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Régimes politiques du Liban et du Monde Arabe

Publié le 28/12/2012

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Il faut éliminer le fossé entre l’histoire apprise à l’école et la mémoire transmise dans le milieu d l’enfant.

Démocratie : un ensemble de mécanisme qui contrôle le système, et non pas un système. Les principes sont universels (pour certaines raisons : 1. Nous avons tous le même fonctionnement ; mais chacun a une particularité, sinon on ne pouvait pas parler de la médecine ; 2. Les valeurs fondamentales sont universelles, question d’égalité, valeurs des grandes religions (l’homme est une valeur absolue ; l’homme est un être libre ; nous habitons la même planète ; la fraternité entre les hommes)) ; les modes d’aménagement sont  variables.

Il s’agit d’une science politique humaniste, actuellement elle se déshumanise, les citoyens n’existent plus. 

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« actuel de Chypre, question de couts et bénéfices (COST AND BENEFIT).

Mais si l’impasse est trop couteuse, on négocie, parfois il y a un vainqueur mais n’a pas intérêt à se comporter comme vainqueur pour ne pas frustrer les autres qui peuvent préparer une révolte.

La question des sociétés pluralistes, divisé es, n’est pas un problème de choix mais de force.

Il y a une troisième catégorie de régimes, depuis les années 70 les écrivains appellent « concordance démocratie…etc.

» ce sont des régions du partage du pouvoir (Irlande, Pays -Bas, Suisse).

Leur théorisation obéit à toutes les règles de démocratie et de m ajorité.

Mais la manière de les appliquer est variable.

On parle donc de régime parlementaire mixte.

(Page 61-65 dans le livre).

(Ceux qui étudiaient ces régimes étaient des sociologues et politologues et pas assez des juristes  illusion des régimes hors n ormes, qui ne marchent pas).

Au début des années 70 -80, le mot libanais est devenu pollué, « Rivale contre les arabes ».

La 1ere solution c.à.d.

un Etat national qui se forme par une force victorieuse qui impose l’ordre, peut être la plus efficace mais n’e xiste pas ou elle est trop couteuse.

Donc la guerre jusqu’à l’extermination et l’épuisement de tous est la 2eme solution.

Dans la politique aucune décision et solution ne peut satisfaire tout le monde, il y a des expédients, des politiques publiques.

Le c ompromis a plus de poids a l’aboutissement de quelques Etats, selon Mark Twain : « il y a deux malheurs dans la vie, tu ais tout ce que tu veux ; tu n’ais pas tout ce que tu veux ».

On ne peut pas avoir tout ce que tu veux.

Histoire de la Suisse ou histoire des Pays -Bas, comme introduction a ce cours.

L’histoire du Liban est plus riche que celle de la Suisse, écrite par des auteurs (réflexion sur la notion de NATION BUILDING).

On n’a pas créé une mémoire collective au Liban.

« Nous ferons la paix chez vous , pour vous et sans vous » - quand un conflit interne dure plus qu’une ou deux années, on ne peut plus l’arrêter avec une entente interne puisqu’il y a des ingérences extérieures ; au fond, cela ce termine par un consensus régional soit positif soit négatif , (avant Taef, on a vu 14 accords d’entente nationale, il fallait une interférence régional aussi).

Julien Freund – L’essence du politique – 1965.

On a deux types de pactes (POLITIC ACCOMODATION) : pactes stratégiques (le cas de la Suisse) et pactes tactiques (apporter une autre victoire a la victoire initiale ; préparation d’une nouvelle victoire par un compromis ).

(Non étudié dans la science politique d’aujourd’hui).

 Il faut mettre le point sur la notion de « prudence » d’Aristote dans les sciences politiques, prudence a l’égard de toute ingérence extérieure.

Nicolas Lefloux en parle.. »

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