1014 résultats pour "disaient"
-
Qui suis-je, moi qui dis "je" ?
Mais suis-je vraiment ce que j'ai conscience d'être ? Est-ce vraiment par manque de maturation que l'enfant parled'abord de lui à la troisième personne ou bien est-ce parce que le vocable « je » lui paraît trop ambigu, trop fuyantpour rendre compte de sa réalité profonde ?J'ai immédiatement conscience des sentiments que j'éprouve, des pensées que j'ai, de ce que je veux, désire et fais.Je crois me connaître. Mais ma conscience est-elle bien la cause première de mes pensées et de mes actions ?Nie...
- Dis
- Suis-je ce que je dis être ?
-
Dictionnaire en ligne:
DISANT, -ANTE, participe présent, adjectifet substantif.
soleil. JEAN GIRAUDOUX, Électre, 1937, II, 4, page 147. — Abusivement. [En parlant d'un inanimé concret ou abstrait] Qui n'est pas vraiment, présumé, prétendu. Les restaurants luxueux, ou soi-disant tels (HENRI DE MONTHERLANT, Les Lépreuses, 1939, page 1408 ). Une monnaie soi-disant française, fabriquée par l'étranger (CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1956, page 224) : Ø 4.... je n'accepterai en aucun cas qu'une soi-disante souveraineté extérieure vienne m'obliger à accepter une interpr...
-
Citations avec soi-disant, adverbe
pelé « le lieu de l'oreille qui écoute ». Les fidèles y ve naient faire part de leurs re quêtes au dieu et peut-être le prier en ces termes : « Tandis que le serviteur est enclin à commettre le péché, le sei gneur lui est enclin à la grâce, le maître de Thèbes ne passe pas un jour entier en colère, s'il se met en colère c'est pour un instant, et il ne reste rien. » Le fidèle venait ainsi chercher soutien et r...
-
Qui parle quand je dis ''je'' ?
idéaux moraux. Comme le disait Alain, « Philosopher c’est dire non » c'est-à-dire éviter le prêt à penser, les préjugéset prendre du recul par rapport à tout ce que l’on a apprit. L’être humain est libre, et puisqu’il est différent à chaqueinstant, c’est à chaque instant que l’on peut décider de changer. Par ailleurs, le langage est un constituant fondamental de la thèse empiriste, car c’est la seule chose qui maintienneune bribe d’unité au fil du temps et au fil des perceptions, de « ce que j’a...
- Dis (Dis Pater, Dispater) Roman The richest of the ancient Roman gods; a god or king of the Underworld (2), the realm of the dead.
- Citations avec soi-disant
-
- Citations avec soi-disant
- Quand je dis que tous les hommes sont égaux, c'est comme si je disais : il est raisonnable d'agir avec tous pacifiquement, c'est-à-dire de ne point régler ses actions sur leur force, ou sur leur intelligence, ou sur leur science, ou sur leur richesse.
-
2. EXISTE-T-IL DES FORMES
DE TOUTES CHOSES ?
[PARMÉNIDE-SOCRATE]
— P. Mais, dis-moi
216 PLATON PAR LUI-MÊME l'emprise où elle te tiendra, je pense, quand tu ne mépri seras aucune de ces choses. Pour l'heure, tu as encore égard à l'opinion des hommes, c'est de ton âge. Parménide, 130be 3. DIFFICULTÉS DE LA PARTICIPATION [PARMÉNIDE-SOCRATE] -P. Nouvelle question, Socrate: tu crois, me dis-tu, à l'existence de certaines Formes, dont les choses pren nent les dénominations du fait qu'elles y participent; ainsi...
-
II
Ma soeur, Mrs Joe Gargery, n'avait pas moins de vingt ans de plus que moi, et elle s'était fait une certaine
réputation d'âme charitable auprès des voisins, en m'élevant, comme elle disait, « à la main ».
– Et pourquoi yes-tu allé ? Voilàceque jevoudrais savoir,s’écriamasœur. – Je nesais pas, dis-je àvoix basse. – Je nesais pas ! reprit masœur, jene leferai plusjamais ! Jeconnais cela.Jet’abandonnerai undeces jours, moi qui n’ai jamais quittécetablier depuis quetues au monde. C’estdéjàbien assez d’être lafemme d’unforgeron, etd’un Gargery encore,sansêtretamère ! » Mes pensées s’écartèrent dusujet dontilétait question, carenregardant lefeu d’un airinconsolable, jevis paraître, danslescharbons veng...
