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La cooperation sino-africaine

Publié le 29/09/2012

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UNIVERSITE DU QUEBEC A MONTREAL LA COOPÉRATION SINO-AFRICAINE TRAVAIL DE RECHERCHE PRÉSENTÉ A L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL COMME EXIGENCE DU COURS POL 4032-20 À TING-SHENG LIN PAR KAMEN NELSON KAMN03129001 MERCREDI 14 DÉCEMBRE 2011 Introduction : La Conférence de Bandung en 1955 marque la première rencontre officielle entre les pays du tiers-monde. Cette conférence a pour but le non- alignement derrière les deux blocs de la guerre froide et la création d'un troisième bloc, celui des non-alignés. Elle ...

« Introduction : La Conférence de Bandung en 1955 marque la première rencontre officielle entre les pays du tiers-monde.

Cette conférence a pour but le non-alignement derrière les deux blocs de la guerre froide et la création d’un troisième bloc, celui des non-alignés.

Elle permet également une coopération sud-sud, argument dont se servira la Chine plus tard dans ses relations avec l’Afrique. En 1979 la Chine, sous l’impulsion de Deng Xiaoping, établit une série de réformes économiques dans le but de se développer.

Le système de planification est aboli, les paysans deviennent propriétaires de leurs terres.

Sur le plan économique l’ État accorde plus de libertés aux entreprises.

Ce qui permet à la Chine de s’ouvrir aux investissements étrangers.

Ce redressement économique permet une politique d’ouverture orientée vers une intense collaboration économique avec l’étranger, en particulier avec l’Afrique, sur les plans économiques, techniques et politique, et met un terme à l’isolement international.

1 Depuis le milieu des années 90 les chinois sont de plus en plus présents sur le continent africain.

L’importation de matières premières contre des produits manufacturés à bas coût, la croissance des investissements, le poids politique de l’Afrique sur la scène internationale ont fait du continent noir un partenaire important pour l’empire du milieu.

Malgré les discours chinois qui prônent la coopération sud-sud, les rapports gagnant- gagnant et le développement des deux parties, nous sommes en droit de nous demander si la stratégie africaine de la Chine n’est pas plutôt dans un but de conforter ses intérêts économiques et politiques et d’élargir sa puissance internationale. Dans ce devoir nous prendrons pour hypothèse que le gouvernement chinois utilise les principes de la coexistence pacifique, en particulier celui de la non-ingérence pour légitimer le développement mutuel sud-sud avec l’Afrique.

Développement mutuel sélectif et conditionnel pour agir selon ses besoins économiques, étendre son influence internationale et contester l’hégémonie occidentale. 1 Blog WorldPress, en ligne http://socio13.wordpress.com/2008/08/03/les-reformes-de-1978-leconomie- socialiste-de-marche-par-rolf-berthold/ , page consultté le 10 Novembre 2011.

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