cours psycho sociale
Publié le 03/04/2021
Extrait du document
INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE SOCIALE
I. Spécificité de la psychologie sociale
A. Une double origine
Débat entre Durkheim et Tarde :
Tarde : On n’imite pas n’importe qui et pas à n’importe quel moment donc l’idée de Tarde selon laquelle la société, la pensée de la société aurait pour origine la pensée individuelle et l’imitation des individus, des personnes les unes par les autres fonctionne mais c’est beaucoup plus complexe que ça. Par exemple : Une manifestation se déroule au même moment où l’on dit aller à un examen à la fac. Je ne vais pas m’arrêter à cette manifestation malgré que je défende aussi la cause de cette manifestation. Ce n’est pas une question de conviction et de valeur qui se pose dans cette situation mais une question de situation. Dans cette situation, il y a une priorité : le fait de se rendre à un examen, ce qui est très important. Pour Tarde, la société est la somme des comportements individuels qui pose comme origine cette idée d’imitation des personnes les unes par les autres. -> Mécanisme individuel et interindividuel.
Durkheim : Pour comprendre la société, il ne suffit pas de s’intéresser aux individus car la société est une entité en elle- même et qu’essayer de comprendre la société a partir des individus revient a essayer de comprendre un organisme vivant en s’intéressant au fonctionnement des cellules. Cela ne suffit pas à expliquer comment 2 personnes fissent par être attirer en elles, ou comment on va rejoindre une manifestation ou pas, ou comment on rejoint un groupe et donc avoir une influence sur notre équipe. L’idée forte de Durkheim est que la société tout entière fonctionne car elle partage « une représentation collective ». L’ensemble de la société opère avec un système de pensée qui est partagé par l’ensemble des individus d’une même société. Cette représentation collective est une façon de comprendre pour cette société. Ex : A l’époque de Durkheim, la femme est celle qui s’occupe de son foyer, des enfants, soutient son mari, organise des salons pour favoriser les rencontres avec les représentants des écrivains, des peintres… Au fond, favoriser la socialisation du mari avec des personnes hautement visibles (artistes…). Le rôle de la femme était aussi celui d’une personne un peu en retrait et qui soutenait son mari. Elle n’est pas considérée comme une personne à part entière (pas de droit de vote, de divorce, pas de compte en banque). La représentation de la femme à un peu évolué aujourd’hui : droit de vote, de divorce, compte en banque. Elles commencent à être pensé indépendamment des hommes. Ce n’est pas qu’il y a des lois qui sont apparues, que les mentalités évoluent/changent. Ex : racisme, égalité hommes/femmes, représentation de la nature… Il ne suffit pas qu’un individu ait une idée et qu’un autre, des autres l’imite(nt) pour que les choses soient mises en place car il y a des conditions réelles qui doivent être enclenchée. Ce n’est donc pas qu’une idée d’imitation. Durkheim fait porter le débat sur la société dans son ensemble.
Il faut noter qu’aucune de ces 2 approches ne suffissent pour expliquer la totalité des phénomènes psycho-sociaux. L’idée que cette double origine de la psychologie sociale, qui est dans la tension entre ces 2 points de vue, est extrêmement intéressante pour montrer l’intérêt que l’on a en société à avoir des gens avec qui nous ne sommes pas d’accord car c’est de nos désaccords qu’on va mieux comprendre, ensemble ou séparément, pourquoi nos modèles d’explications sont insuffisants pour tout expliquer.
Pour expliquer le lien entre la personne et la société, nous avons :
B. Deux définitions :
1) La psychologie sociale est la science du conflit entre l’individu et la société (Moscovici, 1984)
Conflit : tension, résistance qui peut se mettre en place face à cette influence entre la personne et la société.
è S’inscrit dans la vision de Durkheim et s’intéresse à la société.
2) La psychologie sociale traite de la dépendance et l’interdépendance comportementale entre les individus. (Zajonc, 1966)
L’idée de la dépendance et interdépendance reprend bien l’idée de Tarde et s’inscrit dedans. Elle met un sens sur l’individu. C’est une façon de parler, d’1 autre sens, du mécanisme au cœur de l’idée de Tarde. Elle s’intéresse à la discipline de la psychologie sociale liée à l’individu et la personne. On comprend la société en partant des personnes et de la société.