-
lui avions dit pourquoi nous étions à Striy ce jour-là, plusieurs grandes cartes anciennes de la
ville ; et c'était d'une masse importante de papiers récents qu'il avait sorti un échange de
lettres qui, disait-il, nous amuserait.
Achhb, c'est très décevant, a-t-elledit pendant que nous mangions ledéjeuner qu'elleavait préparé pourcélébrer monretour. Elleavait regardé lesdiapositives quej'avais faitesetelle n'avait cesséderépéter, Jevous ledis, cen'était pasmarue. Pourtant, elleavait scruté avidement chaquephoto,chaque diapositive, chaqueminutedela vidéo quenous avions faitesdanslesrues deStriy, ycompris lesimages désolées del'ancienne grande synagogue delaville, désormais enruine, desarbres immenses surgissantdel'intérie...
-
QUI SUIS-JE, MOI QUI DIS « JE »?
sur moi. C'est ce que Freud a exprimé dans une formùle célèbre qui indique le but de la cure psychanalytique et où il entendait par Es ( « ça ») l'inconscient en général et par !ch («Je») la conscience et la volonté : « Wo Es war Soli !ch wer den » («Où était ça, je doit devenir »). Ce qu'on pourrait tra duire, avec Lacan, ainsi : « Là où fut ça, il me faut advenir ». Il y a donc de ce lieu où ça était, un devenir possible ver...
- Qui parle quand je dis "JE" ?
-
désemparé et enragé, et elle disait, Eccchhh, je n'arrive pas à penser à ce que je veux dire, vous
savez ce que c'est, et parfois je le savais, et parfois je ne le savais pas, mais dans un cas comme
dans l'autre, je disais, Tout va bien, madame Begley, ce n'est pas important.
était drôle, ilétait tellement drôle ! Cela s'était passéunquart desiècle plustôt.Maintenant lemoment étaitvenu d'enterrer Mme Begley quim'avait donnéuneseconde chancedeconnaître quelqu'un delaculture etde l'époque demon grand-père, deposer lesquestions quejene savais pascomment poserquand j'avais vingtans.Leservice apris finetlapièce s'estlentement vidée.J'ysuis resté après que tout lemonde futsorti, même lavieille copine quiavait étéautrefois unejeune épouse au visage fraisdans uneville lointa...
-
-
-- Exactement On disait que les fossiles étaient la trace des animaux qui n'avaient pas trouvé de place dans l'Arche de
Noé.
étaient apparentés. — Ah ? — Cela concernait l’évolution dufœtus chezlesmammifères. Sil’on compare lefœtus d’unchien, d’unechauve- souris, d’unlapin etd’un êtrehumain àun stade précoce, ilest presque impossible deles distinguer clairement les uns desautres. Ilfaut attendre unstade beaucoup plusavancé pourquelefœtus d’unêtrehumain neressemble plus à celui d’unlapin. Celaneserait-il paslesigne quenous serions touslointainement apparentéslesuns aux autres ? — Mais iln’avait toujours aucuneexplicati...
-
Qui suis-je, moi qui dis "je" ?
Je suis, moi en qui tout me paraît clair, sans dessous, mais pourquoi suis-je né, pourquoi suis-je là ? Sans conteste,je suis l'effet d'une union, celle de mes parents, et j'en résulte, comme une séparation. Certes, la conscience d'êtreun être distinct, autonome, n'est pas immédiate. On sait que l'enfant commence par parler de lui à la troisièmepersonne. Mais lorsqu'il commence à dire « je » dans l'opposition à autrui, il ne revient jamais à l'autre manière deparler « Auparavant il ne faisait...
-
Un bon petit diable
dans la chambre; il y trouva Mme Mac'Miche seule, se débattant dans son lit, gémissant, disant des phrases
incohérentes, dans un véritable délire.
Marianne:Si tu as contribué à sa maladie, tu vas contribuer à sa guérison par les soins que tu lui donneras. Où comptais-tu aller en sortant d'ici? Charles:Chez Juliette, qui est seule depuis longtemps, et que je devais rejoindre dans une demi-heure. Marianne:Eh bien, mon ami, pour commencer ton expiation, avant de rentrer, va chercher le médecin; tu lui diras que je l'attends ici; et tu lui expliqueras l'état dans lequel tu as trouvé ta cousine. Charles:Oui, Marianne, j'y cours... Pauvre fe...
