TECHNOLOGIES ET PUISSANCES DEPUIS DEBUT XXe SIECLE

* La technologie n’est pas forcément un facteur de progrès humain, au contraire :  -elle peut être mal contrôlée et générer de nouveaux risques : risque industriel et technologique (contamination chimique de Bhopal, Tchernobyl, explosion chimique AZF), environnementaux (marées noires, global warming), sanitaires (vache folle).  -peut être mise aveuglément au service de la volonté de puissance (utilisation à des fins de destruction)  -on ne peut bâtir la puissance uniquement sur la maîtrise des technologies et ce ceci quel qu’en soit le prix.  (Chine dévoreuse d’énergies non renouvelables, main-d’o à bas prix exploitée)  L’envoi à des fins de propagande d’une navette habitée dans l’espace en 2004 ne peut éclipser ces facteurs.  * Ainsi, la technologie destructrice se retourne parfois contre la puissance  -la maîtrise techno peut pousser un pays sûr de supériorité militaire, à mener des guerres de conquêtes et d’agression (Allemagne et Japon ds les années 1930 et 1940) ou des guerres préventives (USA années 2000). Le niveau technique d’un belligérant peut pousser ses adversaires à utiliser des moyens encore supérieurs (Hiroshima).  -l’emploi de technologies ultramodernes de destruction ternit l’image de la puissance qui repose aussi sur la clef d’un modèle : armée US avec ses bombes au napalm au Vietnam.  -la cours en avant de la technologie et la transformation poussée des milieux de vie jouent contre les objectifs du dvpt durable : empreinte écologique de certaines sociétés dites « avancées « est considérable, nuisance environnementales (Japon, Russie, USA)