SUJET : L'immortalité de l’âme. PLAN.

« n'est que relativement une et simple elle est, aussi, mul- tiple et changeante 1 en tout cas, elle n'st pas distincte du corps la pensée est une fonction de L'organisme qui disparaîtra avec l'organisme 2, B.

- On peut, à la fois, contester que nos facultés ten- dent à la vie future, et que l'univers soit ordonné de ma- rière à satisfaire ces tendances, si elles existent.

C.

- Il n'est peut-être pas nécessaire d'admettre une sanction morale 3; même si on en admet une, on n'est pas tenu d'admettre la sanction de la vie future 4 .

3e partie.

- Certains penseurs n'acceptent sur ce point ni la thèse spiritualiste, ni la thèse matérialiste.

On peut citer, par exemple A.

- Kant et les criticistes, qui n'admettent la vie future que comme un postulat de la raison pratique B.

- Comte et les positivistes, qui n'admettent de sur- vivance que dans le coeur el l'esprit des hommes C.

- James et les pragmatistes, qui voient dans la croyance à la vie future une pensée encourageante, donc une vérité utile D.

- Bergson et les Intuitionnistes, qui con ~ idir cn1 la survivance de l'âme comme possible et même probable 8 .

Conclusion.

- Socrate, après avoir, dans le Phédon, exposé certaines preuves de l'immortalité de l'âme, con- clul « C'est un beau 1'3que à courir E Qu'il y ait, ou qu'il 1.

P8.

M., pp.

364-367.

2.

P8.

M., pp.

744-745.

3.

Ph.

S.

et M., pp.

333-334.

4.

Ph.

S.

et M., pp.

330-333.

5.

Vs.

M., p.

718; Ph.

S.

et M., pp.

330-333.

6.

Ph.

S.

et M., pp.

327.328.

7.

Vs.

M., pp.

721-722.

8.

Pa.

M., p.

747.. »