-
- Il semble b ien, à ce q ue t u dis, q ue t u aies raison,
Socrate, r épondit H ippocrate.
chez Protagoras et chez tous les autres sophistes; mais, si tu ne t'y connais pas, prends bien garde, (314a) mon cher Hippocrate, de hasarder ce que tu as de plus cher au monde; car le risque est plus grand dans l'emplette des enseignements que dans celle des aliments: après que l'on a acheté des aliments, d'un marchand domestique ou d'un forain, on peut les emporter chez soi dans d'autres vaisseaux; et avant d'en prendre,...
- Qui parle quand je dis "je" ?
-
Qui parle quand je dis je ?
suivrons ici Kant dans le début de son Anthropologie du point de vue pragmatique . « Une chose qui élève infiniment l'homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre,c'est d'être capable d'avoir la notion de lui-même, du Je. C'est par là qu'il devient une personne ; et grâce à l'unité de conscience qui persiste à travers tous les changements auquel il est sujet, il est une seule et même personne.(...)Il est à remarquer que l'enfant, lorsqu'il peut s'exprimer...
-
Qui parle quand je dis "je" ?
suivrons ici Kant dans le début de son Anthropologie du point de vue pragmatique . « Une chose qui élève infiniment l'homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre,c'est d'être capable d'avoir la notion de lui-même, du Je. C'est par là qu'il devient une personne ; et grâce à l'unité de conscience qui persiste à travers tous les changements auquel il est sujet, il est une seule et même personne.(...)Il est à remarquer que l'enfant, lorsqu'il peut s'exprimer...
-
Qui suis-je moi qui dis je ?
Mais suis-je vraiment ce que j'ai conscience d'être ? Est-ce vraiment par manque de maturation que l'enfant parled'abord de lui à la troisième personne ou bien est-ce parce que le vocable « je » lui paraît trop ambigu, trop fuyantpour rendre compte de sa réalité profonde ?J'ai immédiatement conscience des sentiments que j'éprouve, des pensées que j'ai, de ce que je veux, désire et fais.Je crois me connaître. Mais ma conscience est-elle bien la cause première de mes pensées et de mes actions ?Nie...
-
- Qu'est-ce que je dis quand je ne dis rien ?
-
COMMENTAIRE COMPOSE - Aragon - "Je dis la paix..." (Les Yeux et la Mémoire)
Sans doute le poème paraît-il au premier abord bien discret à ce sujet.* mais toute la 1° strophe y fait référence en renvoyant à un moment précis de l'histoire, en liaison étroite avec la date du recueil,1954; l'article défini "la paix" retrouve ici son sens étymologique (en latin : illa, qui a donné la forme féminine de l'article définifrançais, est adjectif démonstratif), il s'agit donc de cette paix précise qui vient d'avoir lieu et que le poète, ancien combattant desdeux guerres mondiales,...
-
Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Je disais l'autre jour...
Je disais l'autre jour ma peine et ma tristesse
Sur le...
Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Je disais l'autre jour... Je disais l'autre jour ma peine et ma tristesse Sur le bord sablonneux d'un ruisseau dont le cours Murmurant s'accordait au langoureux discours Que je faisais assis proche de ma maîtresse. L'occasion lui fit trouver une finesse : Silvandre, me dit-elle, objet de mes amours, Afin de t'assurer que j'aimerai toujours, Ma main dessus cette eau t'en signe la promesse. Je crus tout aussitôt que ces divins serments, Commençant mon bonheur, finir...
-
Le Corricolo
Padre Rocco, au contraire d'une foule de predicateurs qui posent d'avance la condition qu'on ne les
interrompra point, padre Rocco, dis-je, provoquait ordinairement le dialogue.
Quelque chose qu'ils aient faite? Oh! mon Dieu, oui. Meme les voleurs? Meme les voleurs. Meme les brigands? Meme les brigands. Meme les assassins? Meme les assassins. Il se fit un grand murmure de doute dans l'assemblee. Padre Rocco se croisa les bras et laissa le murmure monter, decroitre et s'eteindre. Vous doutez? dit padre Rocco. Hum! firent les lazzaroni. Eh bien! voulez-vous que je vous raconte ce qui est arrive, pas plus tard qu'il y a huit jours, a Mastrilla? A Mastrilla le b...
-
Han d'Islande
[Footnote: Frédéric III fut la dupe de Borch ou Borrichius, chimiste danois, et surtout de Borri, charlatan
milanais, qui se disait le favori de l'archange Michel.
grandes ailes de chauve-souris. Qui vous a fait ces contes, bonne mère? interrompit le chasseur d'un air de fatuité. J'ai vu, moi, ce Han d'Islande dans les gorges de Medsyhath; c'est un homme fait comme nous, seulement il a la hauteur d'un peuplier de quarante ans. Vraiment? dit avec une expression singulière une voix dans la foule. Cette voix, qui fit tressaillir Spiagudry, était celle d'un petit homme dont le visage était caché sous un large feutre de mineur, et le corps couvert d'une natte...
