philosophie article - Bergson et la liberté
Publié le 05/01/2016
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INTRODUCTION Dans cet extrait de Bergson le thème abordé est la liberté, chacun a sa propre définition de liberté. On peut dire que la liberté est de faire ce que l’on veut mais que nous ne sommes pas libres car des lois limites notre liberté et nous pouvons dire également que nous sommes complètement libres car les lois sont choisis par tous (ou homme politique mais tout de même élus par nous même) et donc nous sommes libre de limiter notre liberté. Dans beaucoup de cas notre liberté peut être remise en question comme ici où Bergson met en évidence un problème sur la liberté : Sommes-nous libres si nous suivons nos caractères et nos tendances ? La thèse de l’auteur est que nous sommes libres quand nous suivons notre caractère, en effet selon lui nous sommes libres en le suivant car la liberté dépend de nos actes qui eux même dépendent de nous, de notre investissement… Dans un premier temps de la ligne 1 à 4 l’auteur nous expose sa thèse puis il examine de la ligne 4 à 12 le problème : sommes-nous soumis à notre caractère ? Et pour finir de la ligne 12 à 14 l’auteur conclue : nous sommes libre en accomplissent notre caractère.
«
partons de cette affirmation comme le dit l’auteur il y aurait « l’un des deux moi [qui pèserai]
sur l’autre » est ce vrai ? Bien sur que non car dans les deux cas nous décidons d’agir comme
bon nous semble, et de même pour penser et sentir, par exemple si quelqu’un nous fait du
mal on est libre de nos actes , c’est à nous de nous demander si nous devons en rester la et
contenir notre colère ou de bien de céder à notre colère et que cela se finisse mal, dans les
deux cas on pense mais la pensée ne contrôle pas nos actes car c’est à nous que revient le
choix ultime de le faire ou non.
On peut remarquer qu’il met en relation cette égalité entre le
moi qui pense ou sent et le moi qui agit avec la liberté et notre caractère car dans les deux
cas personne l’emporte sur l’autre et il veut donc nous faire comprendre le même principe
avec la liberté nous ne sommes pas libre car nous sommes sous l’influence de notre
caractère mais si nous choisissons de modifier notre caractère cela voudrait dire que nous
avons été libre de choisir notre propre caractère et donc d’être influencer par se caractère
choisit librement.
L’auteur nous l’a même écrit « on devra dire que le changement survenu
dans notre caractère est bien nôtre, que nous nous le sommes approprié », si nous nous le
sommes approprié c’est que nous l’avons accepté, que nous avons eu donc le choix et donc
nous avons put être libre de s’approprié ce caractère, notre caractère.
Pour finir l’auteur conclut de la ligne 12 à 15 que nous sommes libre en accomplissent notre
caractère.
Il reprend la thèse (« si l’on convient d’appeler libre tout acte qui émane du moi
(de notre personnalité)» et nous explique que l’homme est libre car c’est nous qui donnons
la « paternité » de nos actes, c'est-à-dire que c’est à nous que revient la naissance de nos
actes, d’agir ou pas car c’est nous (« le moi ») qui désignons notre caractère sous lequel nous
allons agir, sous lequel nous allons être libre de nos actes.
CONCLURE
Pour conclure, Bergson répond à sa propre problématique : sommes-nous libres si nous
suivons nos caractères et nos tendances ? En exposant tout d’abord sa thèse sur notre liberté
qui dépend de nos actes qui eux même dépendent de notre personnalité.
Puis il expose une
objection face a cette thèse : sommes nous libres si nous sommes soumis à notre caractère ?
Par laquelle nous répondrons que oui nous le sommes comme ceci car c’est à nous de définir
notre caractère au quel on est soumis, nous avons donc la liberté de le choisir.
Cela évoque
une autre problématique en tant qu’homme nous allons choisir notre caractère, le caractère
qui nous plait mais choisissons-nous que ce caractère nous plait ? La sensation se trouve
dans notre corps (il ne faut pas confondre le fait de nous faire plaisir avec ce qu’il nous plaît).
On peut reprendre la phrase de Spinoza « le sentiment de liberté est une illusion, les
hommes se croient libre car ils ignorent pourquoi ils ont voulus.
Avec cet extrait on
peut voir que nous sommes toujours libre mais naît-on libre ou le devient-on ?.
»
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