travailliste, Parti (Israël) (partis politiques).
Publié le 21/05/2013
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Likoud en janvier 2005 (Shimon Peres y occupe le poste de vice-Premier ministre).
Cette participation n’est pas sans accentuer la crise d’identité que traverse le Partitravailliste.
Elle contribue à l’élection surprise à la tête du Parti travailliste en novembre 2005 d’Amir Peretz, syndicaliste partisan du retrait de sa formation politique de lacoalition gouvernementale.
L’origine marocaine du nouveau leader travailliste provoque des tensions au sein d’un parti dont l’élite traditionnelle est ashkénaze.
À l’approchedes élections législatives anticipées de mars 2006, Shimon Peres quitte le parti pour rejoindre la formation centriste créée par Ariel Sharon (Kadima).
Dans ce paysagepolitique bouleversé par la scission du Likoud, le Parti travailliste parvient à conserver ses 19 sièges à la Knesset, à l’issue d’une campagne axée sur les questionséconomiques et sociales.
Principal partenaire de Kadima dans le gouvernement de coalition dirigé par Ehoud Olmert, il obtient le portefeuille de la Défense pour son leaderAmir Peretz.
À ce poste, alors qu’il ne possède pas d’expérience militaire, celui-ci subit de plein fouet les échecs de la guerre menée par Israël contre le Hezbollah libanaisau cours de l’été 2006.
La valse des présidents à la tête du Parti travailliste continue avec le retour, en juin 2007, d’Ehoud Barak (qui reprend aussi le ministère de laDéfense), témoignant de la difficulté du parti à se positionner clairement sur la scène politique.
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