La laïcité française et la sécularisation étasunienne

« La laïcité française et la sécularisation étasunienne Bonjour madame j’espère que vous allez bien.

Juste pour vous dire que je me suis servi d’internet pour quelque recherche en plus. La laïcité, terme difficile à traduire, est souvent associée à l’expérience de l’hexagone qui sépare l’église de l’état, bien que les principes que cela a ne soient pas spécifiques à la France.

Les philosophes Jocelyn McClure et Charles Taylor ont transcendé la notion d’exceptionnalisme français laïc et ont proposé une définition plus générale de la laïcité, qu’ils croyaient être le respect par l’Etat des principes de liberté de conscience et d’égalité morale.

Pour réaliser ces principes il est nécessaire d’établir deux modes complémentaires de fonctionnement dans le système, à savoir (la séparation de l’église de l’état et la neutralité de l’état à propos de la religion). Si le statut de la religion dans la vie sociale et politique est souvent très différent en France et aux Etats-Unis, alors ces deux pays restent les seuls pays au monde à avoir inscrit les principes de séparation et de neutralité dans leurs constitutions.

Par conséquent ils peuvent considérés comme deux modèles d’institutions laïques. Les différences entre la laïcité française et américaine provoque souvent des malentendus des deux côtés de l’atlantique, elles sont toutes les deux liées au contexte idéologique et politique établi depuis la fin du XVIIIe siècle.

Cependant, cela est également dû au rôle de la religion dans l’histoire respective des deux pays et à l’organisation religieuse dominante qui a jusqu’à présent tourner autour de l’identité nationale. Fondements constitutionnels et genèse historique En France Mais c'est la loi de séparation de l'Église et de l'État du 9 décembre 1905 qui incorpore réellement les principes de la laïcité en France.

Bien que son article 1 stipule que "la République garantit la liberté de conscience" et "garantit le libre exercice des cultes", L'article 2 stipule que "la République ne reconnaît et ne paie ni ne subventionne aucune religion".

Adopté par les législateurs de la IIIe République, le but est de promouvoir les «deux guerres en France» à Anjing, qui a divisé le pays depuis la révolution, et les partisans sont les républicains laïques des catholiques et les défenseurs de la monarchie Doctrine, la méthode de séparation mit fin à la concorde napoléonienne de 1801 et à son système de «culte reconnu». La loi scolaire promulguée par Jules Ferry de 1879 à 1882 a interdit l'éducation morale religieuse et supprimé le contrôle des ministres du culte, contribuant ainsi à l'éducation laïque.

Au cours des dernières décennies, d'autres lois ont parfois suscité la controverse, comme la loi Debré sur le financement des écoles privées de 1959, qui a contribué à remodeler et à clarifier les contours des relations entre la France et la religion, en particulier le catholicisme. En plus de ces événements législatifs, la laïcité était largement considérée comme l'une des pierres angulaires du modèle républicain français au XXe siècle jusqu'à ce qu'elle soit incorporée dans le texte constitutionnel après la Seconde Guerre mondiale.

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