Les mécanismes de défense

« n'est plus considéré comme un unique et un tout. (psychose) L'introjection Mécanisme psychotique utilisé qque fois par les névrotiques.

Opération psychique qui permet de localiser à l'intérieur de soi ce q ui se situe en fait à l'extérieur.

Sert de repère du MOI pour l'appréhension de l'objet dont le détachement est alors possible.

(ex : introjecter le mauvais = dépression) L'idéalisation Le bon objet devient parfait, idéal afin d'être préserver du mauvais.

(parano) Permet de protéger le bon objet des pulsions destructrices en amplifiant ses qualités exagérément.

Le mépris de l'objet L'objet est déprécié pour se préserver de l'angoisse résultant de la perte éventuelle de cet objet.

C'est une défense maniaque.

(ex : quitter la personne qu'on aime pour ne pas se faire quitter) Le triomphe de l'objet L'objet n'a aucune valeur lui -même.

C'est l'attitude toute puissante du sujet sur l'objet.

La dénégation (refuse) Le sujet peut exprimer un désir, une pensé e, un sentiment jusqu'ici refoulé à condition de s'en défendre, de nier qu'il lui appartienne.

(« je vais vous dire ce que je ne suis pas » mais en réalité il dit ce qu'il est) L'annulation rétroactive (efface) Le sujet n'assume pas certaines représentat ions apparentes lors d'actes ou de pensées.

Il va utiliser une nouvelle pensée ou un nouveau comportement ayant une signification autre ou supposé autre.

Mécanisme très régressif et porte sur la réalié.

L'isolation Isole une pensée ou un comportement de sa charge affective.

La représentation est reconnue mais ne touche pas le sujet, elle est dévié sur une autre représentation anodine qui deviendra obsédante.

(chez névrosés obsessionnelles et hystérique).

L'identification Processus psychique par lequel le sujet assimile inconsciemment un aspect, une propriété, un attribut de l'autre et se transforme totalement ou partiellement sur le modèle de celui-ci, sous l'effet du plaisir libidinal ou de l'angoisse.

La rationalisation Justification logique, mais a rtificielle , qui camoufle, à l'insu de celui qui l'utilise, les vrais motifs de certains de ses jugements, de ses conduites, de ses sentiments, car ses motifs véritables ne pourraient être reconnus sans anxiété.. »