Ces 2 définitions sont intéressantes car elles captent des choses différentes et on a besoin des 2 pour comprendre ce qui se passe dans le lien entre la personne et la société qu’il s’agisse d’un phénomène d’influence, de désobéissance dans la dépendance à l’autorité, dans le pouvoir qu’à l’autorité de sanctionner ou de récompenser. L’idée de s’intéresser à ce qui dans le mécanisme individuel et interindividuel, dans cette dépendance et interdépendance, permettent aux personnes de résister et comment cette dépendance et interdépendance permettent de créer des groupes qui permettent d’amener des phénomènes de changement sociaux. Ex : antiracisme, féminisme, écologie…
La société peut être une ressource pour, par exemple, donner du sens à notre existence. Cela peut être une limite car elle nous impose ses normes (ex : façon de penser, ressentir). Tous les individus doivent avoir le droit de donner son ressenti. L’idée est que la prévention de la violence passe aussi par l’éducation, la formation mais aussi par la réduction des inégalités. Il faudrait donc que ceux qui ont beaucoup plus de ressources aident ceux dans le besoin pour qu’elles soient mieux traité dans la société.
C. Les niveaux d’analyse en psychologie sociale.
Les niveaux d’analyse nous permettent voir comment on peut s’intéresser à ces phénomènes psycho-sociaux qui relie l’individu et le collectif (le groupe, la société).
EX 1 : Les simpsons :
1) Intra-individuel : il fait référence aux questions de personnalité ou dispositions individuelles.
Ex : Lisa = très consciencieuse, très à l’aise sur des questions d’environnement, sociales, qui fait attention aux autres, travaille très bien à l’école et à l’opposé, on a Bart qui, lui, est quelqu’un de très actif, qui a toutes sortes de problème… Quand on analyse les phénomènes psycho-sociaux qui concerne Lisa et ceux qui concerne Bart, on voit que ce ne sont pas les mêmes. Analyser cela à ce niveau veut dire qu’il faut expliquer que les problèmes qui arrivent à Lysa lui arrive car elle a tel titre et telle personnalité. Elle a une disposition à être consciencieuse, bonne élève ect et Bart, par contraste, lui a d’autres types de problèmes car c’est quelqu’un de très actif, très curieux, qui conteste très rapidement les règles… Cela est faire une analyse de ce qu’il lui arrive au niveau intra-individuel, c’est-à dire, qu’on explique ce qu’il leur arrive par leur personnalité, par leur caractère, par leurs dispositions individuelles.
2) Interindividuel : proposer des explications qui s’intéressent non plus à l’individu mais à la relation entre les personnes. C’est typiquement ce que Tarde avait en tête, quand il pensait que les personnes s’imitent les unes les autres.
Ex : Homer et dans un bar avec son ami et joue de la guitare. A ce niveau, on peut se dire qu’en fait tous les 2 se sentent bien donc ils se mettent à chanter, jouer ensemble mais au niveau intra-individuel, on peut se dire qu’Homer joue de la guitare avec son ami car c’est un musicien, il a des dispositions musicales et une personnalité musicale, il aime la musique. Tout cela pour dire, qu’une même situation peut être analysé à différents niveaux. A l’opposé de cette image, on a celle de Homer et Bart sur laquelle Homer étrangle Bart, cela est interdit par la loi. Mais à ce niveau d’analyse, on peut se dire que leur relation est conflictuelle et c’est pour cela que Homer étrangle Bart du fait du conflit dans leur relation mais attention, cela est plus complexe que ça, cette explication est insuffisante pour expliquer cela. Si cela était un conflit, ça devrait être symétrique et donc Bart lui aussi étranglerait son père et en aucun cas on a déjà vu Bart étranglait Homer dans le film. Au niveau intra-individuel, cette image s’expliquerait au travers de questions de personnalité et que l’interaction à lieu car Homer est quelqu’un de colérique et donc il étrangle Bart. Cette explication à ce niveau est elle aussi insuffisante. On n’imite pas n’importe qui et n’importe quand de la même façon à un conflit violent. Un conflit n’est pas la même chose que la violence. Pour expliquer que le fait qu’Homer étrangle Bart et que ce n’est jamais l’inverse, on a besoin d’un autre niveau d’explication, qui est plus profond, qui est :
3) Positionnel : fait appel à des explications qui prennent en compte la différence de pouvoirs, de statut, de domination entre un partenaire et un autre dans une relation.
