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Philosophie Sujet 1 : Croire est-ce renoncer à la raison ?

Publié le 02/11/2020

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Philosophie Sujet 1 : Croire est-ce renoncer à la raison ? Croire c’est ne se donner aucune raison , être aveuglé par la raison , c’est ne comprendre , ni vérifier ce que l’on affirme croire. En effet peut-on abandonner l’idée de se raisonné sur un fait. La raison est une façon , un mode de penser qui est propre à tout homme, c’est une faculté qui permet de réfléchir, de construire son propre jugement , de distingué le vrai du faux comme du bien du mal. En outre croire appel à la croyance, en effet une personne qui ne crois qu sa religion et celui qui croit que sa croyance est seule et vrai mais celle-ci peut faire naître des conflits qui peut aller audelà de l’intolérance mais peut-on souhaiter d’échapper à sa croyance et croire sans raison ? Par c’est intolérance il peut-être souhaitable d’échapper à notre croyance. Croire est-ce renoncer à la raison ? Mais est-il possible d’échapper à sa croyance sans raisonné ? Être dans la matrice donc dans un espace virtuelle en immersion ( Sciencefiction ) , prisonnier de superstitions nous amène qu’a à interprété sans fait ,être dans l’illusion où nos sens peuvent nous trompé. Galilée par l’illusion et nos sens fait le rapport entre la terre et le soleil. Mais y a t-il raison de penser que de consentir et le contraire de la raison ? Exemple : Le fait que j'existe même su je me trompe sur les apparences de mon existence est indéniable. La matrice ne peut pas me tromper sur la réalité d'une conscience, de son fait... ( Descartes) en effet le cerveau filtre le réel et donc notre perception du réel est celle filtrée sans doute par notre organisme dont le cerveau à partir de ce moment la la raison devient un voyage entre la virtuelle et la réalité , nous voulons croire ce que notre conscience , notre perception veut croire. On ne peut vérifier ses fait de croyance , on ne croit qu’a la science , on est obligé de faire confiance aux scientifiques et aux médecins. Cependant la croyance religieux et tous autre croyance n’est testable car elle répondes à certains mœurs et valeurs. Peuton rendre l’image de la conception de nos mœurs objective donc basé sur l’influence de sentiments et opinions personnel , exemple positif : l'égale dignité des âmes malgré les différences corporelles.Toutefois toute demande ne peut faire appel à une opinion général mais basé sur l’opinion strict personnelle exemple : le droit à l’avortement. Donc peut-on fonder la morale autrement que sur des a priori métaphysiques difficilement testables en ce concerne la croyance religieuse à la raison ? Dans un premier temps nous verrons que croire et renoncer à l’usage de la raison c’est entraîné une absence à la recherche du savoir ce qui fait qu’on ne peut utiliser notre raison mais aussi dans un second temps nous verrons que croire c’est aussi ne pas renoncer à sa raison car ma croyance m’oblige à réfléchir car elle nécessite l’utilisation de ma raison en démontrant les limite du relativisme postmoderne et dans un dernier temps que croire c’est renoncé à la raison qui ne peut comprendre le mystère de la foie qui est notre croyance qui nous pousse à croire que nous n’avons pas besoin de la raison de croire mais par la confiance en la vie comme évolution consciente de la conscience. I- Renoncer au «Pourquoi» et répondre au «Comment» A) La méthode de Descartes Tous les hommes disposent de la faculté, proprement humaine, de distinguer le vrai d’avec le faux, nommée raison, ou «bon sens». Mais tous n’en usent pas correctement. «Ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien» (Discours de la méthode). Tout d’abord Descartes par le pourquoi fait appel au doute et par la métaphysique car renoncer c’est révoquer le doute. Le doute et le « je pense». Donc par ce « je pense » le point de départ de la métaphysique de Descartes est le doute. Cette métaphysique n'est pas formée d'un ensemble d'affirmations pouvant être présentées dans un ordre quelconque. Elle est constituée par une suite de moments intellectuels dont chacun suppose celui qui le précède et engendre celui qui le suit. Elle se présente donc comme une suite de démarches vécues, qui se succèdent naturellement dans un ordre ne pouvant être modifié. «Je me suis aperçu que, dès mes premières années, j’avais reçu quantité de fausses opinions pour véritables » « qu’il me fallait entreprendre sérieusement une fois en ma vie de me défaire de toutes les opinions que j’avais reçues »La plupart de nos jugements sont conditionnés par l'habitude, notre connaissance est faite d'opinions, opinions qui, du reste, s'opposent souvent entre elles. Pour entreprendre la recherche de la vérité, il faut donc «une fois» en sa vie douter «de toutes les choses où l'on aperçoit le moindre soupçon d'incertitude». De même, dans le Discours, le « je pense donc je suis » répond moins à un problème ontologique qu'à la recherche d'un critère de vérité scientifique. Toujours, cependant, le même enchaînement est conservé, et domine la métaphysique cartésienne : je doute, je pense, je suis, Dieu est, Dieu garantit ma connaissance. Après l’essaie du doute et l’incertitude «mon esprit est libre de tous soins, et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m’appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions » notre conscience peut être dans un état de tranquillité , de calme absolu mais pour autant il n&r...




