet effet de distance s'obtient de plusieurs façons: par le choix du sujet, emprunté soit à l'Histoire, soit à la légende (mythologie gréco-romaine ou chrétienne); par le choix des personnages (lié évidemment à celui du sujet), qui sont toujours ill...
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Molière fait dire à Dorante que dans la tragédie, « l'on ne cherche pas de ressemblance » alors que dans la comédie, « il faut peindre d'après nature ». Qu'en pensez-vous ? Vous expliquerez et discuterez cette remarque en vous aidant des textes corpus, des œuvres étudiées en classe et de vos lectures personnelles.
Ses personnages appartiennent à toutes les classes sociales mais particulièrement à la classe moyenne. Dorante dans La Critique de l'école des Femme dit que : « On veut que ses portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle. » Chacun peut s'identifier dans les personnages d'une comédie. Ils incarnent un caractère général, Tartuffe, par exemple, est le symbole universel de l'hypocrisie, Harpagon dans l'Avare est un bourgeois avare. Les su...
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DIX-SEPTIÈME SIÈCLE EN LITTERATURE
se situeront en dehors de ces modèles, mais pas encore contre eux. Leur remise en question, amorcée dans les réflexions esthétiques de Du B os, s'engage vraiment avec Rousseau. Mais elle ne sera radicale qu'au début du x.rx• s., avec la flambée du roman tisme. À ce moment, les institutions (Académies, Université) restent fidèles aux aut eur s-phares du x.vr1• s. elles inventent même, pour les désigner, l'emploi particulier du qualificatif classique, q...
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FIGURES DE RHETORIQUE ET PROCEDES LITTERAIRES
II. LES FIGURES DE LA SUBSTITUTION La MÉTONYMIE (échange de noms): elle remplace un terme par un autre qui est lié au premier par un rapport logique. Les deux éléments appartiennent au même ensemble, sont liés par un rapport de contiguïté. . Elle peutsubstituer : -le contenant au contenu (ex. boire un verre), -l'effet à la cause (ex. Socrate a bu la mort = le poison qui l'a tué), -le symbole à la chose (ex. les lauriers = la gloire), -l'objet à l'utilisateur (ex. le premier violon = le premier...
- Un dossier très complet sur le classicisme, sur la peinture, la littérature, l'architecture, le contexte, les grandes querelles et les grands auteurs du 17ème
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HISTOIRE DE LA LANGUE FRANÇAISE
Au début du XVII• siècle, MALHERBE, «peigneur» L'Épo que Cla ssiq ue de mots et de syllabes, travaille à débarrasser la langue de ses impuretés : mots populaires, archaïsmes, néologismes injustifiés. Il proscrit les mots " sales " (tels que " barbier "), les latinismes (« larges pleurs "), les dérivés et mots composés dont la Pléiade avait enrichi, mais aussi souvent encombré le français. Pourtant, si les mots nouveaux lui paraissent dangereux, il réintr...
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LE CLASSICISME EN LITTERATURE
toutes les productions culturelles. Cela tient d'abord à la genèse même de ces termes, où trois sens fondamentaux s'enchevêtrent. En latin, classicus signifie avant tout «du premier ordre)>, et notamment « citoyen de première classe». Le sémantisme principal est donc alors l'idée d'excellence. Celle-ci s'est maintenue en français, en particulier lors qu'il s'agit des textes et des auteurs. Jusqu'au xvr• siècle, elle constitue le sens exclusif de « class...
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Le terme de poésie désigne un champ de production à la fois plus vaste et plus diffus que
celui d'un simple genre littéraire dont vers et rimes constitueraient des indices sûrs.
IVe siècle avant J.-C., ou dans le processus de formation des langues, qu'il s'agisse de l'ancien islandais entre le XI e et le XII e siècle ou de l'ancien français entre le XII e et le XIV e siècle. C'est ainsi que le « roman », qui allait connaître un essor remarquable et devenir l'exemple par excellence de la littérature en prose, naquit chez Chrétien de Troyes sous forme de décasyllabes, ou que l' Edda poétique précéda sans doute de deux siècles la mise en prose qu'en fit Snorri Sturlus...
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LA FAYETTE : sa vie et son oeuvre
--· lier de Sévigné laisse Mme de La Fayette à la tête d'une solide fortune, mais, en 1680, elle perd La Rochefou cauld, et c'est pour elle un coup très rude. Elle continue pourtant de beaucoup recevoir dans son Hôtel de la rue Férou, où Corneille, La Fontaine, Retz sont venus lire leurs œuvres. Très liée avec Louvois, elle fut peut-être son intermédiaire entre lui et la cour de Savoie. Elle entretient de 1.680 à 1690 une correspondance suivie avec Les...
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Fiche de lecture : Les Femmes Savantes
études et de son admiration pour Trissotin,un poète et artiste trés important pour Philaminte. Elle annonce qu’elle a choisi Trissotincomme futur époux d‘Henriette. Chrysale ne sait plus quoi répondre. Il prend alors la ferme résolution de ne plus se laisser dominer par sa femme. Acte 3 Trissotin vante son soi -disant art devant Philominte ,Bélise,Armande et Henriette . Henriette veut s'écarter, mais Philaminte la retient tandis que Trissotin entame la lecture de s...
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MARIVAUX, Pierre Carlet de Chamblain de : sa vie et son oeuvre
précis de l'histoire littéraire et de l'histoire des idées, des articles comme les « Pensées sur différents sujets » ou des journaux comme le Spe ctateur français, dans les quels Marivaux défend et illustre sa conception des devoirs de l'écrivain en laissant deviner toute sa passion pour la littérature. Les premiers succès En 1 717, Mari vaux se marie, et des problèmes maté riels, qu'il semble avoir ignorés jusque-là, se posent sou dain à lui. Lorsqu...
- Devoir