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ecriture et résilience

Publié le 08/05/2013

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Groupe d'atelier d'écriture auprès des personnes âgées, comme étayage du processus de résilience Table des matières Introduction..........................................................................................................................................................2 TOC \o "1-3" \h \z \u I.Vieillissement.................................................................................................................................................. PAGEREF _Toc341894194 \h 4 1.Personne âgé et perte PAGEREF _Toc341894195 \h 4 2.Et la résilience ? PAGEREF _Toc341894196 \h 5 II.Atelier d'écriture t.......................................................................................................................................... PAGEREF _Toc341894197 \h 6 3.Dispositif de l'atelier d'écriture PAGEREF _Toc341894198 \h 7 4.Présentations des patients PAGEREF _Toc341894199 \h 8 5.Présentation du déroulement effectif de la quatrième séance PAGEREF _Toc341894200 \h 9 6.Discussion cette séance PAGEREF _Toc341894201 \h 11 6.1Contenance PAGEREF _Toc341894202 \h 11 6.2L'autre comme miroir PAGEREF _Toc341894203 \h 13 6.3Ecriture et traumatisme : le cas d'aurélie PAGEREF _Toc341894204 \h 14 III.Groupe d'atelier d'écriture et résilience ? t............................................................................................. PAGEREF _Toc341894205 \h 15 1.Peut-on parler de groupe d'atelier d'écriture comme tuteur de résilience ? PAGEREF _Toc341894206 \h 16 Conclusion ..........................................................................................................................................................16 Bibliographie.......................................................................................................................................................17 Introduction L'arrivée dans le monde de la vieillesse provoque des changements inéluctables et nous confronte à notre finitude. Le sujet âgé vit une véritable épreuve faite de pertes, de deuils, de modifications physiques et psychiques. Dans le suivi de ces patients, la prise en compte de cette réalité spécifique à ce type de public est essentielle. Cette épreuve de vulnérabilité au temps qui impose ses changements est inhérente aux modifications corporelles. Le corps se modifie peu à peu et c'est toute l'intégrité de la personne, son identité même qui s'en trouve modifiée. C'est toute la problématique de l'avancée en âge, entre investissements et désinvestissements, qu'ils soient psychiques ou corporels. L'univers de la personne âgée en institution est soumis à de nombreuses répétitions, d'une part du fait même de l'organisation de la structure des accueillants, d'autre part de la façon dont chaque sujet vit son vieillissement : répétition d'histoires, de gestes, de demandes. Cette répétition évoque un disque rayé tournant inlassablement contre lequel on ne peut lutter et dont la mélodie se trouve toujours interrompue brutalement au même endroit. De part cette constatation, je me suis intéressée aux effets d'un objet médiateur, l'écriture dans la relation patients/psychologues. Cela pourrait être un moyen détourné afin d'aller au delà de ces interruptions, de ces blocages et de pouvoir entamer un travail qui se veut thérapeutique. D'essayer de soutenir la mise en jeu de leur capacité adaptative, la mise en place de stratégie de résolution de problème, entre autre la résilience. La résilience chez la personne âgée, serai la capacité de préserver son bien être psychologique dans des circonstances de vie adverse, en arrivant à modérer l'impact délétère qu'exercent les événements stressant sur son état de santé physique et psychologique. Dans cet exposé, je vais en premier lieu présenter brièvement la clinique du sujet âgé, puis je vais m'attarder sur l'atelier d'écriture, en particulier sur une séance. J'essaierai de parler des phénomènes présent dans le groupe comme la contenance et les identifications qui peuvent aider à la résilience. Pour finir je m'interrogerai sur le lien entre le groupe d'atelier d'écriture et la résilience. Vieillissement Personne âgé et perte Au cours de notre vie, nous sommes tous confrontés à un vécu de perte. Quel que soit notre d'âge, nous devons apprendre à faire face à ces pertes qu'elles soient réelles ou vécues comme telles. Tout cela demande un véritable travail psychique couteux de la part du sujet. Celui-ci tente, malgré certaines résistances, de s'adapter à ces évènements de vie et de réinvestir sa libido devenue libre sur un nouvel objet. Or, avec le temps, les pertes se font plus nombreuses  dont les pertes de l'activité professionnelle (travail, réseau professionnel), perte de la santé et les pertes des personnes chères mettant chacun, à un moment ou à un autre, face à des deuils qu'il faut aborder à partir d'une situation déjà préalablement fragilisée, perte de soi. Ce qui soutenait l'identité se dérobe. Assumer sa réalité vieillissante sollicite les capacités adaptatives de l'individu et malmène l'équilibre intérieur du sujet. Les bouleversements traversés alors peuvent avoir valeur de traumatismes et mettent l'appareil psychique à rude épreuve. Le sujet doit alors lutter contre les pertes car cela lui coûte psychiquement. Le sujet âgé est aussi confronté à sa propre perte, en vieillissant il se confronte indubitablement avec sa propre finitude. Le principe de réalité s'impose à nous de manière inéluctable. Comment accepter que notre fin approche ? Progressivement, à l'occasion de l'accumulation des disparitions, le sujet acquiert le sentiment que «  ce n'est plus seulement un autre qu'il perd mais lui-même c'est-à-dire narcissiquement tout ce qui définit et caractérise son identité psychique et physique « (Ouango, 2001, p. 212). La crise identitaire sous-jacente au vieillissement implique un travail de deuil de soi-même, de ce que la personne âgée a pu être. De là se font ressentir une dévalorisation de l'image de soi et une blessure narcissique. En témoignent les interventions des personnes âgées qui nous rappellent cet autre qu'elles pouvaient être autrefois « avant je pouvais marcher des heures, maintenant, regardez-moi ! Je ne peux plus rien faire, tout me fatigue ! Profitez de votre jeunesse car après ce n'est pas toujours drôle « disait une patiente. Or, si cette image souffre d'être écorchée et de se perdre, la vie dépend d'un minimum d'investissement narcissique. Et la résilience ? L'âge est le temps de l'adaptation nécessaire. Adaptation à un corps qui devient de plus en plus présent, par les changements où la question du normal et du pathologique est omniprésente. C'est un temps d'adaptation, l'âge est aussi temps de vulnérabilité. Si la vulnérabilité physiq...

« I.Vieillissement ......................................................................................................................................

4 1.Personne âgé et perte .......................................................................................................................

4 2.Et la résilience ? ...............................................................................................................................

5 II.Atelier d’écriture .................................................................................................................................

6 3.Dispositif de l’atelier d’écriture .......................................................................................................

7 4.Présentations des patients ................................................................................................................

8 5.

Présentation du déroulement effectif de la quatrième séance ..........................................................

9 6.Discussion cette séance ..................................................................................................................

11 7.Contenance ................................................................................................................................

11 8.

L’autre comme miroir ...............................................................................................................

13 9.Ecriture et traumatisme : le cas d’aurélie ...................................................................................

14 III.Groupe d’atelier d’écriture et résilience ? ........................................................................................

15 2.Peut-on parler de groupe d’atelier d’écriture comme tuteur de résilience ? ...................................

16 …………………………………………………………………………………………………………… ………………………….16 Bibliographie…………………………………………………………………………………………… ……………………………………….17 2. »

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