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Vérité et mensonge dans le religion, le livre de Philosophe

Publié le 29/01/2013

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mensonge
  I Vérité et mensonge dans la religion   Un des rares textes de N écrit en continu. On va étudier l'introduction théorétique sur la vérité et le mensonge au sens extra-moral. C'est interroger les valeurs de la vérité et du mensonge. Cette identité inquestionnée qui poser la vérité (bien) et du mensonge (mal → hypocrisie, illusion …). Chez nous cela remonte à la genèse avec le péché originel = quel est sont péché c'est de croquer dans la pomme ou après en ayant mentit à Dieu. Le serpent la tenter, c'est le diable, Satan = le grand menteur. A l'opposé la vérité c'est le royaume, des dieux, la vérité divine. Il y a cette valorisation de la vérité et la dégradation pour le mensonge. Mais la vérité elle même n'est pas si bien que cela et même dans ce sol religieux. L'innocence d'avant et avant qu'il ai croqué la pomme de la connaissance du bien et du mal. Dans la genèse le mensonge est le mal car première faute. Mais l'ignorance c'est ni le bien ni le mal et prendre connaissance du mal et même du bien c'est rentrer dans la faute. La vérité et la connaissance n'est donc pas si bien et peut être un poison. La vérité peut être liée à la faute et à la souffrance. L'ecclésiaste (« il n'y a que la vérité qui blesse « , « qui accroit sa connaissance, accroit sa souffrance «). Le mensonge = mal et la vérité = bien c'est trop simple. Cette théorie est la théorie du pieux mensonge : on peut avoir le droit de mentir sous certaine condition. Certaines personnes sous certaines conditions ne méritent pas la vérité. Certains mensonges peuvent être utiles et certaines vérités ne sont pas bonnes. Le fond religieux n'est pas si clair avec le mensonge. La vérité et le mensonge dépend de l'intention. Plus encore ces équations (vérité = bien …) ne vont pas de soi. Même chez Platon il y a le noble mensonge (on valorise certain mensonge et dévalorise des vérités). Chez Sparte on peut mentir mais il ne faut pas se faire prendre. Dans la culture Homérique, Ulysse est un véritable dissimulateur, truqueur, c'est la figure du Grand menteur, l'homme de la ruse ou l'intelligence = métis. Dans la culture grecque on a donc cette valorisation du mensonge. Le mensonge c'est l'épopée, celui qui s'en sort. La vérité est tragique, c'est la catastrophe. Achille qui est le courage la sincérité meurt rapidement.   L'enjeu de N est de se dire qu'au fond les valeurs vérité et mensonge ne sont pas connu et va donc rétablir cette valeur. On va sortir du postula et sortir de la morale pour aller plus loin. Au sens extra-moral que sont la vérité et le mensonge → compliqué. N va étudier c'est valeur avec comme origine la vie et non la vérité. C'est la vérité et le mensonge pour la vie → qu'est-ce qui rabaisse la vie. Mais si on étudie cela dans la vie on est plus hors de la morale, au contraire. Il s'agit de brisé l'ancienne morale pour la nouvelle. Si on veut sortir du départ avec la vérité on retombe dans la morale. Pour cela N part des deux : défois de la vérité et défois de la vie pour pouvoir être et à la fois sortir de la morale.   II Définition générique   La vérité peut prendre deux sens : La vérité peut être une adéquation de la chose et de l'esprit. Au sens objectif deux choses s'y oppose donc : l'illusion et l'erreur. L'erreur qui peut être corrigée. Au sens subjectif la vérité ne repose plus sur l'objet mais sur l'intention. C'est l'adéquation entre l'intention et ce que l'on fait. On peut donc se tromper sans mentir si l'intention est de dire la vérité. Ex: un ami dit sincèrement à un autre que Stendhal est vivant = c'est la vérité   Par rapport à ces sens N va les rassembler et expliquer pourquoi cette distinction est naïve. Il va chercher l'origine. Il n'y a pas en fait une véritable distinction. Vérité va être ris au sens vague de connaissance. D'où vient ce goût pour la vérité. Le mensonge est un mot générique pour désigner la tromperie, la dissimulation …   III Le texte A) Le premier mouvement : la fable   N commence son texte par une fable, un mythe. On est dans le mutos = mythe qui est est entre la vérité et le mensonge. Le ton de la fable est étrange. On est entre deux période, deux type de pensée (16 et 17ème siècle) On est à la fois dans la joie renaissance de la découverte de l'univers infini avec Giordano Bruno (→ C'est une immense bonne nouvelle) et à la fois Chez N cette invention de la connaissance est la minute la plus mensongère de l'humanité. Il y a un côté de libération et l'autre est angoissant. 16 = bonne nouvelle et 17 = angoissant. Le texte de N rend compte des deux. N ne parle pas d'animaux doué de raison mais d'intelligence ce qui renvoie à la métis. On a un paradoxe car la connaissance ne s'invente pas. La vérité se révèle. On a cette oxymore et en plus la connaissance ne dure qu'une minute. La connaissance va tuer ces êtres avec la glaciation de l'étoile qui semble ici être la métaphore de la vie. La morale de cette fable (qui ne fait qu'énoncer la vérité des mœurs) est que au fond la minute ou l'homme invente la connaissance est la minute la plus arrogante et mensongère. La connaissance a donc produit un orgueil sans nom (thèse judéo-chrétienne avec les vanités) et d'autre part la connaissance elle même est un mensonge. Croire que l'on connait vraiment les choses n'est qu'une illusion, un mensonge. C'est donc l'invention de la connaissance qui produit le mensonge car avant cela il n'y avait pas de vérité. Les enfants ne commence à mentir que en grandissant. Mais pourquoi l'étoile, la vie se congèle? Qu'est ce qui fait ce mystère que la connaissance tue la vie. N va mettre en abîme cette fable en disant qu'elle est une invention. Dire que toutes ces connaissances sont un mensonge et le penser est aussi un mensonge → cercle sans fin. N va défendre un thèse positive en disant que l'intellect dans la nature c'est une instrument « nase «, vague car les connaissances que l'on a des choses ne sont que grossières. Elle est aussi fugitive = elle peut être amené à être corrigé. Plus encore elles sont vaines, vide et prétentieuse. Elle est également quelconque : Il y a des vérité de plusieurs sortes et certaines connaissance n'ont aucun intérêts, elles sont quelconques, plates, ne valent rien. Avant le vrai ou le faux il y a l'intéressant ou inintéressant.   Ce premier mouvement consiste en une critique de l'auto glorification de l'homme pour sa raison. Il s'agit de montrer que l'homme au fond avec son petit intellect prend tout à l'envers : il prend pour vanité ce qui est débilité (mal constitué, mal coordonné). N s'inscrit pleinement dans les maitre du soupçon, ces philosophie qui tendent à humilier l'orgueil humain. En même temps que N il y a Darwin qui va écrire que l'homme descend du singe et plus tard Freud qui va parler d'un inconscient et donc que l'homme n'est pas son propre maitre. On a une vision pessimiste chez N. « le cycle perpétuel de la flatterie pour une flambée de vanité «. Pour faire ressortir l'intellect et la vérité et le mensonge il faut raboter tout l'orgueil et la vanité humaine. On a d'abord l'âme végétative, ensuite l'auto-croissance, l'âme animal (capacité de se mouvoir, se déplacer), l'âme rationnel (celle de l'homme). Pour N il faut ramener l'homme à ses justes proportions. Le sens de cette fable est donc pessimiste avec plusieurs degrés d'interprétations. Ici au moins trois degrés : au niveau de l'humanité : le développement de l'intellect n'aide pas les civilisations à survivre. Au contraire cela accentue leur déclin et leur mort. A la fin d'une civilisation c'est la barbarie, l'auto destruction qui règne. (les maya ou Haïti avec Diamond). Cette fable peut se penser par rapp...
mensonge

