PRINCIPES ET THÉORIES dans les sciences expérimentales
Publié le 07/06/2012
Extrait du document
I - LES PRINCIPES
Nous avons vu l'importance, la nécessité de l'idée, du raisonnement, dans la méthode expérimentale. Cette intervention de l'esprit, nous la découvrons, non seulement dans l'établissement des faits, dans l'hypothèse, l'expérimentation et la détermination des lois, mais dans certaines propositions qu'on appelle principes, et qui apparaissent en effet cousine des commencements, des points de départ d'où l'on peut redescendre par déduction jusqu'aux lois les plus spéciales. Chacun de ces principes pose, en effet, comme on va le voir, une notion fondamentale, un concept premier qu'on ne fait dériver d'aucun autre concept, mais à partir duquel on peut suivre u un enchaînement logique continu « (Goblot, Système des sciences, 37).
Principes spéciaux. — Parmi ces principes, on peut distinguer ceux qui sont spéciaux à certaines sciences, par ex. : les trois principes de in dynamique (principes de l'inertie, de l'indépendance des mouvements et de l'égalité de l'action et de la réaction...
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Appliquer aux sciences expérimentales et commenter ou discuter cette pensée de Kant : « La raison n'aperçoit (dans la nature) que ce quelle produit elle-même d’après ses propres plans ; elle doit prendre les devants avec les principes qui déterminent ses jugements suivant des lois constantes et forcer la nature à répondra à ses questions au lieu de se laisser conduire par elle comme à la lisière. »
- Définir les notions de loi, principe, théorie dans les Sciences expérimentales et confronter leurs rôles.
- Certains penseurs contemporains estiment qu’on a exagéré le caractère a priori des mathématiques et le caractère a posteriori des sciences expérimentales. Apprécier cette opinion.
- Commenter, notamment à l’aide de quelques exemples empruntés à diverses sciences expérimentales, la pensée que le fait scientifique est une abstraction ; Indiquer les conséquences de cette pensée. PLAN.
- Les sciences humaines, parce qu'elles étudient l'homme selon une méthode qui s'inspire des sciences expérimentales, ne détruisent-el¬les pas une certaine idée de l'homme ?