PLATON: Comment un pâtissier peut faire cinquante gâteaux identiques ? Pourquoi tous les chevaux se ressemblent ? L’homme a-t-il une âme immortelle ? Les hommes et les femmes sont aussi raisonnables les uns que les autres ?
Publié le 12/02/2012
Extrait du document
L’académie de Platon
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Le vrai le beau et le bien
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- Platon pensait que l’âme a existé avant de venir habiter dans un corps.
Autrefois l’âme était dans le monde des idées.
- Eros = amour « Sur les ailes de l’amour, l’âme rejoindra sa demeure dans le monde des idées.
Elle se libérera de la prison du
corps » = Un cycle de vie idéale.
Le chemin pour sortir de l’obscurité de la caverne
- L’allégorie de la caverne, sert a Platon a illustrer le chemin du ϕ qui va des représentations incertaines aux vraies idées qui se
cachent derrière les phénomènes naturels.
- L’allégorie de la caverne devient une méthaphore du courage du ϕ et de sa responsabilité vis-à-vis des autres hommes sur plan
pédagogique.
Platon veut démontrer que le contraste entre l’obscurité de la caverne et la nature à l’extérieur est le mm qui
existe entre le monde sensible et le monde des idées.
Cela ne veut pas dire que la nature est sombre et triste, mais qu’elle l’est
comparée à la clarté du monde des idées.
- L’image d’une belle jeune fille, n’est pas non plus sombre ou triste, bien au contraire, mais ce n’est qu’une image.
La république philosophique
- Platon considère que le corps de l’homme se divise en trois parties : la tête, le tronc, le bas du corps.
- La raison doit se donner pour but la sagesse, la volonté doit faire preuve de courage et il faut brider le désir pour que l’homme
fasse preuve de mesure.
- Parallélisme entre les parties du corps et la cité (= Etat totalitaire)
Corps Ame Vertu Cité
Tête raison sagesse gardiens
Cœur volonté courage guerriers
Ventre besoin mesure travailleurs
PLATON PENSAIT QUE TOUS LES PHENOMENES NATURELS NE SONT QUE LES OMBRES DE FORMES OU D’IDEES ETERNELLES .
Est le siège de la raison
Est le siège de la volonté
Est le siège des envies ou du désir
Tout ce qui était vivant n’était qu’une copie imparfaite de formes éternelles dans le monde des idées..
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