- Sujet : Lorsque je dis «j'ai raison», mon interlocuteur n'a-t-il plus qu'à se taire ?
-
Est-ce bien moi qui m'exprime quand je dis ''JE'' ?
composé d'interdit qui culpabilisent l'individu. Quand au « ça » , il représente la partie pulsionnelle du psychisme humain , qui n'a ni normes , ni interdits et qui estrégi uniquement par le plaisir, et par nos besoins biologiques. Le « ça » et le « Surmoi » sont donc souvent en contradiction, le « Surmoi » interdisant la satisfactiondes pulsions du « ça » et les refoulant. En croyant être maitre totale de notre « Moi » , on est comme l'ivrogne que Spinoza décrit dans l'Ethique, qui croit direl...
-
venu à escorter les Juifs américains dans les shtetls de leurs ancêtres, et il nous avait répondu,
avec un peu de circonspection, Je ne dis pas ce que je fais à la plupart des gens, je ne crois pas
qu'ils comprendraient.
toujours envie ;elle vivait enbas delaroute. Peut-être quecette Olgaserait enmesure de nous direquelque chose. Nous noussommes levéstousensemble, Ninaprenant avecautorité latête delaprocession – elle nousavait clairement adoptés,nousetnotre quête – etnous avons descendu laroute en direction dechez Olga. La route quenous avions empruntée pourallerdel'appartement deNina àla maison d'Olga, nous l'avons découvert parlasuite, étaitlaroute quiconduit ducentre delaville aucimetière, en passant parlavie...
-
-
►► Qui suis-je, moi qui dis "je" ?
Qui suis-je, moi qui dis «je►►? D ► 1. « Je est un autre» • Je ne suis donc pas celui que je crois être. Si j'ai conscience de mes sentiments, de mes désirs, de mes actions, j'en ignore la source et je leur attribue une signification, le plus souvent erronée. Je crois penser, mais je suis pensé, je crois agir, mais je suis agi. • C'est aussi ce que dit Rimbaud : « C'est faux de dire: je pense; on devrait dire on me pense. Pardon du jeu de mots. Je est un autre» (Lettre à Georges lzam...
- Orcus Roman Either an ancient Roman god of the Underworld (2) or an alternative name for Dis, the primary Roman god of this land of the dead.
-
formula cet impératif catégorique en disant : « Agis de telle sorte que tu traites l'humanité aussi bien dans ta
personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme
n moyen.
— Non, c’estjustement cetteliberté quifait denous desêtres humains. — Maintenant j’aicompris. — Pour conclure, onpourrait peut-être direqueKant aréussi àsortir laphilosophie del’impasse oùelle setrouvait avec laquerelle entrelesrationalistes d’uncôtéetles empiristes del’autre. C’estpourquoi Kantmarque aussilafin d’une époque dansl’histoire delaphilosophie. Ilmourut en1804, àl’aube d’unenouvelle époquequ’onadésignée sous leterme deromantisme. Sursatombe àKönigsberg estgravée unedeses plus célèbre...
- 179071 S'il s'élève au milieu de toi un prophète ou un songeur qui t'annonce un signe ou un prodige, et qu'il y ait accomplissement du signe ou du prodige dont il t'a parlé en disant: Allons après d'autres dieux, -des dieux que tu ne connais point, -et servons-les!
-
C'est quand nous sommes aux prises avec l'adversité, que nous pouvons apprécier la sincérité de ceux qui se disaient nos amis
1.76 RECUI!:IL Il faut bien avouer que ces amitiés fondées uniquement sm· l'estime et le sentiment naturel qui portent deux per sonnes l'une vers l'autre, sont assez rares, et que ce que nous appelons vulgairement de ce nom ne sont, comme dit le même auteur, qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité. L'occasion ne se présentant pas, les avantages d'un commerce amical n'existant plus, l'amitié ne sc forme pas...
- qui parle quand je dis je ?
-
Tartuffe: Je l’ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu’on appelle vu. Molière
120 / ÊTRE (et paraître} • 16 C'est un homme ... qui ... ah! ... un homme ... [un homme enfin. Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde Et comme du fumier regarde tout le monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien; Il m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela.» (acte I. scène 5. v. 270-279)...
-
Il y a du vrai dans ce que tu dis.
