Une notion philosophique, la Mort

« Épicure n'admet pas les plaisantin qui « montre de la futilité dans des questions qui n'en admettent pas » parlant de ceux quiprône le suicide tout en restant en vie.

La vie la notre étant entièrement en notre pouvoir.A la fin de son développement Épicure rappel que « l'avenir ne nous appartient pas sans nous être absolument étranger » Cequi veut dire qu'il ne faut pas vivre dans l'attente sous peine d'inaction car le bonheur est a réaliser en ce monde sans pourautant vivre dépourvus d'espoir en l'avenir qui peut nous apporter plus qu'une inéluctable mort.

Ceci conférant une certainesérénité permet de jouir de l'instant dans lui même délivrais de vaine peur ou espoirs.

A l'inverse la pensée contemporaineissue de l'existentialisme athée en tant que courant philosophique(l'action de l'homme déterminante au sens de sa vie) prône que la mort est au centre de sa réflexion, selon le principe suivant : c'est sur l'horizon de la mort que toute vie humainepeut prendre son sens.

Contrairement a Épicure, Socrate évoque hypothèse comme quoi l'âme ne ce décompose pas après lamort et que l'immortalité de l'âme peut être biens réel, que le risque est a courir.

Cette idée prêté a Socrate est retranscritdans le Phédon de Platon ou lui même met en scène Socrate a la veille de sa mort.

Selon Platon « philosopher c'est apprendrea mourir » inscrivant la philosophie comme suprême accompagnement de la vie éclairant jusqu'à l'ombre de nos jours Spinozaquand a lui pense que « la pensée de la mort condamne l'homme a l'impuissance et à la tristesse » il invite a ce détourner desa pensée car elle est inutile.

Par ce coté il rejoint la sagesse de l'épicurisme et du stoïcisme.

La mort ne pouvant faire l'objetd'aucune expérience vécue elle ne peut s'éprouver.

(N-D-E) « Si nous sommes convaincus que la mort est la fin de tout alors nulle espérances ou frayeur d'une autre vie.

Cette vie est laseul qui puisse nous apporter le bonheur a condition d'être sereine face a la mort » Ne pas avoir peur de sa mort est unechose redouté celle de nos parents de nos enfants des êtres chères a nos coeurs en est tout ta fais une autre .

Si notre mortn'est riens pour nous il n'en est pas le cas de la mort des êtres auquel nous tenons Comme le qualifie Jankélévitch : En «troisième personne » quand elle concerne « les autres » sous une forme impersonnel par laquelle l'on ne ce sent pasconcerné.

Et «deuxième personne » lors-quelle concerne des êtres proches la déchirure qu'elle provoque pouvant être alorsdépourvus de limite, révélant l'injustice profonde qu'est la perte d'un être « unique et irremplaçable » Heidegger philosopheallemand du 20 ieme siècle affirme qu' « assumer notre condition d'être mortel nous oblige a prendre en charge laresponsabilité de notre propre vie » Car prendre au sérieux sa mort la considère comme horizon de toute vie provoque lapensée du néant abime originel a partir duquel "l'étant" peut apparaitre sois l'homme par dessus le néant.(nde) Cettepensée consiste a réaliser que notre existence prend sens avec la mort dirigé par elle, la mort est ce à partir de quoi la viepeut prendre un sens si l'homme en a la volonté et la lucidité.

Par une certaine attitude face a la mort il nous appartient dedévelopper un mode de vie dans son entier, sans en faire le centre de tout a la manière de l'existentialisme, douée d'unecertaine pureté d'une éthique de la vie propre a chacun.

Document demandé: http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-education-donnee-enfant-adolescent-permet-empeche-liberte-penser-3110.html. »