Peut-on, pour éduquer, se fonder sur les tendances naturelles de l’enfant, ainsi que le soutient Jean-Jacques Rousseau ?
Publié le 17/09/2011
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Si Nietzsche, philosophe et penseur du 19ème siècle, définit l’homme comme « le seul animal dont le caractère propre n’est pas encore formé «, ce n’est pas un hasard. En considérant l’enfant et ses parents, on peut difficilement imaginer que l’enfant arrive à s’éduquer, selon les normes de la société, sans la connaissance et les restrictions imposé (es) par les parents. En effet, l’adulte, qui connaît les coins et recoins des normes imposées par la société, transmet ses différents apports moraux (ou sociaux) à l’enfant. A condition que les interdictions soient fournies d’explications – car le non d’interdiction ne doit pas être une fin en soit, surtout lorsqu’il n’admet aucune explication, aucune compréhension de son erreur.
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