Sommes nous responsable de la vie que nous menons ?
Publié le 19/08/2012
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Pourtant malgré ces éléments qu’il n’a pas choisit l’homme peut dépasser ce déterminisme. En effet ; dans un contexte de maladie, comme le développe Sartre dans son oeuvre Cahiers pour une morale, l’homme n’est pas privé de liberté même si c’est la sensation première qu’il ressent. « En un mot ces possibilités ne sont pas supprimés mais remplacées par un choix d’attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités «. Ainsi une partie des liberté s’échappent mais laissent place à des libertés et des possibilités que seules en temps de maladie l’homme peut exprimer, « autrement dit la maladie est une condition à l’intérieur de laquelle l’homme est de nouveau libre «. Il dépasse donc cette contrainte extérieur qu’il n’a pas choisit et qui été peut être inscrite dans son destin, pour exprimer et jouir de sa condition d’homme, véritable être de raison. Ainsi, même si il ne maîtrise pas tous les facteurs qui peuvent modifier sa vie, l’homme conserve ce pouvoir de liberté quant à ses choix. Cependant il arrive fréquemment que ce dernier prenne le déterminisme comme excuse pour réaliser ce que sa morale lui interdit.
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vices et notre libertinage ».
Partant du principe que tout est écrit, l'homme agit selon ses envies.
Après tout il se dit que son action immédiate ne modifiera pas sondestin alors il se permet de faire des choses contraires à sa doctrine.
Les hommes pensent que « l'événement arrive quoi qu'on fasse, il arrivera parce qu'on fait ce quiy mène ; et si l'événement est écrit, la cause qui le fera arriver est écrite aussi ».
Ainsi faire ce qu'il a envie de faire même si cela est prescrit par une contrainteextérieure n'est pas dérangeant étant donné que les conséquences de cet acte sont écrites d'avance.Certes l'homme est conditionné par un certains nombres de facteurs déterminants tels que son milieu social (ses fréquentations, sa famille, son caractère…) ou encoreune série de cause déterminées il n'en demeure pas moins responsable de ses actes au moment de sa faute.
C'est ce qu'énonce Kant dans son ouvrage Critique de laraison pure.
En effet, si l'homme commet une faute il sera jugé.
Même si ces circonstances atténuantes sont prises en compte on considère surtout qu'en tant qu'être deraison l'homme est capable de savoir ce qui est bon ou mauvais : ce qu'il aurait du faire.
Ainsi, malgré un certain déterminisme l'homme est libre de ses choix, estresponsable de ces mouvements.Pourtant malgré ces éléments qu'il n'a pas choisit l'homme peut dépasser ce déterminisme.
En effet ; dans un contexte de maladie, comme le développe Sartre dansson oeuvre Cahiers pour une morale, l'homme n'est pas privé de liberté même si c'est la sensation première qu'il ressent.
« En un mot ces possibilités ne sont passupprimés mais remplacées par un choix d'attitudes possibles envers la disparition de ces possibilités ».
Ainsi une partie des liberté s'échappent mais laissent place àdes libertés et des possibilités que seules en temps de maladie l'homme peut exprimer, « autrement dit la maladie est une condition à l'intérieur de laquelle l'hommeest de nouveau libre ».
Il dépasse donc cette contrainte extérieur qu'il n'a pas choisit et qui été peut être inscrite dans son destin, pour exprimer et jouir de sa conditiond'homme, véritable être de raison.Ainsi, même si il ne maîtrise pas tous les facteurs qui peuvent modifier sa vie, l'homme conserve ce pouvoir de liberté quant à ses choix.
Cependant il arrivefréquemment que ce dernier prenne le déterminisme comme excuse pour réaliser ce que sa morale lui interdit.
Pour conclure, on peut penser que l'homme est le seul maître de sa vie car il construit ses opinions et agit par lui-même.
Il obéit à sa propre conscience, sa propremorale.
Il jouit de la liberté de choisir ses actions : si il désire faire le bien ou le mal, il choisit même sa destiné.
Il est définit par ces actes mais est-on sur qu'il le seulmaître de sa vie et qu'il n'existe pas une force inconnu qui le guide? Après tout il ne connaît pas les causes de ses désirs, de sa volonté.
Il est inscrit dans sa proprefatalité dont il est le seul pantin et les limites de la réalisation de ses envies se trouvent dans sa propre nature.
Finalement on peut se dire que l'homme sait dépasserson propre déterminisme et exister en tant qu'être libre dans un cadre qu'il n'a pas choisit : telle est sa force, sa volonté.
Cependant il ne se prive pas de se cacherderrière son déterminisme pour ne pas accomplir ce que sa morale intérieure lui dicte..
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