Partie théorique sur Epictète et le stoïcisme

« Partie théorique Premièrement, au sein de la philosophie du stoïcien Épictète se trouve une liste de choses qui dépendent et qui ne dépendent pas de nous.

Ce dernier croit que les actions suivantes dépendent de nous : nos opinions, nos mouvements, nos inclinaisons, nos désirs, nos aversions.

Épictète nous dit que toutes ces actions sont libres par leur nature ; c’est-à-dire qu’elles sont sans entraves ni contraintes.

Par exemple, une personne est entièrement libre d’avoir quelconques désirs et de posséder le nombre d’aversions qu’elle veut.

De l’autre côté, ce qui ne dépend pas de nous selon Épictète s’agit de notre corps, de nos biens, de notre réputation et de nos dignités.

Le stoïcien nous dit que tout cela est indépendant face à nous puisqu’ils sont serviles et contraignants.

Par exemple, en ce qui concerne la réputation, il serait impossible de contrôler ce que les gens pensent de nous, puisque l’opinion externe des autres est seulement dépendante d’eux-mêmes et est donc libre. De plus, selon lui, quelqu’un qui essaie de rendre libre ce qui est indépendant de lui perdra sa liberté, souffrira et deviendra malheureux.

Par exemple, au sein d’un couple, si un des deux partenaires décide de changer sa personnalité pour satisfaire les besoins de l’autre, cette personne deviendra esclave et ne sera plus elle-même.

Étant à l’opposé de libre, il sera donc beaucoup plus difficile pour elle d’atteindre un état de bonheur.

On peut donc comprendre qu’Épictète conseille fortement de porter l’entièreté de notre attention sur ce que nous pouvons contrôler. Deuxièmement, le philosophe croît qu’il faut désirer les choses comme elles arrivent au lieu de croire que ce qui nous arrive était voulu.

Par exemple, il considère que les personnes qui désirent que leurs proches ne meurent jamais sont des fous.

En effet, il croit que cela correspond à vouloir que les choses qui ne dépendent pas de nous en dépendent.

Selon lui, accepter la mort ne devrait pas consister à l’accepter comme un chagrin, mais plutôt la désirer et la considérer comme un incontournable et une loi de la nature.

Si vous êtes constamment en train de.... »