Texte de Thomas Hobbes, extrait de Léviathan (1651): le raisonnement
Publié le 17/05/2021
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Odeline DUBREZ TSTL03/04/2021 Philosophie Devoir n°6 sujet 3 : explication de texte Texte de Thomas Hobbes, extrait de Léviathan (1651) A/ Eléments d’analyse : 1) L’auteur décrit plutôt l’usage de la fin de la raison comme débuter par définir ce que les noms signifient puis trouver le résultats des vérités qui coule des conséquences les unes après les autres. Et non pas de d’assimiler simplement les conclusions d’un raisonnement. Ce qui signifie qu’il vaut mieux tous faire soi-même en commençant par apprendre ce que chaque chose est et par la suite accumuler ses vérités et non pas simplement ce contenter de croire en ce en quoi elles sont déjà dite et de les ajouter. 2) Hobbes pense que le chef de famille se rends autant pas services que si il avait seulement à croire et en donnant sa confiance au conclusion du comptable. Dont il ne se rend pas service car il agit en toute confiance du travail d’un...
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C/ Commentaire :
1) Hobbes différencie croire et savoir en fin de texte : « il ne sait rien et ne fais
seulement que croire ».
Le verbe savoir est associé à « rien » il est donc sous
entendu que l’homme qui travail en pure perte ne sait rien.
Le verbe croire lui est
précédée de « seulement » qui veut dire que l’homme suit juste sa croyance pour
travailler et n’utilise pas ses connaissances pour effectuer un travail.
Il minimalise la
croyance de l’homme vers un autre.
Hobbes fait donc une différence entre ses
deux verbes pour distinguer le type de travail effectuer par l’homme.
La phrase
semble être la conclusion du texte elle résume ce que Hobbes a expliqué.
Elle
définie facilement le travail de pure perte.De plus il exprime son incertitude quant
« au sujet de ces affirmations et négociations sur lesquelles elle est fondée et
déduite » qui fait référence au deux verbes « croire » et « savoir » car aucun
résultats n’est assuré si on ne connaît pas tous les calculs et si on ne fait pas
confiance à celui qui s’en charge.
Pourtant le verbe croire fait référence à quelque
chose d’incertain, voir sans preuve, car il s’agit de la confiance et que rien ne
garanti les résultats qui peuvent être truqué ou erroné.
Alors que le savoir et une
chose sûr pour Hobbes car il est sûr et ne peut pas être remis en question comme
il est acquis.
Le chef de famille ou tout autre personne qui fait ses comptes ne
remet que rarement les paroles d’un comptable en question car il a le savoir
pourtant cela est de la confiance que de ne pas réfuter ce qu’il affirme.
2) On ne peut pas admettre que les présupposés d’un raisonnement garantissent la
validité du résultat obtenu car il faudrait pour cela démontrer la valeur d’un résultat
mais ce résultat n’assure jamais un raisonnement vrai.
Le raisonnement suit une
suite logique de réflexion qui nous dirige vers une conclusion qui est notre résultat.
Alors le présupposé est notre hypothèse, qui née en chacun de nous à partir d’une
idée et dont on cherche à réfuter cette thèse, donc on ne peut en rien certifié la
valeur d’un résultat sans le démontrer pour justifier de notre présupposé ou
hypothèse.
Démontrer est la seul manière de remonter au origine pour être sur de
ce que l’on avance.
Pour cela il faut acquérir le savoir afin d’avoir les capacités
nécessaire pour essayer de répondre aux attentes même plusieurs fois pour être
sur que les valeurs de nos résultats sois juste..
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