Y a-t-il des chose que l'on a le droit d'ignorer ?
Publié le 30/10/2019
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donc non reconnu par la société et que comme la responsabilité collective restreinte est traitant en responsabilité individuelle, la responsabilité collective n'existe pas politiquement ou juridiquement mais peut être prise en compte dans une vision morale de la société. Mais cette responsabilité collective morale pose la question d'un progrès moral
de l'humanité. Le mot progrès est facile à définir dans le milieu des sens, le progrès est l'ensemble des amélioration positive ou négative d'un individu ou d'une espèce. Il est difficile d'appliquer cette définition à la morale pour la simple et bonne raison que, comme dit plus tôt, la morale est défini par la population, et selon l'endroit ou les gens vivent, la population est différente et donc la morale aussi. Parler de progrès moral serait donc faire preuve d'ethnocentrisme. Chacun à une vision différente de l'homme parfait. Il est donc difficile si ce n'est impossible de parler de progrès commun à l'ensemble de l'humanité. De plus, les peuples étant à des niveaux de vie et de développement différent, il serait compliquer que tous s'améliore au même moment sur le même point. On peut donc considérer que le progrès commun de l'humanité n'est qu'une pure idéologie.
Pour conclure, on peut considérer qu'il est dans la nature humaine d'ignorer et que donc il est normal d'ignorer certaine chose. Cependant la connaissance reste un atout fondamental dans l'accomplissement d'une vie humaine. Pour ce qui est de l'ignorance, elle ne pose de problème morale que si elle pose un problème au point de vue politique. On ne peut donc pas parler de responsabilité collective puisque seule les membres de gouvernement peuvent être concerner, la responsabilité de l'ignorance est donc individuel. Cette démonstration permet donc de prouver qu'il peut exister un progrès moral individuel mais qu'il n'y a pas de progrès moral collectif.
«
implique un pouvoir.
Or en théorie, le détenteur du pouvoir ont comme devoir de protéger et de défendre les
peuples du monde.
Donc dans la cadre de la politique une lacune d'un événement majeur peut entraîner des
problèmes d'ordres majeur.
Je prendrais ici comme exemple l'invasion de la Crimée par la Russie : si les gouvernements occidentaux avaient
été correctement informer, ou si ils avaient été capables de repérer les signes avant-gardiste, ils auraient été
capable de contrer cet événement.
Mais aujourd'hui, cet incident diplomatique a des conséquences sur l'économie
et la politique mondiale.
Mais à contrario, l'intervention des occidentaux en Syrie du aux révoltes islamiques, a
entraîner des représailles.
On peut donc dire que la connaissance comme l'ignorance en politique peut avoir des
impacts important sur l'humanité.
L'ignorance volontaire est plus proche d'un mépris ou de l'indifférence envers un événement.
On peut considérer
que ce n'est pas réellement de l'ignorance mais un semblant d'ignorance voulu puisque pour faire semblant
d'ignorer quelque chose, il faut être conscient que cette chose existe.
Le plus souvent, on fait le choix d'ignorer un
événement passé ou présent afin de pouvoir sauvegarder son confort de vie actuelle.
La connaissance de cette
événement voulant normalement une action concrète, surtout en politique, il est plus facile de faire comme si l'on
ignorait que cet événement
est lieu, il suffit ensuite que cet événement soit oublier par la population afin qu'il finisse soit par être accepter sans
rechignement par le reste du monde soit qu'il soit définitivement oublier.
Pour illustrer ces deux exemples, on
pourra citer Jules César qui est parti à la conquête de la Gaule en outrepassant l'interdiction du Sénat mais la
seule chose que l'histoire à retenu est qu'il a été victorieux et le Sénat n'a pas pu le punir pour son affront.
On peut
aussi citer les Discours de Machiavel, ou il explique que la population est la partie la plus importante d'un état et
qu'elle fait et d'effet les gouvernement comme les rois.
Il est donc important en politique de penser avant tout aux
impacts aussi bien positifs que négatifs avant de faire semblant d'ignorer une chose et donc de renoncer
volontairement d'agir.
Renoncer à agir puisque comme il est dit plus tôt, l'ignorance entraîne fatalement l'incapacité
à agir contre ou pour un événement en cours.
Il est donc fondamental de ce demander pour in gouvernement si
son peuple acceptera ce choix ou bien alors ce préparer à devoir contrer toutes actions pouvant être mise en place
à son encontre.
L'ensemble des valeurs en quoi croit la population d'un pays forme la morale de ce pays.
Si un
gouvernement veut se maintenir dans ce dit pays, il lui faut absolument prendre en compte cette morale, puisque le
peuple la défendra toujours.
La politique d'un gouvernement face à un événement doit donc dépendre de la morale
du pays.
Le problème moral que peut poser l'ignorance
volontaire peut, dans une moindre mesure, être traiter en même temps que le problème politique, mais à reporter à
l'échelle de l'individu et non de l'état.
Une seule chose varie entre le problème moral et le problème politique : le
regard de la société.
En effet, un gouvernement contrôle en partie la société, il lui est donc plus facile d'influer sur
celle-ci afin que son choix soit plus facilement accepter.
Or un être humain seul ne possède que peut de contrôle
sur la société, or l'être humain aujourd'hui est « programmer » par la société pour rentrer dans les bonnes cases
de celle ci.
Donc tout choix allant à l'encontre du choix moral de la société, qui peut être différent de celui de
l'individu, entraîne un rejet de celle ci et personne n'aime le rejet.
On peut donc conclure que l'ignorance volontaire
est une conséquence de la vie de l'humain en société.
Le problème principal que pose l'ignorance volontaire est de
savoir qui peut on punir si les conséquences devient vraiment désastreuse.
On en vient donc à ce demander si on
peut considérer l’existence d'une responsabilité collective.
Nos prédécesseurs ont déjà répondu à cette question en 1945 puisqu'il on considérer que seule les hauts
fonctionnaires du partie nazi pouvait être considérer comme coupable.
Ils ont donc considérer qu'une responsabilité
collective « restreinte » pouvait être considérer comme existante.
Le problème que soulève ce choix est qu'il
exclue la responsabilité des subalternes qui avaient eux aussi le choix de désobéir.
On peut donc considérer que
ce choix rejet une responsabilité collective « totale ».
Moralement, on peut considérer qu'une responsabilité
collective existe puisque l'ignorance est dû à la société qui est former à partir de l'ensemble de la population d'une
nation.
On peut donc considérer que si l'ignorance a des conséquences grave, la société peut être remise en
cause et donc on peut considérer que la société en est responsable et donc que la totalité de la population est à
punir.
Cependant, il est impossible de juger 7 milliards de personnes.
La responsabilité collective est donc relativisé.
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