« Les frontières sont-elles faites pour être dépassées ? »
Publié le 17/08/2012
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Les lois sont établies en fonction de ce qui est considéré comme étant le mieux pour l’ensemble de la société à un moment donné. Il est évident qu’une minorité de gens peuvent ne pas se sentir concerné et sur un même pied d’égalité du à leur décalage avec le courant majoritaire de pensée ou d’action de la société d’où les revendications. On peut aussi citer l’exemple de l’euthanasie qui illustre la frontière entre la vie et la mort. Il peut sembler aberrant pour la majorité de la société que l’on puisse vouloir donner la mort mais en ce qui concerne cette minorité de personne qui est confronté directement au problème, ça semble juste d’où la volonté de légiférer dans le sens de l’autorisation d’une telle pratique Le fait de ne pas inciter une personne a mourir être un principe une valeur établie car en adéquation avec les mœurs d’une société, sa politique, le courant religieux mais à mesure que l’on avance dans l’histoire n’observe t on pas que même la religion dépasse ses frontières et évolue en fonction de la société, nos institutions ne sont pas figées elles évoluent.. il est logique de dire qu’un ressortissant étranger devra respecter la législation du territoire ou il est sans imposer celle qui lui est propre Mais pourquoi assiste t on tous les ans a des modifications de lois, à la création de nouvelles, parce qu’elles ont été contesté parce qu’elle perdre leur légitimité car elle sont restées figées à une époque ou cela allait de soi d’agir dans ce sens mais aujourd’hui c’est devenu critiquable
«
moyen pour l'homme d'avancer, de progresser et repousser ses limites ?
L'herbe est toujours plus belle ailleurs, on convoite toujours ce qu'on n'a pas et d'autant plus ce qui est plus dur a acquérir c'est dans la nature humaine
III.
Les frontières en tant que règlementation, loi, obligationDévelopper ses droitsUne frontière peut aussi servir à délimiter des droits d'où l'expression « il y a des limites à ne pas franchir ».
Les ressortissants d'un pays jouissent des droits conféréspar celui-ci mais se doivent de respecter et d'observer les lois qu'il énonce.
En effet, du à son caractère impersonnelle, générale et obligatoire, il est totalement interdità un sujet de droit de violer ou d'enfreindre une loi.Néanmoins, ces « frontières » légales sont établies dans une société à un moment donné.
Il faut donc prendre en considération le fait que ces facteurs, suite àl'évolution de la société, peuvent ne plus être d'actualité, ne plus être pertinent au regard de la loi en question et être sujet à critique.
Prenons pour exemple le mariage, aujourd'hui la différence de religion ne fait pas légalement obstacle à un mariage or, à l'époque moderne, la France étaientconstituée de catholiques et de protestants mais le droit ne reconnaissait une validité et légalité qu'aux mariages catholiques car l'influence de l'Eglise était telle queseules les mariages catholiques étaient reconnus civilement.Il y avait un refus des protestants de passer devant le curé alors que l'Église catholique était seule détentrice de l'état civil et qu'il n'était pas question de voir se créerun État dans l'État même Il fallut donc concocter une solution légale qui ne puisse ni contrarier l'Église catholique ni pousser les protestants à la désobéissance civile.De plus, refuser le mariage catholique, c'était pour un protestant non seulement être privé d'existence légale mais aussi être considéré comme concubinaire, engendrerdes enfants illégitimes, perdre ses droits patrimoniaux.
La question du mariage doit donc, avant tout, être regardée comme une affaire politique d'où l'édit de Nantesqui autorise le mariage des protestants.C'est par la contestation de l'effectivité du lien entre l'actualité de loi et la chose qu'elle est sensée régir que nous assistons tous les jours à des modifications de lois ouà l'apparition de nouvelles.Les lois sont établies en fonction de ce qui est considéré comme étant le mieux pour l'ensemble de la société à un moment donné.
Il est évident qu'une minorité degens peuvent ne pas se sentir concerné et sur un même pied d'égalité du à leur décalage avec le courant majoritaire de pensée ou d'action de la société d'où lesrevendications.On peut aussi citer l'exemple de l'euthanasie qui illustre la frontière entre la vie et la mort.
Il peut sembler aberrant pour la majorité de la société que l'on puissevouloir donner la mort mais en ce qui concerne cette minorité de personne qui est confronté directement au problème, ça semble juste d'où la volonté de légiférer dansle sens de l'autorisation d'une telle pratiqueLe fait de ne pas inciter une personne a mourir être un principe une valeur établie car en adéquation avec les mœurs d'une société, sa politique, le courant religieuxmais à mesure que l'on avance dans l'histoire n'observe t on pas que même la religion dépasse ses frontières et évolue en fonction de la société, nos institutions ne sontpas figées elles évoluent..
il est logique de dire qu'un ressortissant étranger devra respecter la législation du territoire ou il est sans imposer celle qui lui est propreMais pourquoi assiste t on tous les ans a des modifications de lois, à la création de nouvelles, parce qu'elles ont été contesté parce qu'elle perdre leur légitimité car ellesont restées figées à une époque ou cela allait de soi d'agir dans ce sens mais aujourd'hui c'est devenu critiquabledonc on doit permettre le dépassement des règles pour faire évoluer le droit, pour le rendre plus cohérent et plus protecteur des membres de la société qu'il souhaiterégir.C'est par la contestatation d'une règle, le dépassement de celles-ci qu'on va lui permettre de s'adapter à une société sans cesse en mouvementLa règle est amenée à être dépassée donc pour la rendre plus adapté à la société il doit être permis de la dépasserRevendication, Mobilisation Réflexion Evolution adaptation
La loi s'est adapté à ses revendications avec la loi de 2002 sur le droit des malades et la loi Leonetti (22 avril 2005) « relative aux droits des malades en fin de vie ».L'idée générale est de favoriser les soins palliatifs, d'interdire l'« euthanasie active » et d'encadrer l'« euthanasie passive », c'est-à-dire d'empêcher le médecin depratiquer une « obstination déraisonnable » dans le soin des malades en fin de vie.
Un équilibre est aussi recherché entre le fait d'éviter des souffrances jugées inutilesà un patient qu'on estime vouer à la mort, et celui de le maintenir en vie.La loi de 2002 a ainsi abouti à la reformulation du Code de déontologie médicale, lequel dispose désormais que le médecin : « doit s'abstenir de toute obstinationdéraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique et peut renoncer à entreprendre ou poursuivre des traitements qui apparaissent inutiles, disproportionnés ouqui n'ont d'autre objet ou effet que le maintien artificiel de la vie].
»= la frontière entre la vie et la mort..
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