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Exposé sur la sexualité féminine chez Freud

Publié le 25/07/2012

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Cette phase permet d’expliquer pour Freud de nombreux phénomènes. Il prend l’exemple des femmes qui ont choisi leur mari selon le prototype paternel. Il explique qu’en fait elles répètent sur lui dans leur mariage leur mauvaise relation à la mère. « le mari devait hériter de la relation au père et il hérite en réalité de la relation à la mère « : cas proche de la régression pour Freud : La relation à la mère était la relation originaire sur laquelle était construite le lien au père mais maintenant dans le mariage émerge du refoulement ce qui était à l’origine. Il y’a donc report sur l’objet paternel des liens affectifs avec l’objet maternel. 

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« Cette ambivalence amour/haine est très présente dans les premières phases de la vie amoureuse.

Mais « l'homme normal et adulte réussit dit Freud à ne pas haïr sonobjet d'amour et à ne pas devoir aussi aimer son ennemi » cela résulte de développements ultérieurs. PARTIE 4 : Dans cette partie Freud explique qu'il n'est pas le premier à avoir traité ce sujet il compare donc des études précédentes avec la sienne et relève les points d'accord etde désaccord avec chacun. Abraham : « les manifestations du complexe de castration de la femme » Freud est en désaccord car il dit qu'il n'introduit pas le facteur du lien exclusif à la mère.Jeanne Lampl de Groot : Freud est d'accord avec elle sur de nombreux points comme par exemple l'existence des phases préoedipiennes du garçon et de la fille ouencore le fait de dire que se détourner de la mère vient de la connaissance de la castration.Mais considère son travail comme incomplet car elle présente le fait de se détourner de la mère comme un simple changement d'objet, ne rend pas compte del'hostilité qui est présente.Hélène Deutsh : Rend mieux compte de cette hostilité dans son travail : LE masochisme féminin et sa relation avec la frigidité.Et enfinFénichel dans l'ouvrage : LA préhistoire prégénitale du complexe d'Œdipe.

Freud dit qu'il insiste avec raison sur la difficulté de reconnaitre de l'analyse ce qui estcontenu inchangé de la phase préœdipienne et ce qui a été déformé régressivement.

Pas d'accord avec M.

Klein sur l'avancement de l'Œdipe à la deuxième année.. »

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