Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ?

« toute cette avancer technique montre la domination de l'homme sur la nature. Cependant, même si la philosophie attire l'attention sur les valeurs positives du travail, cela ne doit pas nous enfaire oublier ces réalités sociales.

En effet l'observation du travail dans le monde actuel montre bien sa décadencepar apport à l'idéalisme qu'apporte l'étude philosophique, l'organisation du travail ne cesse de montrer ces limites etses excès.

En effet le travail exerçait dans certaine condition peut dénaturer l'homme et ainsi ne pas respecter laliberté humaine, ces forme de travail font violence a l'originalité, a l'initiative, a la créativité de l'homme.

C'estl'aliénation du travail dont la principale cause est la division technique.

Elle consiste en la parcellisation d'une tâcheauparavant unifiée qu'il faut différencier de la division sociale du travail caractérisé par la répartition de laproduction en différent métier.

C'est cette division technique du travail, division contre-nature qui dénature letravail pour l'homme.

Le travailleur se voit donc obliger d'effectuer des gestes simples et répétitifs, ne demandantaucunes qualifications particulières, et ainsi enlevant au travail sa qualité formatrice.

Avec cette technique le savoirfaire artisanal se perd, puisque l'artisan n'effectue pas qu'une seule tâche dans la production de son produit maistoutes, les une après les autres, le philosophe Adam Smith, donne pour exemple la fabrication dans une usine d'uneépingle qui nécessiterais 18 opérations.

Cette division amène à une différenciation entre le travail manuel et letravail intellectuel, le rôle de l'ouvrier est donc d'exécuter ce qu'un autre plus qualifier a conçue, amenant a unecertaine forme d'infériorité. Conçue au départ pour améliorer la productivité et les conditions de travail de l'ouvrier en se chargeant destâches les plus fatigantes, il apparaît que ce machinisme amène à une nouvelle forme de servitude pour letravailleur.

En effet l'ouvrier doit se plier au rythme de la machine, il sert la machine alors qu'auparavant il seservait de l'outil, le rôle est inversé, à ce sujet Marx écrit « l'ouvrier devient un appendice de la machine ».

Hegel,dit que la modernité, l'industrialisation et le travail abrutissant à la chaîne est un retour a l'esclavage.

Ainsi ladivision du travail va à l'encontre de la définition même de travail.

Le travail est sensée participait au devenir del'individus en façonnant ses habitudes intellectuel et physiques, la division du travail au contraire porte une atteintea l'humanité du travailleur, il apparaît comme un moyen de satisfaire ses besoins, il se dévalorise et ne se senthumain qu'en dehors du travail.

Ce système fut critiqué et condamné par Marx, pour lui un être ne peut pour aucunmotif être considérait comme une « forme de production », système qui engendre des injustices et un déséquilibresocial. La division technique est la conséquence d'un certain type d'organisation économique et social, le capitalismequi est indissociable du salaria.

Le salaria désigne un système dans lequel les possesseurs des moyens deproductions achète la force de travail des prolétaires, personne qui n'ont a vendre que leur force physique, contreun salaire.

Le salaria cache en réalité une forme d'exploitation derrière une apparence de contrat équitable.

En effetMarx affirme que le salaire que reçoit le salarié ne correspond pas a la valeur du produit que fabrique l'ouvrier maissert a renouveler sa force de travail, le travailleur est payer pour la part de travail qui assure sa survie et non pourle travail qu'il a effectuer.

La forme de travail que le capitalisme véhicule est une exploitation et fait violence a lanature humaine, une part de son travail n'est pas payée. Ainsi nous avons vu que derrière la vision dépréciative du travail, la philosophie nous montre les vertus del'activité du travail qui semble être propre à la nature humaine, mais qui peut dans certains systèmes économiques,devenir déshumanisant et dévalorisant pour l'homme.

L'aliénation du travail amène a des injustices sociale et a uneforme d'exploitation a travers le salaria, dans un but de profit financier, l'homme ne se sent humain qu'en dehors dece travail, qui ne lui sert que pour subsister, et n'a alors aucune valeur éducatrice, valeur qui est le propre dutravail.

Le travail a beaucoup évoluer au fil des siècles, et jadis, il ne véhiculer pas l'idée d'une activité contre-nature et déplaisante.

En effet les grecs attribuer une valeur poétique au travail, et non une valeur dévalorisante,car pour eux, un poète qui parle du travail, travaille lui-même comme un laboureur, un charpentier ou même unmendiant.

Les grecs qui apprenaient qui apprenaient à lire avec les poètes, trouver tout naturel de trouver ce qu'estle travail dans les poèmes d'Hésiode ou d'Homère.

Le travail semble donc une notion assez complexe.. »