Thomas more fiche de lecture

« présente comme la garantie de se identité personnelle : « je ne serais plus moi même si je prêtais serment » si je suis cohérent avec mes valeurs morales alors je suis moi même.

Sans cesse Thomas More s’interroge sur sa sincérité : « suis je ce que j’ai conscience d’être, je crois être quelqu’un de fidèle, juste et faire preuve de bonne foi, mais ai-je raison ? ».

C’est conscience morale est aussi une conscience morale et une conscience d’objet.

La conscience est présentée comme une instanse séparatrice.

Thomas more s’est toujours réconcilié avec lui même il a arrêté d’avoir peur car il a compris pourquoi il avait peur et il a donné toute sa valeur a devoir qui est le siens.

Il arrête de considérer que son devoir est une contraint, c’est au contraire quelque chose qui le stimule pour agir.

Finalement on a à faire à Thomas More qui dit que son devoir est sa liberté : plus il obéit à la fidélité qu’il a envers l’église plus il se détache de ses peurs. « Peut on être libre sans courage ? » La liberté a deux définitions : c’est se donner à soi même ses propres lois et règles ou faire ce que l’on veut.

Autonomie : pouvoir de se donner à soi même ses propres lois ou règles.

L’exemple de Antigone dit que la liberté est une autonomie qu’elle prend pour enterrer son frère Etéocle à l’encontre de tous.

Le courage est une attitude qui consiste à affront le danger.

Il s’oppose à la peur, la lâcheté, la faiblesse etc.… mais quand on est courageux on n’affront pas n’importe quel danger.

Mais ce mot s’oppose également à la témérité car on n’a plus la raison d’orienter son jugement, quelqu’un de téméraire va affronter n’importe quel danger.

Certains sont courageux devant certains dangers.

Il y a le courage visible comme celui des héros ou des soldats.

On peut aussi le définir par la volonté qui va se manifester dans l’action.

La partie « Peut on » du sujet veut dire : « a t-on le droit ».

être courageux ne veut pas dire être un héro. Enfin le verbe être pose la question de savoir si on a besoin d’avoir du courage pour être libre.

Pour faire le plan, dans la première partie on répondra au sujet de la manière la plus simple et évidente possible.

On propose des arguments illustrés par des exemples.

Dès la première partie il y a des objections, que l’on formule à la fin de chaque argument.

Le plus évident peut être la thèse que l’on veut.

Une fois que l’on a rencontré les premières difficultés, on est obligé de passer à autre chose sans dire le contraire.

On doit juste nuancer notre position. En faisant la même démarche, on peut passer à la troisième partie qui nous oblige à parler des difficultés rencontrées dans les deux parties précédentes.

On arrive ensuite à la conclusion.. »