Renan a dit : La souffrance en commun unit plus que la joie.
Publié le 22/02/2015
Extrait du document
Au contraire, ceux qui partagent la même souffrance et se trouvent sous le coup d'un même malheur ont le souci constant de remédier à leurs maux. Il se forme entre eux une association active; ils niellent en commun toutes leurs pensées et toutes leurs énergies. Rapidement, ils s'élèvent au-dessus de leurs soucis personnels et leur préoccupation se, porte vers le bien commun avec lequel d'ailleurs leur propre bien se confond. Alors, comme au temps des premières communautés chrétiennes persécutées par l'Etat païen, il n'y a plus qu'un cœur et qu'une âme : de la souffrance en commun est née une âme commune.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Renan a dit « La souffrance en commun unit plus que la joie. » Développez cette pensée à la lumière des événements actuels. ?
- Le désir est-il souffrance ou joie ?
- La conscience: entre souffrance et joie ?
- A quoi reconnaît on l'ami, dans le partage de la joie ou de la souffrance ?
- « Toute sympathie implique l'intention de ressentir la joie ou la souffrance qu'accompagnent les faits psychiques d'autrui. » Max Scheler, Nature et formes de la sympathie, 1923. Commentez cette citation.