Le trouble du stress post-traumatique
Publié le 21/03/2012
Extrait du document
«
Il existe beaucoup de problème d’ordre psychologique.
Certains peuvent être passager et
‘d’autres qui peuvent durer jusqu’à la fin des jours.
Il y en a qui peuvent être mixtes tel
que le syndrome post-traumatique.
Le syndrome post-traumatique est relativement un
trouble psychologique assez jeune puisqu’il est relié à des événements graves et que les
façons de le traiter n’est pas encore mise au point.
Ce trouble psychologique est assez
complexe tel que pour les syndromes, les causes ainsi de la manière à la traiter.
Le trouble du stress post-traumatique (TSPT) est un trouble anxieux qui se manifeste à la
suite d’événement important qui est traumatisant tel des accidents graves, attentats,
guerre, fusillade et autres événements perturbateurs.
Ce trouble psychologique est
particulièrement chez les militaires revenant de mission à l’étranger.
Dans la population
normale, on montrée que le risque est de 10 à 12% chez les femmes et de 5 à 6% chez les
hommes.
Par contre que les militaires, ce taux monte à 18% D’ailleurs, on démontre
que 2008, le nombre de personnes atteints par ce syndrome a particulièrement triplé
grimpant plus de 10 000 cas.
D’autres, comme les réfugiés cambodgiens est atteint à
86% et et 75% des bosniaques sont concernés.
De plus, il est très présent chez les
victimes d’accident d’autos et chez les personnes qui ont subit un viol.
Les principaux symptômes du ce trouble psychologique sont que les personnes souffrant
d’un état de stress post-traumatique revivent souvent l’expérience par des souvenirs
répétitifs et envahissants de l’événement, comme des images, des pensées, des
perceptions, fuite de la réalité, des rêves ou des épisodes de flash back et trouble du
sommeil.
La personne vit une détresse psychologique intense associée à des signaux
internes ou externes qui rappellent des aspects de l’événement traumatique.
De plus chez
ces personnes, on observe également un phénomène d’évitement persistant des stimuli
associés au traumatisme et un émoussement de la réaction aux stimuli.
La personne
atteinte peut devenir une menace pour lui-même, mais surtout pour les personnes
environnantes.
Le trouble peut être assez grave et durer assez longtemps (au moins un
mois) pour entraver considérablement la vie quotidienne de la personne qui en souffre.
Aussi, on remarque différents stades s’apparition du stress post-traumatique perçus par le
docteur Louis Crocq, psychiatre spécialiste des névroses de guerre et des réactions des
populations bombardées.
La première phase est la réaction immédiate.
Dans cette phase,
l’individu ressent qu’il est dans une situation inhabituelle.
Il remarque que ses signes
vitaux réagissent dès qu’il prend conscience du drame, son pouls et sa respiration
s’accélèrent le tout accompagné de fortes sueurs et une envie pressante d’urine.
Certaines
personnes plus atteint s’installe dans une agitation incontrôlable.
Ils doivent être soignés
sur le terrain.
Dans les heures ou les semaines après ce chocs, une pathologie se
développe une grande irritabilité, des crises de larmes et des décharges émotives.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- L'ecstasy comme remède contre le stress post-traumatique
- La rééducation post-traumatique (Travaux Personnels Encadrés – Médecine & Santé – TS)
- La rééducation post-traumatique
- Philosophie Post-moderne
- Comment le stress peut impacter nos performances sportives ?