Sommes-nous prisonnier de nos racines ?
Publié le 11/12/2022
Extrait du document
«
« Un peuple qui ne connait pas son passé, ses origines et sa culture
ressemble à un arbre sans racines ».
Ces mots du militant noir du 20ème
siècle considéré comme un prophète, Marcus Garvey témoigne de
l’importance des racines.
Ainsi, les « racines » semblent être ici le point de
départ, la base que quiconque n’est censé ignorer.
Toutefois, « racines »
peut être associer à d’autres termes, l’étymologie, le vivant, la culture, la
famille.
Mais, cela n’empêche pas le fait que tous sont reliés à la même
racine.
Ces dernières sont parfois celles qui donne le sens à notre vie, à
un mot, à un objet… Nous pouvons donc parler de racine pour TOUT.
En
effet, tout à une racine, à une origine.
Mais, il convient de donner à ce
mot une importance.
Doit-il être maître de ce justement TOUT ? Il est
donc nécessaire de se demander si nous sommes prisonniers de ces
racines? Pour y répondre, il est tout d’abord essentiel de s’interroger sur
les racines en tant que chemins et marques à ne pas oublier.
Puis il
convient d’étudier les racines comme cloison dont on ne peut pas sortir,
dont nous sommes pas libre.
D’une part, Si nous devons nous intéresser aux racines, nous devons nous
interroger sur la questions du vivants et de ses origines.
Il convient de
dire que toutes choses vivantes est dotée de racines.
Chez l’Homme par
exemple, la racine peut être son ancêtre.
C’est-à-dire sa provenance, celui
grâce à qui il est là.
IL est donc difficile de vivre si l’on oublie d’où on
vient.
Alors, avant de s’intéresser à soi, ,on doit s’intéresser à ses racines.
Nos ancêtres sont à la bases de notre famille, c’est eux qui l’ont créer.
Par
ailleurs, Nous pouvons nous installer dans une boucle dans laquelle
chaque ancêtre à lui-même une racine qui a elle-même une racine…Ainsi,
il est impossible d’oublier ce qui est la source de notre existence puisque
sinon, nous n’existerions pas.
Nous pouvons aussi nous interroger sur la
question de la famille.
En effet, de générations en générations, les racines
restent les mêmes, elle ne changent pas et nous définissent de la même
manière.
Cela rejoint donc l’éducation et les parents.
L’éducation c’est
l’environnement dans lequel l’enfant est éduqué afin de passé du stade de
nourrisson à adulte.
Par ailleurs, les parents sont une des racine de
l’enfant puisque lors de l’éducation, l’enfant s’approprie involontairement
la culture et les mœurs de ses parents.
Alors, l’enfant est donc bien
prisonnier de ce qu’on appel les racines puisqu’il est condamné à subir
l’éducation propre de ses parents.
Est on plus proche de nos racines
lorsque nous sommes enfants ou lorsque nous sommes adultes ? Il serait
difficile de dire que nous sommes plus proche lorsque nous sommes
adultes puisque lors de l’enfance, nous sommes au cœur d’un système
éducatif imposé par ses parents qui eux-mêmes sont prisonniers de leur
éducation.
Mais, nous pouvons quand même supposer que lors de
l’éducation, l’enfant est inconscient et agit par soumission alors que
lorsqu’on est adulte, nous sommes libres de nos choix et ainsi plus
proches réellement de nos racines.
Nous pouvons nous intéresser aussi aux racines chez les plantes.
Ici, les
fonctions des racines sont de nourrir les plantes et de les maintenir à
terre.
Ainsi, si les racines ne sont pas là, la plante meurt dans tout les cas.
Tout de même, il existe un moyen de cloner/multiplier un plante grâce à
ses racines.
Encore une fois, comme les racines sont les mêmes, la plante
reste la même.
Cela montre bien que de générations en générations, les
racines ne bougent pas.
La plante est donc prisonnière de ses racines qui
sont nécessaires à sa survie.
Alors, il est peut être intéressant de faire le
lien avec l’Homme.
Lorsqu’on lui retire ses racines, reste il toujours
l’Homme qu’il est ou devient il une simple être vivant ? Nous pouvons
émettre l’hypothèse que si on lui retire ses racines, il n’est plus le même,
il devient tout le monde.
Par ailleurs, est il possible lorsque l’on rencontre
un arbre, de comparer ses racines aux veines d’un Homme.
Finalement,
les veines sont chez l’Hommes nécessairent à sa survie.
Alors, il convient
de dire que tout comme les veines d’un Homme, les racines sont écessaire
à la vie d’une plante.
Alors, les plantes en sont bien prisonnières.
D’un point de vue étymologique, le sens qu’on donne à un mot provient
d’une racine.
C’est-à-dire qu’on ne pourrait pas définir un mot si l’on avait
pas connaissance de son étymologie, de sa racine.
Elle détermine donc ce
qu’il est, sans elle, on pourrait le définir comme on le veut et donc les
mots n’auraient plus aucuns sens.
Ici, les mots sont donc eux aussi
prisonniers de leur racine.
Enfin, nous pouvons aussi parler de l’enracinement, et plus précisément
de l’enracinement dans l’histoire.Nous pouvons citer Simon Weil dans
« L’enracinement » : « L’enracinnement est peut être le besoin le plus
important et le plus méconnu de l’âme humaine » D’abord, il faut définir
l’enracinnnement comme un corps qui ess incarne dans des milieux ON
est dans une langue, dans une famille, un territoire.
On tient par des fils
invisible qui nous fabriquent.
Il y a une manière d’aimer le ays dan slequel
on est né.
Nous sommes des êtres incarnés.
« Chaque être humain, a
besoin d’avoir de multiples racines » Le deraacine ne peut que mourir.
Il
faut être fort pour se réinstaller ailleurs
Par ailleurs, notre histoire est composé de faits historiques souvent
marquants.
Nous pouvons parler par exemple des guerres, attentats…
Ceux sont les racines de notre pays que nous devons pas oublier.
D’une
part, il ne faut pas les oublier pour rendre hommage aux Hommes qui ont
protégé notre pays.
D’autre part, il ne faut pas les oublier afin de ne pas
reproduire les erreurs faite dans le passé.
C’est donc pour ça que nous
faisons parfois des minutes de silence à la mémoire des morts et donc de
nos racines.
Ainsi, nous venons de voir que les racines sont nécessaires et
obligatoires afin d’assurer un bon sens à une vie, un mot, un pays…donc
nous sommes donc bien prisonnié de nos racines.
Or, les racines ne sont-
elles pas aussi un piège que nous pouvons dépasser ? Devons nous
obligatoirement suivre le chemin que nos racines nous donnent ?
Si nous devons nous intéresser à cette question, nous devons d’abord
nous interroger sur la question de la liberté.
Sommes nous libre lorsque
nous suivons nos racines.
Être libre c’est ne pas être soumis à un maître,
ici les racines et pouvoir agir sans contraint.
Alors, Parlons d’abord des
êtres vivants.
Nous venons de voir que les racines sont nécessaire pour
vivre, puisque sinon, on oublie d’où on vient.
Or, nous pouvons prendre le
cas extrême qui serai par exemple d’avoir un de ses proches, un des
parents ou un membre de la famille quelconque qui soit un ancien criminel
ou tyran.
Nous pouvons prendre le cas....
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