Vaut-il la peine de mourir pour ses idées ?
Publié le 22/02/2012
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Pour terminer, dans cette question je vois les Socrate, les Ghandi, les Martin Luther King, les Fidel Castro et CheGuevara de ce monde avec qui, sans leur apport phénoménale à la société, le progrès se serait passé sans contreditbeaucoup plus lentement.
En cette question, je vois le fait d'aller, non seulement, jusqu'au bout de ses idées, maisaussi, de ses croyances, je vois dans cette question l'avenir de notre société mais aussi le fait de garantir uneévolution des idées et une recherche de la vérité constante dans ce monde.
Car qui peut oser affirmer qu'on vitdans une société parfaite, et comme l'on ne vit pas dans une société parfaite l'engagement idéologique, social,politique est a prôner dans le but d'atteindre l'idéal d'une société.
Comme le disait un de mes professeurs uncitoyen responsable doit être un agent de changement, et ce, à tous les niveaux de la société.
Mais avant de commencer l'argumentation, j'aimerais tout d'abord mettre au clair certains critères qui font qu'uneidée vaut la peine d'être défendu ou d'être réellement incorporé dans un mode de vie.
Loin de moi l'idée d'encouragerle dogmatisme ou encore le fanatisme, Pour qu'une idée valent la peine d'être mené à terme, il faut que cette idéesoit tout d'abord universel, en voulant dire que si la règle ; ce qui est bon pour moi, l'est aussi pour toi s'applique,alors cet idée est universel.les idées pour lesquelles on pourrait mourir, sont ceux qui sont juste et égalitaire, sontceux qui font avancer la condition humaine.
En fait, ce sont ceux qui sont rationnel avant tout, donc, il faut quel'idée puisse être défendu et justifier rationnellement.
Tous ces adjectifs, sont contraires au fanatisme, qui est uneattitude d'intolérance totale à l'égard de ceux qui ne partagent pas ses opinions, et au Dogmatisme qui sont letenant de l'irrationalité même car ils prétendent connaître la vérité.
[pic]
La thèse qui affirme que le dévouement à une cause fait avancer l'humanité et la condition humaine se défend.
Toutd'abord, par l'histoire.
L'histoire nous a montré des gens avec du courage, c'est à dire qui n'ont pas peur de faireface à ce qui est désagréable, dans ce cas-ci faire face à la marginalisation, à l'exclusion sociale et à la pressionémanent des autorités.
Que ce soit Ghandi, ou encore, Martin Luther King, ces hommes ont fait face àd'innombrables obstacles.
Il faut aussi comprendre que ces gens sont à des niveaux de conscience morale supérieurà la moyenne ,si on devait les placer dans la pyramide de Maslow ont pourrait facilement dire qu'ils ont atteint lestade d'auto actualisation, avoir une conscience humanitaire étant un des critères.
Mais là n'est pas tout, cesleaders sont des gens qui ont eu un certain détachement envers le ''moi '' un détachement envers cet égoïsme quicaractérise nos sociétés actuels et passés.
Ils ont préféré porté de l'importance à l'avenir de l'humanité.
Ces gensétaient prêts à sacrifier leur vie par espoir de changement.
Mais est- ce que maintenant, que le temps est passé etqu'on peut enfin voir les répercussions réel de leurs actes, ont peut sans contre dit porter une conclusion favorableà la défense des idées ou si l'on veut au marginalisme idéologique rationnel.
C'est sans aucune retenue que je peuxaffirmer que sans le courage, sans le combat acharné et sans l'audace de certain qu'en 2010 nous serions, sans lecombat de Martin Luther King, encore des esclavagistes, que sans le combat des féministes nous serions encoredans un monde favorisant le sexe masculin .C'est en la mémoire de tous ce gens que j'appuie l'action sociale et lapensée critique.
Car même si, j'ose croire, que la rationalité triomphe toujours, ces humains ont accéléréénormément le progrès de la condition humaine.
D'autres clameront haut et fort que l'entêtement de cette minorités révolutionnaire amène la perte de gens brillant.Il se plaideront que Ces révolutionnaires souvent leaders de courants sociaux emmène le désordre social.
À larecherche de la conformité, les défenseurs de cette thèse seront pour un militarisme modéré.
Ils veulent unrévolutionnaire mais pas trop, ils veulent un militant mais qui se conforme à la norme.
Le parfait exemple pour cetécole de pensé reste Socrate, que nous avons vu en début de session.
Socrate qui était un simple soldat au départ, à son retour commença a passer le plus clair de son temps à l'agora , avec sa quête de vérité, il a fait réaliser aplus d'un les contradictions que ceux ci prenait pour des vérités .C'est avec les combats intellectuels ,qu'il disputaità l'agora, et les victoires qui s'en suivait toujours, malgré qu'il clamait haut et fort qu'il ne savait rien ,qu'unecertaine popularité se manifesta de la part des jeunes .
C'est ainsi que, sans prétention et bénévolement, qu'iléveilla les jeunes à la recherche continuel de vérité en allant sans cesse à contre courant et cet en dénonçant lessophistes qu'il s'attira la foudre ces mêmes sophistes et fut condamné à boire un poison.
Socrate représente toutses êtres brillant qui auraient pu apporter beaucoup plus de lumière de leur vivant.
Pour ces gens il est impératifpréserver les plus brillant esprits de notre société en militant de façon '' politiquement correcte ''.
Ils croientQue Socrate aurait apporté beaucoup plus à la société si il s'été conformé à la norme.[pic]À ces détracteur, je répondrais que ces humains d'exceptions, malgré que leur perte soit regrettable, l'héritageincroyable qu'il nous laisse représente non seulement un impact incroyable sur la valeur de leurs idées, mais en plusces hommes représente dans notre société des modèles de conduites qui sont à encourager.
Ils représentent desvaleurs telles le courage, la détermination et la générosité.
Ils forment des modèles d'actions à promouvoir telle quela contribution à l'humanité.
Si on reprend l'exemple de Socrate, certes le désordre social qu'Il a crée représente un prix minimecomparativement à un héritage intellectuelle immense qu'il nous a laissé, je pense entre autres à Platon, et au faitque si il n'avait pas été jusqu'au bout de ses idées sont messages n'aurait pas a eu la même porté, il a refusé delaisser le mensonge dominer et a préféré mourir que de renoncer a ses idées.
Pour terminer, dans cette question je vois les Socrate, les Ghandi, les Martin Luther King, les Fidel Castro et CheGuevara de ce monde avec qui, sans leur apport phénoménale à la société, le progrès se serait passé sans contreditbeaucoup plus lentement.
En cette question, je vois le fait d'aller, non seulement, jusqu'au bout de ses idées, maisaussi, de ses croyances, je vois dans cette question l'avenir de notre société mais aussi le fait de garantir uneévolution des idées et une recherche de la vérité constante dans ce monde.
Car qui peut oser affirmer qu'on vitdans une société parfaite, et comme l'on ne vit pas dans une société parfaite l'engagement idéologique, social,.
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