Pourquoi les humains sont-ils libres, contrairement aux animaux ?

« Explication de texte: Le problème de la distinction entre les humains et les animaux est l’un des thèmes majeurs de la philosophie.

Dans ce texte, Rousseau apporte une nouvelle contribution à ce grand thème en reprenant la notion de liberté.

Il tente d'opposer la liberté humaine a l’instinct animal.

Pourquoi les humains sont-ils libres, contrairement aux animaux ? Selon Rousseau, les humains sont différents des animaux et on peut voir que les humains sont libres à travers les exemples abordés et enfin les conséquences de la liberté. Dans la première partie du texte, Rousseau définit les animaux et les humains comme des machines.

L'auteur voit les animaux comme rien de plus que des mécanismes hautement sophistiqués créés par des génies divins, ou des « machines ingénieuses ».

Parce que c’est la nature qui lui a donné un sens, et que la nature a été créée par Dieu.

Un animal est quelque chose ou quelqu'un qui a une âme, c'est-à-dire qu'il est doté de vie et de mouvement, qu'il fonctionne comme un automate et qu'il est guidé par des règles auxquelles on ne peut déroger.

Les êtres humains peuvent se protéger et survivre en suivant la loi naturelle, c'est-à-dire l'instinct, mais cette protection a une certaine limite « jusqu'à un certain point ».

En fait, rien n’est absolu et l’instinct seul ne peut garantir une sécurité absolue.

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Rousseau « assume » alors les mêmes caractéristiques chez l'homme.

Il ne voit pas clairement, mais au moins ici, quelque chose d'invisible est vu et il « perçoit ».

Ainsi, il voit la « machine humaine », le corps et les sens, mais avec des différences notables.

Pour les animaux, seule la nature accomplit les actions et elle seule en décide.

Les animaux ne font que suivre leur instinct et n'agissent pas.

Intervenez judicieusement d’une manière ou d’une autre dans ses actions.

Les êtres humains ne sont donc pas de simples machines animales, ni simplement soumis aux nécessités des lois naturelles.

C'est lui qui introduit la contingence dans un monde régi par des lois nécessaires.

Cette contingence s’appelle ici liberté.

Par conséquent, les machines qui sont des humains ne sont pas des génies, ce sont des humains.

Notons au passage que Rousseau s'appuie exclusivement sur la vision pour justifier son affirmation : « Je ne vois pas, je perçois ».

Une méthode de réhabilitation des sens qui éloigne une fois de plus Rousseau de Descartes. Ensuite, Rousseau traite de la liberté.

Premièrement, cela contraste avec le monde de l’instinct.

Les instincts sont donnés aux animaux ; ils ne les choisissent pas ; ils sont innés.

C'est une loi naturelle à laquelle vous ne pouvez pas échapper.

Les animaux suivent leur instinct, ils n'y pensent pas, ils ne s'en éloignent pas, ils vivent selon lui.Mann, en revanche, est un agent libre.

Il est intéressant de voir la définition que Rousseau donne librement.

Il le définit comme une dérogation aux règles.

La liberté, c’est avant tout la désobéissance, ce qui est une définition étonnante.

En fin de compte, un moment très négatif, on pourrait l’appeler la liberté d’indépendance.

Les gens poursuivent d’abord.... »