Ex : Différents pouvoirs sont présents dans cette image de famille. Dans cette image, on prend en compte la hiérarchie, le statut relatif des personnes où l’on voit que certains ont plus de pouvoirs que d’autres, dominant/dominé, oppresseur/opprimé. Ces rapports sociaux, ces positions distinctes et non pas symétrique et donc asymétrique entre les personnes. Dans cette image, on a 2 parents (Marge et Homer) et 3 enfants (Lisa, Bart et Maggie) qui ont des statuts différents et donc leur position relationnelle ne sont pas symétrique : ce sont les parents qui prennent les décisions et les enfants doivent s’y tenir. Ces différences positionnelles sont intéressantes car elle définit les différences de pouvoirs qu’il y a entre les uns, les autres. Si l’on revient à l’image de Homer qui étrangle Bart, on peut comprendre que c’est toujours Homer qui étrangle Bart et non l’inverse car il y a une différence de pouvoirs entre les 2. Le comportement de Homer est interdit par la loi et c’est ainsi en France pour les parents ou personnes ayant une autorité sur un enfant (loi du 10/07/2019 contre les violences éducatives ordinaires à violences sur les enfants au nom de l’éducation. Ex : une fessé, crier sur l’enfant (à engendre du stress et l’enfant le prend comme une menace), l’humiliation (aller au coin). Ordinaire= quotidienne). Une violence peut être physique, psychologique et autre. Aujourd’hui, on sait que, d’un niveau neuropsychologique, c’est que lorsque l’on crie sur un enfant l’oreille l’entend et le transfère au cerveau. Puis au niveau du cerveau, il entre dans un niveau des stress, qui est le stress que l’on subit quand on est menacé. Même quand on crie à coté de nous, en tant qu’adulte, on a une action de stress alors imaginez si l’on crie sur un enfant !! Son cerveau l’analyse comme une menace. Il va donc réagir cérébralement en mettant en route dans son corps, tous les hormones du stress : adrénaline, voire les hormones du stress extrême. Cela à effets très néfastes car ils mettent en route un mécanisme de protection dans le cerveau qui se situe au niveau de l’amygdale, elle n’est pas sous contrôle conscient. Cette amygdale vas se mettre à résonner comme une sirène dans la tête de l’enfant, ce qui vas faire qu’elle bloque tout le cerveau, ce qui fait que l’enfant se sent comme menacé. Le cerveau réagit comme si l’enfant était menacé de mort. Quand le cerveau se sent menacé il arrive parfois qu'il y est une dissociation. Plus l’enfant vit dans la maltraitance + les humiliations morales ou physiques, plus l’enfant ne ressent plus de douleurs. On sait aussi que la part qui contrôle les émotions de manière consciente, qui est le lobe préfrontal, ne commence à murir à partir de l’âge de 7 ans et continue jusqu’à 25 ans. Pour faire comprendre à un enfant sa bêtise, il faut lui parler et être à son écoute. Il n’y a aucune étude qui montre que la punition est un apprentissage. Le fait que la violence ait été permise par le droit et la justice montre les personnalités étaient perdues. Quand les lois antiracistes ont été promulgué, les mentalités ont prit du temps à évoluer donc il va en être de même pour ces lois contre les violences sur les enfants. Un des défauts de cette loi c’est qu’elle ne suspend pas l’autorité parentale aux parents qui le font car ce n’est exercer l’autorité parentale. L'analyse psychologique de l'idéologie permet d'expliquer certains comportements ou la répression de certains comportements tels que la violence parce qu'elle est interdite. On ne peut se comporter qu'en accord avec l'idéologie dans laquelle on vit. Mais l’idéologie est à contester et c’est ce que cette loi fait, c’est-à-dire, qu’elle est là pour contester l’idéologie dominante qui est permissif par rapport aux violences faite aux enfants. Aujourd’hui, beaucoup de français et française croient qu’il est légitime de donner une fessé à l’enfant pour qu’il apprenne. Dire qu’une société a promulgué une loi est dire qu’elle a été jusqu’à la promulgation de cette loi d’accord, c’est-à-dire, que son idéologie cautionne ce comportement. On est donc loin de l’idée qu’Homer soit en colère pour qu’il étrangle Bart. Il y a la colère de Homer entre l’émotion de colère et le comportement qu’il a à vendre. L’émotion est légitime et le comportement est interdit mais c’est surtout le fait de dire qu’Homer a ce comportement car il est colérique et le fait de dire qu’il a ce comportement car ce comportement est tout à fait concluant avec l’idéologie qui permet à ces comportements d’être sur un autre niveau, qui est le niveau :
4) Idéologique : toutes les idées qui existent dans une société à un moment donné et qui permettent certains comportements et interdisent certains comportements même en l’absence de loi. C’est ce qui rend certains comportements acceptables ou inacceptables, souhaitables ou moralement répressible, moralement condamnable.
