peut-on supporter l'existence sans croyances?

« Peut-on supporter l’existence sans croyances ? Définition : Croyances, fait de croire à l'existence de quelqu'un ou de quelque chose, à la vérité d'une doctrine, d'une thèse.

/Ce qu'on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique Existence, fait d'exister, d'avoir une réalité, présence en un lieu, fait d'être là, fait de durer, la vie. Supporter, prendre en charge, assumer une charge, une obligation Présupposées : On me demande déjà d’admettre que l’existence doit être supporter et non vécu= existence un fardeau obligatoire Notions : La religion, le bonheur, la conscience, l’inconscient, la vérité, sciences Le savoir et la raison efface peu à peu les croyances= ignorance Au-delà du savoir, reste la croyance ; La science utilise la croyance, un scientifique va croire, penser que sa théorie est la bonne, il va rechercher à la démontrer en la prouvant.

La preuve reste la seule chose par laquelle la croyance est démontrée.

Les scientifiques cherchent mais parfois à force de chercher, ils arrivent au bout et doutent de l’existence d'autre chose difficilement prouvable.

La croyance et la foi se confrontent alors à la connaissance.

Du coup si on pose des hypothèses pour démontrer une croyance et qu'elles sont vérifiées, la croyance devient connaissance Scepticisme, Doctrine philosophique qui repose sur le principe que l'homme ne peut pas connaître la vérité et qu'il est donc essentiel de systématiquement douter. monde s’est créer dans les croyances En 1916, le regretté psychologue James Leuba mena une enquête par questionnaire auprès de mille scientifiques américains choisis aléatoirement sur un annuaire, afin d'évaluer leur rapport à la religion.

Résultat : un peu plus de 40 % croyaient en l'existence d'un Dieu personnel et 50 % à l'immortalité.

Deux chercheurs américains viennent de renouveler l'expérience, en utilisant un protocole aussi voisin que possible.

Le résultat est très proche : près de 40 % croient à l'existence d'un Dieu personnel et presque autant à l'immortalité.

Le seul changement notable concerne la répartition entre disciplines.

En 1916, le plus fort taux de non- croyants ou de sceptiques se trouvait chez les biologistes 70 %.

Aujourd'hui il se trouve chez les physiciens et les astronomes 78 %.

La population la plus religieuse est celle des mathématiciens 45 %1.

La permanence du rapport global entre religieux et non-religieux est étayée par une enquête plus vaste menée voici vingt-huit ans auprès de 60 000 p ... OUI : La vérité et la raison effacent peu à peu les croyances.

Les croyances sont le fait de tenir pour vrai ce que pourtant on ne peut démontrer.

Ainsi croire c’est penser comme vrai sans pouvoir absolument le prouver.

Cependant les avancés scientifiques de l’histoire participent à prouver ou contredire des croyances.

Certaines croyances deviennent alors des connaissances et d’autres deviennent des idées erronées.

La sciences est basée sur des arguments objectifs et vérifiés, il faut donc distinguer la connaissance et la croyance qui elle, n’est pas prouver et qui s’apparente à l’ignorance de la vérité.

Déjà avant notre ère, l’homme à tenter d’expliquer le phénomène majeurs de son existences tel que sa genèse ou sa mort.

Face à ces questionnements métaphysiques, des croyances et des rites se rapportant à la religion se sont développer au cours de l’histoire.

Ces réponses sont donc infondées, indémontrés et imposent à ses fidèles une foi ignorante.

L’amélioration des procédés techniques et des théories scientifiques tendent vers une vérité démontrable et justifiée en s’appuyant sur la raison et la déduction à partir d’observations.

De plus il semble que les techniques scientifiques soient plus efficaces pour satisfaire les besoins de l’Homme.

Ainsi nous pouvons prendre pour exemple la théorie de l’évolution de Charles Darwin.

En pleine révolution industrielle britannique, sous le règne de Victoria, Darwin publie un.... »