« Pourquoi la religion met elle pas un terme à ce combat sans espoir pour elle » : Nouvelles Conférences d'introduction à la psychanalyse, de FREUD
Publié le 23/08/2012
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Certes, non……. C'est ce qu'étudie Pascal dans LES PENSEES SUR LA RELIGION en s'adressant aux libertins et en s'attachant à décrire l'incomplétude de la contradiction de la nature humaine. Pouvant être considéré comme un atome sur Terre, l'homme est écartelé entre deux infinis ce qui le rend faible, fragile et vulnérable. D'une part son imagination « maîtresse d'erreurs, l'amour propre ainsi que le divertissement, sont autant d'obstacle à la réflexion que l'aspiration à la grandeur et la soif d'absolu. On remarque donc, que l'homme est misérable sans dieu, qu'il ne peut se suffire par son propre savoir. Prenons par exemple là où Pascal traitait des sentiments qui guidait l'homme à Dieu, et notamment l'influence de l'angoisse. En effet, face à la grandeur du monde, l'être humain regarde autour de lui et estime ainsi sa petitesse et sa fragilité face au phénomène naturel qui mettent sa vie ne danger. Naît donc l'angoisse, le peur, la crainte de la mort, d'une part, et d'autre part apparaît la religion qui prône l'immortalités de l'homme. C'est là donc, que l'homme se réfugie et qu'il se console. Pascal se place donc aussi dans la même situation où cette fois ci aveugle après un certain moment, mais connaisseuse .Cependant ce savoir n'est guère suffisant pour vaincre sa peur et son angoisse, il doit puiser dans la religion et- s'y consoler.
«
Cependant, Dieu est une vérité inaccessible à la raison humaine, seul le cœur peut le connaître et le sentir « c'est le cœur sui sent Dieu et non la raison.
» De ce fait,Pascal reste le seul à rejeter le Dieu des philosophes et des savants, et affirme que ce dernier n'est pas celui de la religion.
En définitive, le problème de la religion reste ambigu, on ne peut proclamer que les hommes puissent s'en passer ou qu'inversement (ils doivent être dévoués à centpour cent).
A mon avis, la religion ne perdra de son influence malgré qu'elle avoue ses points faibles.
Car malgré tout, l'homme a besoin d'une force supérieur qui luipermette de se consoler.
Donc, malgré qu'il dérive et qu'il sorte de la religion, il sera obligé de chercher à satisfaire sa miséricorde, ce qui peut amener à l'athéisme.Au final, la conception de Freud sur la religion se rallie à celle de Marx et de Nietzsche, qui acceptent que la religion remette le monde à l'endroit mais contestantcependant, le fait que cela se fasse dans l'imaginaire.
C'st en remettant réellement, le monde à l'endroit, en établissant une société sans classe, que la religion sera alorsvouée à disparaître d'elle-même.
C'est a se demander alors qui la religion est un obstacle à la liberté des hommes ?..............
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