CALIGULA,doucement . Tais-toi, maintenant. LEJEUNE SCIPION Comme jete plains etcomme jete hais ! CALIGULA,avec colère . Tais-toi. LEJEUNE SCIPION Et quelle immonde solitudedoitêtre latienne ! CALIGULA,éclatant, se jette surlui et leprend aucollet ; ille secoue . La solitude ! Tulaconnais, toi,lasolitude ? Celledespoètes etdes impuissants. Lasolitude ? Mais laquelle ? Ah !tune sais pasque seul, onne l’est jamais ! Etque partout lemême poidsd'avenir etde passé nousaccompagn...
-
- Gorgias (extrait) Platon Calliclès : (...) Dis-moi, Socrate, devons-nous penser que tu es sérieux ou que tu plaisantes ?
-
Sur le bord sablonneux - Recueil de vers - Je disais l'autre jour - Pierre de Marbeuf
En premier lieu, ce sonnet s'annonce comme un bref récit. Il en présente d'abord les éléments constitutifs habituels: le lieu est donné par le " bord sablonneux d'un ruisseau " (vers 2) tandis que le temps est indiqué succinctementpar un " autre jour " (vers 1). Quant aux personnages, ils sont au nombre de deux : une femme qui est la " maîtresse" (vers 4) - au sens d'amoureuse - et " Silvandre " (vers 6). Quant à l'action, elle est réduite à quelques élémentsqui suivent la structure du sonnet :...
-
L'expressionnisme et l'irréalisme
par Georges Cattaui
Tout vrai poète, disait Gérard Manley
par Georges Cattaui
-
DIDEROT: Jacques le fataliste
Cette structure gigogne de récits qui s'emboîtent les uns dans les autres, évoque celle du roman picaresque auquelfait également penser le voyage de Jacques et de son maître. Mais, d'avantage que les multiples épisodes eux-mêmes, ce sont les discussions qu'ils engendrent qui apparaissent au premier plan. Car Jacques est un bavard, quise pique d'avoir un avis sur tout. Il aime philosopher et a son opinion sur les sujets les plus divers : l'art, la morale,la nature, et surtout l'inéluctable enchaî...
-
Les Châtiments, Livre IV, 2 (texte intégral). CE QUE LE POÈTE SE DISAIT EN 1848 - Lecture méthodique
--·INTRODUCTION Situation du poème Écrit en 1848, ce poème est le plus ancien des Châtiments. Son sujet même n'appartient plus à l'actualité: « Ce que le poète se disait en 1848 »se situe en effet avant le coup d'État de 1851, alors que la plupart des textes du recueil évoquent les débuts du Second Empire. 1848, c'est l'année des célèbres« Journées de Juin»: les 23, 24 et 25 juin, Paris connaît une violente révolte des ou...
-
Citations avec assertion, nom féminin
Je dis que cette objection reste dans toute sa force, car l'auteur des Lettres n'y
répond que par une assertion démentie par tous les édits.
Marie Gagnier , la Quête de Melville , Québec Amérique Cette assertion , qui semblera étrange peut-être, n’est que l’expression de la stricte vérité. L'Encyclopédie de L'Agora Elle manifestait cependant la même paresse argumentative que l’aristotélisme pour justifier cette assertion . L'Encyclopédie de L'Agora Cette dernière assertion se réfute lorsque nous portons notre attention sur les différents niveaux d’implication possible. Le Devoir.com La formule, pour spectaculaire qu’elle...
- Puis-je toujours savoir ce que je dis ?
-
La fin de Satan
On dirait qu'elle fait la lecture éperdue
D'un mystérieux livre ouvert dans l'étendue;
Parfois elle s'arrête en disant: Je ne puis.
« Mis à souffler sur lui comme on souffle sur l'âtre, « Il a frappé. Malheur aux obstinés qui vont « Faire une fouille sombre en cet être profond! « Vous qui vous appelez hier, demain, le sage, « Le savant, le chercheur, la fuite, le passage, « Larves! y songez-vous d'imposer à celui « Qui songe et qui s'appelle à jamais Aujourd'hui, « Vos auscultations, vos calculs, votre étude, « Et la vibration de votre inquiétude! « Il lui déplaît d'avoir vos chiffres hasardeux « Courant partout su...
-
- Proserpina Roman Queen of the Underworld (2) and the consort or wife of Dis, the Roman god of the underworld.
- Quand je dis que nous avons le sentiment intérieur de notre liberté, je ne prétends pas soutenir que nous ayons le sentiment intérieur d'un pouvoir de nous déterminer à vouloir quelque chose sans aucun motif physique (1) ; pouvoir que quelques gens appellent indifférence pure.