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THÈME: La connaissance scientifique

Publié le 27/01/2020

Extrait du document

scientifique
  1. Sujet choisi : Peut-on dire que la connaissance scientifique est la connaissance commune devenue plus rigoureuse ?
  2. Sujet : Les faits parlent-ils d’eux-mêmes ?
  3. Sujet : Pour être un bon observateur, faut-il être un bon théoricien ?
  4. Sujet : Appréciez ce jugement de Claude Bernard : « On expérimente avec sa raison. »
Les sujets traitant de la science peuvent être regroupés en deux catégories :
— les sujets centrés sur la nature de la connaissance scientifique.
— les sujets qui s’interrogent sur l’expérience et la théorie ainsi que sur leurs relations.
Dans la première catégorie, vous serez toujours amenés à traiter de l’expérience et de la théorie, au moins indirectement.
Les termes de science, connaissance scientifique, théorie, fait, expérience, loi vous permettront de les reconnaître facilement.
La dissertation consiste à définir la nature de la science ou de la connaissance scientifique et des caractères de ses éléments constitutifs (expérience, loi, théorie). Vous serez donc amenés à parcourir le schéma fondamental, soit dans sa totalité de A vers C, soit seulement les colonnes B et C.
La partie B du schéma, le désir de connaître, vous servira soit à dépasser la connaissance commune, soit à apporter son intelligibilité à la connaissance scientifique. Elle joue donc un rôle de pivot dans la discussion.

Or celle-ci est, essentiellement, d’ordre sensible et empirique : j’ouvre les yeux et le monde s’offre à moi dans sa diversité colorée, à travers les « données » des sens. Le rouge, le vert, les zones d’ombres ou de lumières se découpent dans mon champ perceptif. Il semble bien que ce contact direct et immédiat avec le monde forme la matrice de tout savoir et de toute vérité. La connaissance dite « commune » se nourrit tout entière de cette relation avec les choses données empiriquement.
— L’observation purement qualitative de la nature, sans définitions précises
Il va sans dire que mon rapport avec les choses ne dépasse pas alors la dimension de la pure « qualité » : la connaissance commune porte sur des relations indiquant la manière d’être des réalités, le « blanc », le « doux », « l’amer », « l’aigre », etc., sans considération de quantité, de mesure et, surtout, sans définitions précises et conceptuelles véritables. Ce type de connaissance opère sans concepts scientifiques et en reste au stade du fait coloré et divers, de la pure qualité immédiate, sans construction conceptuelle.

scientifique

« A La connaissance commune élémentaire L'eXpé.rience sensible - Rôle du contact direct avec le monde - Connaissances acquises grâce au temps Expérience et connaissance commune empirique - L'observation (sans guide) Néanmoins, ilfaUJ men­ tionner: Les erreurs de la connaissance sensible - La difficulté de prevoir B Le désir de connaitre L'lwmme désire : Expliquer le monde pour lui donner un sens Prévoir pour connaissance l de la réalité agir et maîtriser son destin J II se fonde sur la raison qui définit les moye!IS : le concept l'abstraction la logique l'hypothèse c La· connaissance scientifique de la nature Une mélhode rigoureuse et objective construité sur : - L'expérience scientifique le fait scientifique 1' expérimentation l'objectivité scientifique les lois scientifiques la loi, relation constante et nécessaire entre les phénomènes le détenninisme, principe selon lequel les phénomènes sont liés par des relations invariables.

le hasard comme rencontre de séries indépendants l'ordre d~ monde, comme ensemble de rapports objectifs et rationnels.

- les théories la théorie comme énoncé universel S)?lthétique intégrant un grand ~ombre de faits .

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l'instrument de mesure, théone maténa11sée l'interrogaion de la nature Cette méthode a des limites : - L'espace et lê temps, formes a priori de la sensibilité La réalité elle-même Le chercheur dans son milieu social. »

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