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Rapports de la sociologie et de la morale PLAN.

Publié le 07/02/2016

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sociologie

Introduction. — La sociologie exerce une influence croissante sur toutes les études se rapportant à l'homme et à la société. On se demande quels doivent être les rapports de cette science nouvelle et de l’antique morale.

 

Ie partie, — On pourrait essayer d’établir entre elles des rapports étroits. On ne peut songer à déduire la sociologie, étudiant des Faits, de la morale, définissant un idéal. Mais on l’est demandé si on ne pourrait pas déduire ou Induire la morale de la sociologie.

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« PASCAL ET MONTAIGNE 5 2.

Par les grands sentiments qu'il n exaltés, par l'héroïsme qui fait l'âme de son théâtre; 3.

Par son éloquence qui nous « transporte » encore comme elle transportait Mme de Sévigné.

III.

Et c'est pour cela que Corneille doit être plus révéré.

On peut goûter et aimer davantage Racine.

On ne peut pas ne pas avoir plus de vénération pour Corneille.

Il doit être pour nous l'objet d'un véritable culte il est notre maître (école de grandeur d'âme), il est notre poète national par excellence.

Le jour où le grand Corneille, dit Nisard, cesserait d"tre populaire sur notre théâtre, ce jour-là nous aurions cessé d'étre une grande nation.

37.

PASCAL ET MONTAIGNE Pascal o beaucoup utilisé les Essais de Montaigne, qui, cepen- dont, ontaigne,qui,cepen- dant, lui était antipathique par certains côtés.

Vous comparerez les deux écrivains et cous direz ce qui plaisait à l'auteur des Pensées et ce qui le choquait dans l'ouvrage de Montaigne.

Pascal avait beaucoup fréquenté Montaigne on retrouve des réminiscences et des citations des Essais à chaque page des Pensées.

Et cependant il était agacé par sa manie de toujours parler de lui Le sot projet qu'il a eu de se peindre! Mais il voyait avec joie dans cet auteur la raison si invinciblement froissée par ses propres armes et il n'était pas loin d'aimer le ministre d'une si grande vengeance.

Il nous a dit, d'ailleurs, ce qu'il pensait de Montaigne, dans l'entretien avec M.

de Sari.

I.

Comparaison entre Montaigne et Pascal.

On ne peut imaginer deux écrivains plus dissemblables, Montaigne, épicurien de tempérament et de tendances, aime surtout ses aises et cherche son plaisir.

Il nous dit, cent fois.

qu'en composant son ouvrage il n'a eu d'autre but que sa satisfac- tion propre...

Pascal a l'égoïsme en horreur, il est apôtre, il veut convertir les âmes qu'il souffre de voir dans l'erreur ou l'in'iffé- rence...

La religion pour Montaigne est surtout une question. »

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