402 résultats pour "légende"
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Qui est le Sésostris de la légende ?
traces qu'il laissera de son passage, il sera d'ailleurs divi nisé en Nubie sous la XVIII • dynastie. En ce qui concerne les régions orientales, on ne connaît qu'une seule cam pagne de Sésostris Ill en Syro Palestine, contre les Ment jiou, campagne qui amena les Égyptiens à combattre les po pulations de Sichem et du Mi tanni. On est donc bien loin des territoires occupés par les Scythes ou les Thraces, dont la soumiss...
- Les légendes : les monnaies royales (histoire).
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La Legende des Siecles
Dans la tête, que c'est fini, qu'ils l'ont tuée,
Qu'elle est morte!
LES DEUX TÊTES Ratbert en ce moment, distrait jusqu'à sourire, Écoutait Afranus à voix basse lui dire: Majesté, le caveau du trésor est trouvé. L'aïeul pleurait. Un chien, au coin des murs crevé, Est un être enviable auprès de moi. Va, pille, Vole, égorge, empereur! O ma petite fille, Parle-moi! Rendez-moi mon doux ange, ô mon Dieu! Elle ne va donc pas me regarder un peu? Mon enfant! Tous les jours nous allions dans les lierres. Tu disais: Vois les fleurs...
- LA VERITE MEDICALE (5) Claude Bernard, Louis Pasteur, Sigmund Freud: légendes et réalités de notre médecine Louise L.
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Le Chevalier à la charrette, de Chrétien de Troyes : La légende arthurienne
E X P 0 S É S F C H E S Gauvain Gauvain, le neveu du roi, son héritier, puisqu'il n'a pas de fils (et que dans la ci vilisation celtique la trar.smission de l'héritage était souvent matrilinéaire, de l'oncle au fils de la sœur) est le parangon des vertus chevaleresques, le modèle de toute courtoisie. Il est présent dès le Roman de Brut aux côtés d'Arthur, et il ap paraît dans chaque roman de Chrétien de Troyes comme la figure idéale à laq...
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d'expulsion de la substance divine, si l'on en croit la légende d'Isis et de Rê.
quatre couples degrenouilles etde serpents quiassemblent leursforces pourcréer etdéposer unœuf surune butte émergeant horsdel'eau. Cescouples sontchacun composés d'unélément etde saparèdre :Noun et Naunet, l'océanprimordial qu'Héliopolis intègre,commenousl'avons vu,dans sonpropre système, Hehet Hehet, l'eauquicherche savoie, Kekou etKeket, l'obscurité, et,enfin, Amon, ledieu caché etsa parèdre Amaunet. Parlasuite, lorsque ledernier élément del'ogdoade, Amon,deviendra ledieu dynastique, leclergé...
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La Legende des Siecles
Le drapeau de l'empire, arboré sur ce bruit,
Gonfle son aigle immense au souffle de la nuit.
Toute lèvre se rue à l'ivresse et s'y plonge; On achève un mourant en perçant un tonneau; L'oeil croit, parmi les os de chevreuil et d'agneau, Aux tremblantes clartés que les flambeaux prolongent, Voir des profils humains dans ce que les chiens rongent; Des chanteurs grecs, portant des images d'étain Sur leurs chapes, selon l'usage byzantin, Chantent Ratbert, césar, roi, vainqueur, dieu, génie; On entend sous les bancs des soupirs d'agonie; Une odeur de tuerie et de cadavres fr...
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La Legende des Siecles
La montagne interrompt son crachement de lave,
Et le Momotombo répond d'une voix grave:
--Je n'aimais pas beaucoup le dieu qu'on a chassé.
Au Phare nous abandonna Pour aller voir si l'on découvre Satan, que l'archange enchaîna, Quand un bâillement noir entr'ouvre La gueule rouge de l'Etna. En partant du golfe d'Otrante, Nous étions trente; Mais, en arrivant à Cadiz, Nous étions dix. En Calabre, une Tarentaise Rendit fou Spitafangama; A Gaëte, Ascagne fut aise De rencontrer Michellema; L'amour ouvrit la parenthèse, Le mariage la ferma. En partant du golfe d'Otrante, Nous étions trente; M...
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La Legende des Siecles
Et son cou d'où sortait, dans un bruit de tempête,
Un flot rouge, un sanglot de pourpre, éclaboussant
Les convives, le trône et la table, de sang.
Sortant du frais bouton comme d'une urne ouverte, Charge la petitesse exquise de sa main; Quand l'enfant, allongeant ses lèvres de carmin, Fronce, en la respirant, sa riante narine, La magnifique fleur, royale et purpurine, Cache plus qu'à demi ce visage charmant, Si bien que l'oeil hésite, et qu'on ne sait comment Distinguer de la fleur ce bel enfant qui joue, Et si l'on voit la rose ou si l'on voit la joue. Ses yeux bleus sont plus beaux sous son pur sourcil brun. En elle t...
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La Legende des Siecles
C'était de la fureur et c'était de l'extase;
Un des enfants revint, apportant un pavé
Pesant, mais pour le mal aisément soulevé,
Et dit:--Nous allons voir comment cela va faire.
