Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ?
Publié le 27/02/2008
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Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ?
L'opinion populaire donne une connotation souvent péjorative du travail. Celui-ci est certes généralement assimilé à l'idée de contrainte pénible, d'obligation besogneuse. Pas étonnant, donc, que le travail se voit affublé, dans le langage populaire, de synonymes peu valorisant... (certains disent « aller au chagrin « !).
Pourtant, l'analyse philosophique de cette notion révèle une signification plus profonde, voire positive de celle-ci. L'histoire de l'humanité n'est-elle pas la manifestation concrète de cet élan irrésistible et universel de transformation de l'espace originel, du monde ?
Le travail reçoit alors, problématiquement, une définition contradictoire. L'opinion commune semble ne voir que la contrainte alors que la pensée philosophique y voit une attitude universelle.
Ainsi, peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ?
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Une approche philosophique nous permettra, dans un premier temps, de repenser le travail dans son essence générale.
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La réalité sociale du travail peut cependant compromettre toute vision idéale du travail.
I) Une humanité naturellement travailleuse
II) Le risque d'aliénation du travail réel
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