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« I- Renoncer au «Pourquoi» et répondre au «Comment» A) La méthode de Descartes Tous les hommes disposent de la faculté, proprement humaine, de distinguer le vrai d’avec le faux, nommée raison, ou «bon sens».

Mais tous n’en usent pas correctement.

«Ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien» (Discours de la méthode).

Tout d’abord Descartes par le pourquoi fait appel au doute et par la métaphysique car renoncer c’est révoquer le doute.

Le doute et le « je pense».

Donc par ce « je pense » l e point de départ de la métaphysique de Descartes est le doute.

Cette métaphysique n'est pas formée d'un ensemble d'affirmations pouvant être présentées dans un ordre quelconque.

Elle est constituée par une suite de moments intellectuels dont chacun suppose celui qui le précède et engendre celui qui le suit.

Elle se présente donc comme une suite de démarches vécues, qui se succèdent naturellement dans un ordre ne pouvant être modifié.

« J e me suis aperçu que, dès mes premières années, j’avais reçu quantité de fausses opinions pour véritables » « qu’il me fallait entreprendre sérieusement une fois en ma vie de me défaire de toutes les opinions que j’avais reçues » La plupart de nos jugements sont conditionnés par l'habitude, notre connaissance est faite d'opinions, opinions qui, du reste, s'opposent souvent entre elles.

Pour entreprendre la recherche de la vérité, il faut donc «une fois» en sa vie douter «de toutes les choses où l'on aperçoit le moindre soupçon d'incertitude».

De même, dans le Discours , le « je pense donc je suis » répond moins à un problème ontologique qu'à la recherche d'un critère de vérité scientifique.

Toujours, cependant, le même enchaînement est conservé, et domine la métaphysique cartésienne : je doute, je pense, je suis, Dieu est, Dieu garantit ma connaissance.

Après l’essaie du doute et l’incertitude « mon esprit est libre de tous soins, et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m’appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions » notre conscience peut être dans un état de tranquillité , de calme absolu mais pour autant il n’est pas nécessaire que toute affirmation est fausse pour arrivé à cette état.

Cependant tout croyance qui interdit le doute est irrationnelle car chez Descartes, le rationnel est ce qui use du doute méthodique afin de fonder l'évidence comme indubitable , de plus cela conduirai fatalement à un recul de la science et du progrès technique.En outre douter , pensé et n’éprouver aucun sentiment au bien de l’homme peut représenter un péché contre la loi qui nous oblige à procurer le bien général de tous les hommes.Il existe donc pour cela 4 règles dans la méthode de Descartes.

Le Discours de la Méthode pose quatre règles indispensables à la connaissance : - se méfier de tout et en premier lieu des sens (règle du doute), - décomposer un problème en ses différents éléments (règle de l'analyse), - réagencer chaque élément du plus simple au plus complexe (règle de la synthèse ou induction), - vérifier que le raisonnement n'a rien oublié (règle de l'énumération ou déduction). Le Discours de la Méthode marque la naissance de la philosophie moderne.

Avec lui, l'argument d'autorité cède la place au doute et à la méthode.

Mais celle-ci est rendue possible par la certitude que chacun possède la capacité de penser le vrai.

En d'autres termes, on ne peut avoir la capacité de douter de toutes choses de façon constructive que si l'on ne doute pas de sa propre capacité à douter !. »

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