Entendit une voix qui lui disait: Sois bon! Bonté de l'idiot! diamant du charbon! Sainte énigme! lumière auguste des ténèbres! Les célestes n'ont rien de plus que les funèbres, Si les funèbres, groupe aveugle et châtié, Songent, et, n'ayant pas la joie, ont la pitié. O spectacle sacré! l'ombre secourant l'ombre, L'âme obscure venant en aide à l'âme sombre, Le stupide, attendri, sur l'affreux se penchant, Le damné bon faisant rêver l'élu méchant! L'animal avançant lorsque l'ho...
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La Legende des Siecles
Et que j'étais déjà barbe grise, elle avait
Coutume de venir dès l'aube à mon chevet;
Parfois, elle voulait m'attacher mon épée,
Et, de la dureté d'une boucle occupée,
Ou se piquant les doigts aux clous du ceinturon,
Elle riait.
Ayant plus d'habitude aux chemises d'acier. IX JOIE HORS DU CHÂTEAU Le soir vient, le soleil descend dans son brasier; Et voilà qu'au penchant des mers, sur les collines, Partout, les milans roux, les chouettes félines, L'autour glouton, l'orfraie horrible dont l'oeil luit Avec du sang le jour, qui devient feu la nuit, Tous les tristes oiseaux mangeurs de chair humaine, Fils de ces vieux vautours nés de l'aigle romaine Que la louve d'airain aux cirques appela, Qui suivaient Mar...
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La Legende des Siecles
Le soir, l'homme qui met de l'huile dans les lampes
A son heure ordinaire en descendit les rampes;
Là, mangé par les vers dans l'ombre de la mort,
Chaque marquis auprès de sa marquise dort,
Sans voir cette clarté qu'un vieil esclave apporte.
Ce tapis autrefois ornait la grande chambre; Au dire des vieillards, l'effrayant roi sicambre, Witikind, l'avait fait clouer en cet endroit, De peur que dans leur lit ses enfants n'eussent froid. VIII LA TOILETTE D'ISORA Cris, chansons; et voilà ces vieilles tours vivantes. La chambre d'Isora se remplit de servantes; Pour faire un digne accueil au roi d'Arle, on revêt L'enfant de ses habits de fête; à son chevet, L'aïeul, dans un fauteuil d'orme incrusté d'érable, S'assied, son...
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La Legende des Siecles
L'oeil distingue, au milieu du gouffre où l'air sanglote,
Quelque chose d'informe et de hideux qui flotte,
Un grand cachalot mort à carcasse de fer,
On ne sait quel cadavre à vau-l'eau dans la mer,
Oeuf de titan dont l'homme aurait fait un navire.
Léviathan; c'est là tout le vieux monde, Apre et démesuré dans sa fauve laideur; Léviathan, c'est là tout le passé: grandeur, Horreur. Le dernier siècle a vu sur la Tamise Croître un monstre à qui l'eau sans bornes fut promise, Et qui longtemps, Babel des mers, eut Londre entier Levant les yeux dans l'ombre au pied de son chantier. Effroyable, à sept mâts mêlant cinq cheminées Qui hennissaient au choc des vagues effrénées, Emportant, dans le bruit des aquilons sifflan...
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de respectables chercheurs répètent, avec la plus grande solennité et sans l'ombre du moindre sourire, les
légendes locales racontant que la Terre - ou peu importe le nom qu'ils lui donnent - est en fait située dans
l'hyperespace et demeure inaccessible, sinon par accident.
51. Ils neretournèrent pasenville avant lemilieu delamatinée. L’officedutourisme étaitpassablement bondé, cette fois-ci, maisilsparvinrent toutefoisàobtenir lescoordonnées d’unebibliothèque deréférence où,là,on leur fournit lesinstructions permettantd’utiliserlessystèmes locauxd’accès auxbanques dedonnées. Ils épluchèrent soigneusement muséesetfacultés, encommençant parlesplus proches eten yglanant toutes les informations disponiblessurlesanthropologues, archéologuesetautres spécialistes del’A...
- Vous expliquerez le titre de u Légende des siècles a donné par Victor Hugo à son poème.
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Discutez ce jugement d'un critique contemporain sur les tragédies de Racine : « Les tragédies de Racine qui restent les plus vivantes sont celles où, par le recul du temps, par le prestige des vieilles légendes, nous sortons plus aisément de la réalité historique pour entrer dans une sorte de féerie. Britannicus peut être « la pièce des connaisseurs »; ce n'est sans doute pas celle qui touche le plus. Les pièces qui gardent bien mieux le « je ne sais quoi » qui gagne les coeurs, ce son
raciniennes qui s'écartent délibérément de la représentation de l'histoire, direction dans laquelle Racine a cependantdû s'engager pour montrer que là aussi, il était capable de rivaliser avec Corneille. C'est dans cet ordre d'idées qu'uncritique contemporain écrit : ...(texte de la citation donné comme sujet) et Racine lui semble donner raison, lorsqu'ils'exprime ainsi dans la Première Préface de Britannicus : « De quel front oserais-je me montrer... aux yeux de cesgrands hommes de l'Antiquité...
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the legend of dorian gray
summary : Painter Basil Hallward and college friend dandy Lord Henry Wotton befriend Dorian Gray, a beautiful young man. Basil finds inspiration in painting Dorian. Lord Henry seeks to influence him with his philosophy of New Hedonism. Dorian, spellbound by Basil's portrait and Lord Henry's wit and wisdom, expresses the desire to be forever young, and a willingness to give his soul for it. Dorian meets an actress Sibyl Vane, is smitten with her performances of Shakespearean heroines an...