EX : Cette idéologie est représentée par la cloche au-dessus de la ville de Springfield. Cette cloche est présente car Homer jette des déchets dans le lac de Springfield et ce lac finit par être pollué et avec le temps la ville de Springfield, qui menace de polluer l’ensemble des E-U. Donc le président des E-U (image d’à côté) décide que la ville de Springfield sera enfermée sous une cloche, pour contenir la pollution. Celle cloche est très parlante en termes d’idéologie car elle signifie que la ville de Springfield est enfermée sans possibilité de communiquer avec l’extérieur. L’idéologie est un peu la même chose, c’est l’ensemble d’idées avec lesquelles on opère et on peut vivre, comme les habitants de Springfield peuvent vivre dans la ville mais qui est aussi limitante car on ne peut se comporter en accord avec elle et l’idéologie dominante dans les sociétés occidentales d’aujourd’hui, c’est une idéologie individualiste et capitaliste et ces raisons priment dans le choix qui relève de la crise sanitaire actuelle.
L'analyse psychologique de l'idéologie permet d'expliquer certains comportements ou la répression de certains comportements tels que la violence parce qu'elle est interdite. On ne peut se comporter qu'en accord avec l'idéologie dans laquelle on vit. Mais l’idéologie est à contester et c’est ce que cette loi fait, c’est-à-dire, qu’elle est là pour contester l’idéologie dominante qui est permissif par rapport aux violences faite aux enfants. Aujourd’hui, beaucoup de français et française croient qu’il est légitime de donner une fessé à l’enfant pour qu’il apprenne.
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1) La psychologie sociale est la science du conflit entre l’individu et la société (Moscovici, 1984)
Conflit : tension, résistance qui peut se mettre en place face à cette influence entre la
personne et la société.
S’inscrit dans la vision de Durkheim et s’intéresse à la société.
2) La psychologie sociale traite de la dépendance et l’interdépendance comportementale entre
les individus.
(Zajonc, 1966)
L’idée de la dépendance et interdépendance reprend bien l’idée de Tarde et s’inscrit dedans.
Elle met un sens sur l’individu.
C’est une façon de parler, d’1 autre sens, du mécanisme au
cœur de l’idée de Tarde.
Elle s’intéresse à la discipline de la psychologie sociale liée à
l’individu et la personne.
On comprend la société en partant des personnes et de la société.
Ces 2 définitions sont intéressantes car elles captent des choses différentes et on a besoin des 2 pour
comprendre ce qui se passe dans le lien entre la personne et la société qu’il s’agisse d’un phénomène
d’influence, de désobéissance dans la dépendance à l’autorité, dans le pouvoir qu’à l’autorité de
sanctionner ou de récompenser.
L’idée de s’intéresser à ce qui dans le mécanisme individuel et
interindividuel, dans cette dépendance et interdépendance, permettent aux personnes de résister et
comment cette dépendance et interdépendance permettent de créer des groupes qui permettent
d’amener des phénomènes de changement sociaux.
Ex : antiracisme, féminisme, écologie…
La société peut être une ressource pour, par exemple, donner du sens à notre existence.
Cela peut
être une limite car elle nous impose ses normes (ex : façon de penser, ressentir).
Tous les individus
doivent avoir le droit de donner son ressenti.
L’idée est que la prévention de la violence passe aussi
par l’éducation, la formation mais aussi par la réduction des inégalités.
Il faudrait donc que ceux qui
ont beaucoup plus de ressources aident ceux dans le besoin pour qu’elles soient mieux traité dans la
société.
C.
Les niveaux d’analyse en psychologie sociale.
Les niveaux d’analyse nous permettent voir comment on peut s’intéresser à ces phénomènes psycho-
sociaux qui relie l’individu et le collectif (le groupe, la société).
EX 1 : Les simpsons :
1) Intra-individuel : il fait référence aux questions de personnalité ou dispositions individuelles.
Ex : Lisa = très consciencieuse, très à l’aise sur des questions d’environnement, sociales, qui
fait attention aux autres, travaille très bien à l’école et à l’opposé, on a Bart qui, lui, est
quelqu’un de très actif, qui a toutes sortes de problème… Quand on analyse les phénomènes
psycho-sociaux qui concerne Lisa et ceux qui concerne Bart, on voit que ce ne sont pas les
mêmes.
Analyser cela à ce niveau veut dire qu’il faut expliquer que les problèmes qui arrivent
à Lysa lui arrive car elle a tel titre et telle personnalité.
Elle a une disposition à être
consciencieuse, bonne élève ect et Bart, par contraste, lui a d’autres types de problèmes car
c’est quelqu’un de très actif, très curieux, qui conteste très rapidement les règles… Cela est
faire une analyse de ce qu’il lui arrive au niveau intra-individuel, c’est-à dire, qu’on explique
ce qu’il leur arrive par leur personnalité, par leur caractère, par leurs dispositions
individuelles.
2) Interindividuel : proposer des explications qui s’intéressent non plus à l’individu mais à la
relation entre les personnes.
C’est typiquement ce que Tarde avait en tête, quand il pensait
que les personnes s’imitent les unes les autres..
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