Dossier de presse : Indexation des frais de scolarité au Québec
Publié le 24/04/2013
Extrait du document
«
L'éditorialiste dit que la solution proposée par la première ministre Marois est insuffisante et nuit du même
temps aux universités québécoise qui ont grandement besoin d'argent dû à l'augmentation du coût de la vie.
Elle considère que madame Marois ne fait que tourner autour du pot sans réellement discuter d'une réelle
solution, elle n'en fait pas un problème majeur.
De plus, elle rajoute que madame Marois a trahi les étudiants
avec une faible indexation, comme dit dans le titre de l'article, elle leurs a donné un cadeau empoisonné.
D'un
autre côté, la proposition de madame Marois est raisonnable, car avec une forte indexation, certaines
personnes n'auront pas les moyens d'aller à l'université.
Elle fait preuve d'intégrité et nous démontre qu'elle
pense aussi au classe inferieur pouvant démontrer des problèmes financés. La décision qu'elle a prise est une
décision que l'on peut classer du côté gauche.
Pour être plus précis, c'est une décision gauche centriste, soit le
gouvernement en place veut que les contribuables paient la hausse des frais scolaire.
Par le gel des frais de
scolarité, elle permet à plusieurs personnes de resté à l'université et d'éviter plusieurs problème financier chez
les contribuables étudiants.
Elle veut que tous est la même chance de réussite et un plus haut pourcentage de
la population ayant des études supérieur. .
»
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