Profession et vocation ?

Il est relativement facile à apprécier par les tests d'intelligence ; on doit prendre garde à la « forme » de l'intelligence qui peut être concrète ou abstraite, analytique ou synthétique, ou encore combiner ces puissances. E ? Les besoins sociaux à l'époque envisagée, et dans le cadre économico-culturel de la société considérée. De même qu'il ne pouvait être question de la prospection du pétrole ou des techniques cinématographiques tant que la société et les hommes ignoraient ces activités, de même certains métiers disparaissent de l'Histoire (actuellement par exemple, le forgeron, le maréchal-ferrant sont en voie de disparition, leur métier étant absorbé par l'industrie ou résorbé par le développement de la vie économique. Le cocher et le postillon ont disparu, etc.). La société et le développement technique créent des possibilités nouvelles et manifestent des besoins particuliers (exemple : besoin de techniciens dans notre monde d'aujourd'hui, ce qui provoque l'expansion de l'enseignement technique et des Facultés des Sciences, pendant que décroît l'intérêt pour les belles-Lettres et pour les langues mortes... et du même coup le prestige de ces anciennes spécialisations). F ? Les occasions et les chances de l'existence qui représentent les hasards de la détermination en fonction des circonstances, des rencontres aussi. Conclusion. La vocation dépasse le cadre strictement professionnel et insuffle au métier une âme qui le transfigure.