Commentaire Français école des femmes Molière

L'école des femmes, de Molière jouée pour la première fois en 1662 est une comédie théâtrale à la fois comique à grand succès (completer). La scène 5 de l'acte 3 est un long monologue du vieil homme d'Arnolphe. Dans cette scène on assiste aux sentiments qu'éprouve Arnolphe après avoir découvert l'amour entre le jeune Horace et Agnès, qu'il aime. Nous verrons en quoi Arnolphe est un héros tragique et qu'est-ce qui rend ce monologue comique. Pour commencer, nous étudierons les sentiments d'Arnolphe ses souffrances et comment il vit cette situation de mal être.et enfin Pour finir nous analyserons les éléments du texte qui rendent cette scène comique malgré les souffrances qui s'en dégagent. Nous allons etudier l evolution des sentiments d A tout au long de cette scene. Tout d'abord, on assiste clairement à la colère d'Arnolphe envers Agnès du vers 12 à 16. Il s'énerve en utilisant des expressions telles que : « j'enrage «. Il va ensuite étaler toute sa colère sur Agnès « que je serais vengé d'elle par elle-même « il est naïf et pense qu'Agnès sera punit par elle-même de son amour envers Horace et insiste encore sur sa colère. Arnolphe pensait l'avoir convaincu de l'aimer mais il voit que tous ses efforts n'ont servis à rien. Il pense aussi que Agnès lui devait son amour : « elle trahit mes soins, mes bontés, ma tendresse « «. Il pense également que tout se répare et notamment par l'argent, c'est son seul atout par rapport à Horace. On imagine qu'elle préfère donc rester avec Horace tout simplement par amour. Les arguments d'Arnolphe pour exprimer sa bonté envers Agnès tiennent pas la route: « Elle n'a ni parents, ni support, ni richesse ; «. Un autre élément qu'il faut également souligner dans ce discours, c'est la jalousie d'Arnolphe envers Horace. Dès le premier vers il commence déjà à le critiquer « comme il faut devant lui que je me mortifie ! «, Il l'estime inférieur à lui pour les histoires Le texte à commenter est extrait de L'Ecole des femmes de Molière : un homme d'âge mûr, Arnolph...