« mensonge.

Le mensonge c'est l'épopée, celui qui s'en sort.

La vérité est tragique, c'est la catastrophe.

Achille qui est le courage la sincérité meurt rapidement.   L'enjeu de N est de se dire qu'au fond les valeurs vérité et mensonge ne sont pas connu et va donc rétablir cette valeur.

On va sortir du postula et sortir de la morale pour aller plus loin.

Au sens extra-moral que sont la vérité et le mensonge → compliqué.

N va étudier c'est valeur avec comme origine la vie et non la vérité. C'est la vérité et le mensonge pour la vie → qu'est-ce qui rabaisse la vie.

Mais si on étudie cela dans la vie on est plus hors de la morale, au contraire.

Il s'agit de brisé l'ancienne morale pour la nouvelle.

Si on veut sortir du départ avec la vérité on retombe dans la morale.

Pour cela N part des deux : défois de la vérité et défois de la vie pour pouvoir être et à la fois sortir de la morale.   II Définition générique   La vérité peut prendre deux sens : La vérité peut être une adéquation de la chose et de l'esprit.

Au sens objectif deux choses s'y oppose donc : l'illusion et l'erreur.

L'erreur qui peut être corrigée. Au sens subjectif la vérité ne repose plus sur l'objet mais sur l'intention.

C'est l'adéquation entre l'intention et ce que l'on fait.

On peut donc se tromper sans mentir si l'intention est de dire la vérité.

Ex: un ami dit sincèrement à un autre que Stendhal est vivant = c'est la vérité  . »

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