Philosophie: Nos actes sont-ils logiques ? (dissertation)

Philosophie: La psychologie peut-elle tenir lieu de philosophie ? (dissertation)

Philosophie: Les psychologues sont-ils les policiers de l'âme ? (dissertation)

Philosophie: Croire, est-ce renoncer à l'usage de la raison ? (dissertation)

Philosophie: Peut-on être maitre de soi ? (dissertation)

Philosophie: La raison peut-elle engendrer la violence ? (dissertation)

Philosophie: La philosophie doit elle aller contre le sens commun ? (dissertation)

Philosophie: Doit-on souhaiter la dictature de la raison ? (dissertation)

Philosophie: Peut on douter de la valeur de l a raison ? (dissertation)

Philosophie: L'adaptation à la réalité est-elle un indice de raison ? (dissertation)

Philosophie: La religion peut-elle avoir la même fonction que la philosophie ? (dissertation)

Philosophie: Dieu est-il, comme le dit Spinoza, «l'asile de l'ignorance» ? (dissertation)

Philosophie: L'astrologie est-elle une nouvelle religion ? (dissertation)

Philosophie: La notion de paradis a-t-elle un sens exclusivement religieux ? (dissertation)

Philosophie: L'esprit religieux n'habite-t-il que les religions ? (dissertation)

Philosophie: Le sentiment du sacré coïncide·t·il avec le sentiment religieux ? (dissertation)

Philosophie: Les mathématiques sont-elles une science comme les autres ? (dissertation)

Philosophie: Les mathématiques traduisent-elles l'expérience? (dissertation)

Philosophie: Peut-on comparer les mathématiques à un jeu ? (dissertation)

Philosophie: Peut-on vivre sans oublier ? (dissertation)

Philosophie: La philosophie est-elle dangereuse pour les pouvoirs ? (dissertation)

Résumé de Cours: Le DEVOIR (1)

Philosophie: La philosophie peut-elle dépasser son temps ? (dissertation)

Philosophie: Les mathématiques sont elles réductibles à la logique ? (dissertation)

Philosophie: La philosophie a-t-elle encore sa place dans le monde ? (dissertation)

Philosophie: La politesse est-elle une notion surannée ? (dissertation)

Philosophie: Peut-on vivre sans religion ? (dissertation)

Philosophie: Le problème de Dieu est-il un problème philosophique ? (dissertation)

Dictionnaire philosophique "Démocratie" de Voltaire

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Philosophie et morale de Victor Cousin

Publié le 15/07/2011

Extrait du document

Victor Cousin, né à Paris, le 28 novembre 1792, était fils d'un horloger. Après avoir fait de brillantes études au lycée Charlemagne, il entra à l'École normale en 1811 : deux ans après, il y était nommé répétiteur de grec, puis, l'année suivante, maitre de conférences de philosophie. Chargé, en 1815, par Royer-Collard de le suppléer dans sa chaire de la Sorbonne, il attira bientôt à son cours, tant par l'éloquence de sa parole que par la nouveauté de ses opinions, un public nombreux et sympathique. C'est par l'exposition de la philosophie écossaise qu'il avait inauguré cet enseignement.

Un premier voyage en Allemagne, en 1817, l'initia à la philosophie allemande. Quand, en 1820, des motifs politiques l'eurent enlevé à sa chaire, il profita de ses loisirs pour entreprendre sa belle traduction de Platon, publier des éditions de Proclus et de Descartes, et parcourir de nouveau l'Allemagne, en 1824. C'est dans ce dernier voyage qu'il fut arrêté tt emprisonné pendant six mois, à Berlin, sous prévention de carbonarisme.

Le ministère Martignac lui permit, en 1828, de reprendre son cours. Après la révolution de 1830, il fut nommé successivement conseiller d'Etat, membre du Conseil royal de l'instruction publique, professeur titulaire à la Faculté des lettres, membre de l'Académie française et de l'Académie des sciences morales et politiques, directeur de l'Ecole normale et pair de France.

Le ler mars 1840, Victor Cousin entra, comme ministre de l'Instruction publique dans le cabinet dont M. Thiers était le chef. Son passage au ministère ne dura que huit mois. En 1842, il défendit, à la Chambre des pairs, avec une grande éloquence, l'Université et la philosophie violemment attaquées. La révolution de 1848 l'écarta définitivement de la politique. A la suite du coup d'État du 2 décembre, V. Cousin dut, avec ses collègues MM. Villemain et Guizot, échanger son siège au Conseil de l'intruction publique contre le titre de professeur honoraire de la Faculté des lettres.

Complètement retiré des affaires, il consacra le reste de sa vie à des études sur les femmes du dix-septième siècle. Le 13 janvier 1867, il mourut à Cannes, où il allait depuis plusieurs années chercher le repos et la santé.

« était le chef. Son passage au ministère ne dura que huit mois.

En 1842, il défendit, à la Chambre des pairs, avec une grandeéloquence,l'Université et la philosophie vio lemmentattaquées.

La révolution de 1848l'écarta dé finitivement de la politique.

A la suite du coup d'État du 2 décembre, V.

Cousin dut, avec ses collègues MM. Ville- mainet Guizot, échangerson siège au Conseil de l'in- truction publique contre le titredeprofesseur honoraire de la Faculté des lettres. Complètement retirédes affaires, il consacrale reste de sa vie à des études sur les femmes du dix-septième siècle. Le 13 janvier 1867, il mourutà Cannes, où il allaitde puis plusieurs années chercher le repos et la santé. II. — OUVRASES DE V. COUSIN. Lesouvrages philosophiques de Cousincontiennent presqueuniquement les leçons professées à la Sorbonne. Cesouvrages ont, pour la plupart,subi bien des trans formations.Lesdernières éditionsqui en ont été faites comprennent, outrele livre du Vrai,duBeau et du Bien dont nous parleronsbientôt : 1.

Les Premiers Essais de philosophie,dont la doctrine seretrouve enpartie dansle Vrai, le Beau, le Bien. 2. L'introduction àl'histoire de la philosophie. Ce livre renferme le cours de 1828;il est l'un des plus impor tants de Cousin et l'un des plus critiqués.

Se plaçaiit au point de vue de la philosophie de l'histoire,Cousin retracedans cet ouvrageletableau desdestinées univer selles del'humanité.

Dansl'avant-propos de laquatrième édition, il reconnaît lui-même que cet ouvrage contient « plus d'une proposition hasardée et bien des excès de langage. » 3.

L'Histoire générale de la philosophie, depuis les temps les plus anciens jusqu'au dix-neuvième siècle. «11 n'est pas une partie de l'histoire de la philosophie. »

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