Il y a 20 ans, l'accident le plus grave de l'histoire du nucléaire a bouleversé la vie de nombreuses personnes.
Publié le 17/03/2016
Extrait du document
« DEROULEMENT DE LA SOIREE BUT : Test de sécuritésur l'autonomie de la turbine du réacteur 4 durant 40 secondes le temps que des turboalternateurs prennent le relai (si la turbine n'est pas assez puissante pendant ces 40 secondes, elle ne peut pas démarrer les pompes à eau qui évitent la surchauffe) PROBLEME : le test aurait dû être effectué avant la mise en service du réacteur 4 14 HEURES : le système d'alarme du système de refroidissement est éteint en vue du test contre les règles élémentaires de sécurité 23 HEURES : la puissance du réacteur est réduite de 1 000 MWt à 700 MWt 00:30 : suite à une erreur d'un opérateur → la puissance du réacteur chute à 30 MWt → empoisonnement du réacteur au xénon (jouant le rôle de modérateur à la place du graphite) - absorption d'un grand nombre de neutrons – puissance limitée à 200 MWt → empêche la reprise de la fission PROBLEME : pas de détecteur dans le cœur du réacteur + aucunes informations sur l'état de refroidissement du système SOLUTION : augmenter la température du réacteur pour réactiver la fission → les barres de sécurité sont remontées → normalement il aurait dû en rester 30 dans les réacteur / seulement 8 sont laissées → opposition des techniciens mais le contremaître les menaça de leur faire perdre leur poste → la puissance du réacteur remonte, le test continue mais les barres de sécurité ne sont pas redescendues → concentration d'énergie et formation d'un point chaud au cœur du réacteur → augmentation du débit d'eau de réfrigérant → chute de la pression de la vapeur → pour maintenir la puissance, le dernières barres de sécurité sont remontées 1 HEURE : début du test → l'électricité est coupée → chute de la puissance de la turbine et du débit d'eau de refroidissement → augmentation de la température, de la puissance et de la pression du réacteur → formation surchauffe de l'installation générant de la vapeur dans le réacteur et dans les tubes de refroidissement → les barres de sécurité sont descendues mais leurs bouts en graphites fait augmenter la tension au cœur du réacteur au lieu de la diminuer → la température augmenta de manière irréversible → la pression au cœur du réacteur était telle que les crayons de combustibles de 350 kg se sont soulevées libérant de la vapeur radioactive dans le hall de la centrale → c'est là que le manque de double coque de protection se fait ressentir → la puissance dans le réacteur passe de 200 à 100 000 KWt → 50 barres de sécurité sur 211 sont détruites, une partie des barres de combustibles se rompe et les blocs de graphites ont pris feu. »
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