Peut-on penser comme Leibniz, que l'on veut parfois un mal pour empêcher de plus grands maux ou pour obtenir de plus grands biens ?
Publié le 25/07/2012
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Cependant, même si ces notions de bien et de mal sont présentent en tout lieu et parmi chaque être humain, elles suivent une échelle des valeurs qui diffèrent selon chaque individu. Par exemple, dans le roman de Giono Les âmes fortes, le seul intérêt d'un des personnages principaux, Firmin, est l'argent, c'est ce qui lui convient, cela représente le bien pour lui. Mais à ses côtés, on trouve aussi deux autres personnages, le couple des Numances, pour qui le bien se présente sous une toute autre forme ; la charité chrétienne. Ils vivent en distribuant leur générosité autours d'eux, c'est leur intérêt. Enfin, cette relativité entre le bien et le mal est parfois si poussée et à la fois si perturbante, qu'il est possible d'en arriver jusqu'à une confusion totale des valeurs. Dans Les âmes fortes, Le personnage de Thérèse apparaît au début du roman comme ...
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