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SUJET : « Suis-je-ce- que je crois être ? »

Publié le 12/03/2022

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conscience

« BEROSE MATEO, TG7, DISSERTATION CONSCIENT\INCONSCIENT/VERITé\ NEANT SUJET : « Suis-je-ce- que je crois être ? » Le sujet ainsi posé m’arrête sur le « suis-je », après tout qui suis-je, comment puis-je établir une connaissance rationnelle de mon identité, que je suis quelque chose, que j’existe, que je suis vivant, et que ce que je pense, ressent de mon existence est bien réel et faisant partie d’un moi physique et psychique.

Car je pourrai être autre chose et la nature me ferait croire cela, aussi pour quelles raisons, besoins, désir me demanderai-je si j’existe ? Le monde extérieur est -il une preuve que je suis vivant ? Ce qui le prouve par rapport à quelque chose, à la société, l’univers, etc… En ce sens, qu’est ce qui fabrique mon identité, la vérité par rapport à celle-ci et sa permanence dans le temps.

L’identité se définissant comme le moi physique, spirituelle, au sein de la société, virtuel, qui existe pour soi et possède une intériorité.

Dans la notion de croyance s’installe celle de vérité, soit la réalité profonde d’une chose en opposition à sa superficialité ici un néant ou simplement ce qui est conforme à la réalité que j’entends.

La réalité est ce que je crois vraie et qui dit la vérité et la conscience est ce qui me permet d’appréhender l’ensemble des phénomènes citer précédemment tant que je suis éveillé.

Ainsi, d’un côté il y aurait donc l’existence d’un moi, persuadé qu’il est mais aussi une substance me donnant l’illusion que je suis, ce qui ferait que je suis autre chose et que je n’aurai de vrai accès à une connaissance total de mon existence.

En outre, on peut donc se demander si d’un côté j’existe et sais ce que je suis et d’autre part que je ne sais pas ce que je suis et donc comment accéder à moi.

En ce sens, nous verrons dans une première partie en quoi je sais vraie ce que je suis.

Puis, dans une deuxième partie nous avancerons l’hypothèse que nous ne sommes pas ce que nous pensons être.

Enfin, dans une troisième partie nous verrons en quoi il est impossible d’établir une véritable connaissance de soi. Dans un premier temps, nous pouvons nous demander comment puis-je être certains que je suis ce que je pense être, c’est-à-dire comment puis-je acquérir une conscience de mon existence ? A cette interrogation, René Descartes dans ces méditations métaphysiques écrit en 1630 « cogito, ergo sum » je pense donc je suis de par sa démarche du doute méthodique.

Ainsi, il semblerait à première vu que je pense c’est-à-dire que l’homme saurait immédiatement ce qui se passe en lui.

Il a une connaissance immédiate de ce qu’'il vit soit de la réflexion, imagination, volonté, sensation.

Ainsi, la pensée n’est pas seulement synonyme de réflexion rationnelle, mais de réflexion au général au sens du reflet ou du miroir qui réfléchit.

Tout ce que je dis, je l’aperçois par la conscience immédiate que j’ai de moi.

En effet, la conscience explique cela (l’enfant qui pense) « c’est pourquoi », il s’agit d’une hypothèse, d’une définition qui se valide par l’examen de ces conséquences ou de ses implications qui nous seraient plus intuitives, immédiates et accessible.

On remonte à la cause, laquelle explique l’effet. D’ailleurs, on ne peut pas dire je ne pense pas or j’existe car il y aurait un contresens du fait que la pensé donne sens à l’énoncé, la plupart de nos volonté, intention naisse d’une pensée et c’est notre capacité à être éveillé dans ce mouvement et à en contempler et diriger la fin qui prouve que nous pensons par exemple la sensation de chaleur est non seulement ressentie ou vécue mais saisie par la conscience qui l’aperçoit immédiatement par la pensée.

J’ai chaud et je sais que j’ai chaud, directement.

Cette connaissance spontanée de soi ou pensée accompagnant tout aussi bien mes désirs, mes sentiments, mes. »

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